La nuit de l'infamie. Une confession

Par : Michael Cox
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  • Nombre de pages197
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.41 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,6 cm × 35,0 cm
  • ISBN978-2-7578-0918-1
  • EAN9782757809181
  • Date de parution07/05/2008
  • CollectionPoints. Thriller
  • ÉditeurPoints
  • TraducteurClaude Demanuelli

Résumé

Une nuit brumeuse d'octobre 1854, Edward Glyver arpente les rues de Londres, choisit un passant au hasard, lui tranche la gorge. Simple entraînement avant le meurtre de Phoebus Daunt, l'éminent poète qu'il jalouse depuis son enfance. Edward Glyver aurait exécuté sa vengeance comme prévu, si une lettre anonyme n'avait pas tout chamboulé...
Une nuit brumeuse d'octobre 1854, Edward Glyver arpente les rues de Londres, choisit un passant au hasard, lui tranche la gorge. Simple entraînement avant le meurtre de Phoebus Daunt, l'éminent poète qu'il jalouse depuis son enfance. Edward Glyver aurait exécuté sa vengeance comme prévu, si une lettre anonyme n'avait pas tout chamboulé...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 2 notes dont 1 avis lecteur
Excellent roman historique : mystère et vengeance dans l'Angleterre victorienne
1854 à Londres. Le narrateur Edward Glyver, la trentaine, n’est plus que haine et esprit de vengeance à l’égard de Phoebus Daunt, homme ambitieux et sans scrupules qui, profitant d’un trouble secret de famille remontant à la génération de leurs parents, lui a tout pris : son nom, son identité, sa fortune, son amour. Désespéré et résolu à le tuer, Edward commence par assassiner un Londonien choisi au hasard, histoire de se faire la main et de tester ses nerfs. Il nous livre ensuite le contenu de ses carnets, où il relate les évènements qui ont précédé, depuis son enfance jusqu’à l’irrémédiable, en passant par sa découverte progressive de secrets imbriqués et de leurs conséquences, par sa recherche fiévreuse d’éléments de preuve, et par son impuissance face à l’habileté et à la détermination diabolique de son adversaire. Ce long récit de près de six cents pages distille savamment le mystère au fil de ses rebondissements intriqués, piquant sans relâche la curiosité du lecteur très vite absorbé par cette histoire noire et influencée par les plus grands romans victoriens. Michael Cox aura mis trente ans à rédiger cet ouvrage : le résultat, truffé de références littéraires et latines, aussi habilement construit qu’un emboîtement de poupées russes et porté par un style délicieusement sorti tout droit du dix-neuvième siècle, vous immerge littéralement dans ses ambiances plus vraies que nature : des beaux quartiers jusqu’aux ruelles mal famées d’un Londres brumeux aux pavés luisants de pluie, où trottent de sombres fiacres et rôdent de menaçantes ombres, dans les recoins du majestueux manoir d’Evenwood et de son parc isolé, dans les tréfonds de vieilles bibliothèques renfermant jalousement leurs secrets, et même au creux d’un lugubre mausolée où reposent des disparus qui n’en finissent plus de hanter les vivants... Cadre historique prégnant, style classique et érudit, intrigue mystérieuse, personnages marquants et bien campés : tout est réuni pour enchanter le lecteur qui, ravi de cet excellent et long moment de lecture, n’aura de cesse de poursuivre l’expérience avec la suite : Le livre des secrets. Coup de coeur.
1854 à Londres. Le narrateur Edward Glyver, la trentaine, n’est plus que haine et esprit de vengeance à l’égard de Phoebus Daunt, homme ambitieux et sans scrupules qui, profitant d’un trouble secret de famille remontant à la génération de leurs parents, lui a tout pris : son nom, son identité, sa fortune, son amour. Désespéré et résolu à le tuer, Edward commence par assassiner un Londonien choisi au hasard, histoire de se faire la main et de tester ses nerfs. Il nous livre ensuite le contenu de ses carnets, où il relate les évènements qui ont précédé, depuis son enfance jusqu’à l’irrémédiable, en passant par sa découverte progressive de secrets imbriqués et de leurs conséquences, par sa recherche fiévreuse d’éléments de preuve, et par son impuissance face à l’habileté et à la détermination diabolique de son adversaire. Ce long récit de près de six cents pages distille savamment le mystère au fil de ses rebondissements intriqués, piquant sans relâche la curiosité du lecteur très vite absorbé par cette histoire noire et influencée par les plus grands romans victoriens. Michael Cox aura mis trente ans à rédiger cet ouvrage : le résultat, truffé de références littéraires et latines, aussi habilement construit qu’un emboîtement de poupées russes et porté par un style délicieusement sorti tout droit du dix-neuvième siècle, vous immerge littéralement dans ses ambiances plus vraies que nature : des beaux quartiers jusqu’aux ruelles mal famées d’un Londres brumeux aux pavés luisants de pluie, où trottent de sombres fiacres et rôdent de menaçantes ombres, dans les recoins du majestueux manoir d’Evenwood et de son parc isolé, dans les tréfonds de vieilles bibliothèques renfermant jalousement leurs secrets, et même au creux d’un lugubre mausolée où reposent des disparus qui n’en finissent plus de hanter les vivants... Cadre historique prégnant, style classique et érudit, intrigue mystérieuse, personnages marquants et bien campés : tout est réuni pour enchanter le lecteur qui, ravi de cet excellent et long moment de lecture, n’aura de cesse de poursuivre l’expérience avec la suite : Le livre des secrets. Coup de coeur.
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