Je retrouve l'auteur avec plaisir, ayant lu il y'a quelques années son très bon précédent roman à suspens "Un café maison".
Il n'est pas question, cette fois-ci d'une enquête policière, mais plutôt de la recherche d'une enfance oubliée. Avec Yasaki et le narrateur, je suis partie dans cette étrange maison de Nagano ou rien ne semble juste et à sa place.
Les pages défilent, un coin du voile se soulève, entraînant d'autres questions.
Il est également question, en toile de fond dans ce roman, de la violence sur les enfants.
La société japonaise est toujours autant régit par des codes et des traditions.
Une intrigue assez alambiquée pour tenir le lecteur en haleine ; des personnages attachants ; un huis clôt passionnant.
L'image que je retiendrai :
Celle de la poupée sur le piano de la pièce principale, une poupée au regard étrange.
Citation :
"D'ailleurs, chacun n'a-t-il pas une maison où l'enfant qu'il était est mort autrefois ? On fait seulement semblant de ne pas voir qu'il s'y trouve encore parce qu'on ne tient pas à le rencontrer". (p.250)
Je retrouve l'auteur avec plaisir, ayant lu il y'a quelques années son très bon précédent roman à suspens "Un café maison".
Il n'est pas question, cette fois-ci d'une enquête policière, mais plutôt de la recherche d'une enfance oubliée. Avec Yasaki et le narrateur, je suis partie dans cette étrange maison de Nagano ou rien ne semble juste et à sa place.
Les pages défilent, un coin du voile se soulève, entraînant d'autres questions.
Il est également question, en toile de fond dans ce roman, de la violence sur les enfants.
La société japonaise est toujours autant régit par des codes et des traditions.
Une intrigue assez alambiquée pour tenir le lecteur en haleine ; des personnages attachants ; un huis clôt passionnant.
L'image que je retiendrai :
Celle de la poupée sur le piano de la pièce principale, une poupée au regard étrange.
Citation :
"D'ailleurs, chacun n'a-t-il pas une maison où l'enfant qu'il était est mort autrefois ? On fait seulement semblant de ne pas voir qu'il s'y trouve encore parce qu'on ne tient pas à le rencontrer". (p.250)