La Maison où je suis mort autrefois

Par : Keigo Higashino

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  • Nombre de pages253
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.23 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-7427-8951-1
  • EAN9782742789511
  • Date de parution07/04/2010
  • CollectionActes noirs
  • ÉditeurActes Sud
  • TraducteurYutaka Makino

Résumé

Sayaka Kurahashi va mal. Mariée à un homme d'affaires absent, mère d'une fillette de trois ans qu'elle maltraite, elle a déjà tenté de mettre fin à ses jours. Et puis il y a cette étonnante amnésie : elle n'a aucun souvenir avant l'âge de cinq ans. Plus étrange encore, les albums de famille ne renferment aucune photo d'elle au berceau, faisant ses premiers pas... Quand, à la mort de son père, elle reçoit une enveloppe contenant une énigmatique clef à tête de lion et un plan sommaire conduisant à une bâtisse isolée dans les montagnes, elle se dit que la maison recèle peut-être le secret de son mal-être. Elle demande à son ancien petit ami de l'y accompagner. Ils découvrent une construction apparemment abandonnée. L'entrée a été condamnée. Toutes les horloges sont arrêtées à la même heure. Dans une chambre d'enfant, ils trouvent le journal intime d'un petit garçon et comprennent peu à peu que cette inquiétante demeure a été le théâtre d'événements tragiques... Keigo Higashino compose avec La Maison où je suis mort autrefois un roman étrange et obsédant. D'une écriture froide, sereine et lugubre comme la mort, il explore calmement les lancinantes lacunes de notre mémoire, la matière noire de nos vies, la part de mort déjà en nous.
Sayaka Kurahashi va mal. Mariée à un homme d'affaires absent, mère d'une fillette de trois ans qu'elle maltraite, elle a déjà tenté de mettre fin à ses jours. Et puis il y a cette étonnante amnésie : elle n'a aucun souvenir avant l'âge de cinq ans. Plus étrange encore, les albums de famille ne renferment aucune photo d'elle au berceau, faisant ses premiers pas... Quand, à la mort de son père, elle reçoit une enveloppe contenant une énigmatique clef à tête de lion et un plan sommaire conduisant à une bâtisse isolée dans les montagnes, elle se dit que la maison recèle peut-être le secret de son mal-être. Elle demande à son ancien petit ami de l'y accompagner. Ils découvrent une construction apparemment abandonnée. L'entrée a été condamnée. Toutes les horloges sont arrêtées à la même heure. Dans une chambre d'enfant, ils trouvent le journal intime d'un petit garçon et comprennent peu à peu que cette inquiétante demeure a été le théâtre d'événements tragiques... Keigo Higashino compose avec La Maison où je suis mort autrefois un roman étrange et obsédant. D'une écriture froide, sereine et lugubre comme la mort, il explore calmement les lancinantes lacunes de notre mémoire, la matière noire de nos vies, la part de mort déjà en nous.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.8/5
sur 16 notes dont 5 avis lecteurs
Japon, mystère
Je retrouve l'auteur avec plaisir, ayant lu il y'a quelques années son très bon précédent roman à suspens "Un café maison". Il n'est pas question, cette fois-ci d'une enquête policière, mais plutôt de la recherche d'une enfance oubliée. Avec Yasaki et le narrateur, je suis partie dans cette étrange maison de Nagano ou rien ne semble juste et à sa place. Les pages défilent, un coin du voile se soulève, entraînant d'autres questions. Il est également question, en toile de fond dans ce roman, de la violence sur les enfants. La société japonaise est toujours autant régit par des codes et des traditions. Une intrigue assez alambiquée pour tenir le lecteur en haleine ; des personnages attachants ; un huis clôt passionnant. L'image que je retiendrai : Celle de la poupée sur le piano de la pièce principale, une poupée au regard étrange. Citation : "D'ailleurs, chacun n'a-t-il pas une maison où l'enfant qu'il était est mort autrefois ? On fait seulement semblant de ne pas voir qu'il s'y trouve encore parce qu'on ne tient pas à le rencontrer". (p.250)
Je retrouve l'auteur avec plaisir, ayant lu il y'a quelques années son très bon précédent roman à suspens "Un café maison". Il n'est pas question, cette fois-ci d'une enquête policière, mais plutôt de la recherche d'une enfance oubliée. Avec Yasaki et le narrateur, je suis partie dans cette étrange maison de Nagano ou rien ne semble juste et à sa place. Les pages défilent, un coin du voile se soulève, entraînant d'autres questions. Il est également question, en toile de fond dans ce roman, de la violence sur les enfants. La société japonaise est toujours autant régit par des codes et des traditions. Une intrigue assez alambiquée pour tenir le lecteur en haleine ; des personnages attachants ; un huis clôt passionnant. L'image que je retiendrai : Celle de la poupée sur le piano de la pièce principale, une poupée au regard étrange. Citation : "D'ailleurs, chacun n'a-t-il pas une maison où l'enfant qu'il était est mort autrefois ? On fait seulement semblant de ne pas voir qu'il s'y trouve encore parce qu'on ne tient pas à le rencontrer". (p.250)
  • Inattendu
  • Passionnant
3/5
Une histoire sombre, mais une écriture délicate !
Le style d'écriture est plus sombre mais moins thriller à mon goût ! Tout au moins celui-ci ! J'ai trouvé l'intrigue intéressante au début ! Mais à force de torturer son lecteur, Keigo Higashino le perd un peu ! Les indices menant à l'issu de l'histoire se mélangent, se confondent, se perdent. Je ne me suis heureusement pas perdu dans l'histoire mais je me suis lassée de trop de rebondissements, trop de bouleversements, surtout d'un passage où une maison est reconstruite... (un peu lourd) pour arriver enfin au dénouement ! Il y a toutefois une des intrigues qui est restée en suspend. En revanche j'ai beaucoup aimé le style délicat de l'écriture, la douceur qu'on y retrouve ! Le dépaysement total car on ressent cette belle culture tout au long du roman...
Le style d'écriture est plus sombre mais moins thriller à mon goût ! Tout au moins celui-ci ! J'ai trouvé l'intrigue intéressante au début ! Mais à force de torturer son lecteur, Keigo Higashino le perd un peu ! Les indices menant à l'issu de l'histoire se mélangent, se confondent, se perdent. Je ne me suis heureusement pas perdu dans l'histoire mais je me suis lassée de trop de rebondissements, trop de bouleversements, surtout d'un passage où une maison est reconstruite... (un peu lourd) pour arriver enfin au dénouement ! Il y a toutefois une des intrigues qui est restée en suspend. En revanche j'ai beaucoup aimé le style délicat de l'écriture, la douceur qu'on y retrouve ! Le dépaysement total car on ressent cette belle culture tout au long du roman...
  • Triste
  • Intriguant
  • Sayaka
  • Keigo Higashino
Huis-clos et amnésie
« De mon enfance, j'ai des souvenirs à partir du primaire. Surtout de la cérémonie de la rentrée. Maman me tirait par la main et nous avons franchi toutes les deux le portail de l'école. Le long du mur il y avait une belle rangée de cerisiers... Mais je ne me rappelle rien d'antérieur. » Quelle est donc cette amnésie bizarre, datée ? quand cette absence de mémoire ne vous permet pas d’avoir des relations normales avec les autres, surtout avec votre propre enfant. C’est un polar très étrange qui a obtenu le prix Polar international de Cognac en 2010. Ce huis clos très angoissant est écrit sans fioriture, presque d’une manière linéaire ; le petit ami raconte. Cette façon d’écrire créé une atmosphère qui ne m’a pas poussée à tourner les pages, à sauter des paragraphes pour savoir. D’une manière plus qu’habile, Keigo Higashino a retenu mon attention jusqu’au bout car il fallait suivre les deux « chercheurs » pas à pas pour passer de l’irrationnel au rationnel. Le thème de la mémoire et de la construction de l’humain est fort bien évoqué. Pour le reste, à vous de découvrir ce polar qui se laisse dévorer avec plaisir.
« De mon enfance, j'ai des souvenirs à partir du primaire. Surtout de la cérémonie de la rentrée. Maman me tirait par la main et nous avons franchi toutes les deux le portail de l'école. Le long du mur il y avait une belle rangée de cerisiers... Mais je ne me rappelle rien d'antérieur. » Quelle est donc cette amnésie bizarre, datée ? quand cette absence de mémoire ne vous permet pas d’avoir des relations normales avec les autres, surtout avec votre propre enfant. C’est un polar très étrange qui a obtenu le prix Polar international de Cognac en 2010. Ce huis clos très angoissant est écrit sans fioriture, presque d’une manière linéaire ; le petit ami raconte. Cette façon d’écrire créé une atmosphère qui ne m’a pas poussée à tourner les pages, à sauter des paragraphes pour savoir. D’une manière plus qu’habile, Keigo Higashino a retenu mon attention jusqu’au bout car il fallait suivre les deux « chercheurs » pas à pas pour passer de l’irrationnel au rationnel. Le thème de la mémoire et de la construction de l’humain est fort bien évoqué. Pour le reste, à vous de découvrir ce polar qui se laisse dévorer avec plaisir.
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