La gestion du travail scolaire. Etude auprès de lycéens et d'étudiants
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- Nombre de pages180
- PrésentationBroché
- Poids0.23 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-296-12398-4
- EAN9782296123984
- Date de parution30/09/2010
- CollectionLogiques sociales
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cet ouvrage propose une étude sociologique sur les manières de travailler à travers deux enquêtes empiriques. La première réalisée auprès des élèves de seconde, (classe charnière entre la fin de la troisième et l'entrée en second cycle du secondaire) tente de traiter la question de la différenciation scolaire, sociale et sexuelle à travers les pratiques réelles des élèves : les modes de gestion du temps, les rythmes de travail ainsi que les manières de travailler.
L'auteur montre entre autres que la gestion du travail scolaire des lycéens de seconde dépend certes du sexe de l'élève, de son origine sociale et de ses acquisitions scolaires antérieures mais surtout du contrôle exercé par les parents et de l'aide directe apportée à l'élève. La seconde essaie de se donner les moyens d'analyser les modes du travail intellectuel étudiant en les restituant au sein de logiques de connaissance propres à des savoirs et à des champs disciplinaires.
En comparant les formes du travail universitaire et de lecture en Lettres et Sciences Humaines, Sciences Economiques, Droit, Sciences et Médecine, l'auteur montre que le travail universitaire des étudiants est fortement déterminé par la discipline d'appartenance qui apparaît comme une puissante instance de socialisation avec ses règles et ses codes d'apprentissages.
L'auteur montre entre autres que la gestion du travail scolaire des lycéens de seconde dépend certes du sexe de l'élève, de son origine sociale et de ses acquisitions scolaires antérieures mais surtout du contrôle exercé par les parents et de l'aide directe apportée à l'élève. La seconde essaie de se donner les moyens d'analyser les modes du travail intellectuel étudiant en les restituant au sein de logiques de connaissance propres à des savoirs et à des champs disciplinaires.
En comparant les formes du travail universitaire et de lecture en Lettres et Sciences Humaines, Sciences Economiques, Droit, Sciences et Médecine, l'auteur montre que le travail universitaire des étudiants est fortement déterminé par la discipline d'appartenance qui apparaît comme une puissante instance de socialisation avec ses règles et ses codes d'apprentissages.
Cet ouvrage propose une étude sociologique sur les manières de travailler à travers deux enquêtes empiriques. La première réalisée auprès des élèves de seconde, (classe charnière entre la fin de la troisième et l'entrée en second cycle du secondaire) tente de traiter la question de la différenciation scolaire, sociale et sexuelle à travers les pratiques réelles des élèves : les modes de gestion du temps, les rythmes de travail ainsi que les manières de travailler.
L'auteur montre entre autres que la gestion du travail scolaire des lycéens de seconde dépend certes du sexe de l'élève, de son origine sociale et de ses acquisitions scolaires antérieures mais surtout du contrôle exercé par les parents et de l'aide directe apportée à l'élève. La seconde essaie de se donner les moyens d'analyser les modes du travail intellectuel étudiant en les restituant au sein de logiques de connaissance propres à des savoirs et à des champs disciplinaires.
En comparant les formes du travail universitaire et de lecture en Lettres et Sciences Humaines, Sciences Economiques, Droit, Sciences et Médecine, l'auteur montre que le travail universitaire des étudiants est fortement déterminé par la discipline d'appartenance qui apparaît comme une puissante instance de socialisation avec ses règles et ses codes d'apprentissages.
L'auteur montre entre autres que la gestion du travail scolaire des lycéens de seconde dépend certes du sexe de l'élève, de son origine sociale et de ses acquisitions scolaires antérieures mais surtout du contrôle exercé par les parents et de l'aide directe apportée à l'élève. La seconde essaie de se donner les moyens d'analyser les modes du travail intellectuel étudiant en les restituant au sein de logiques de connaissance propres à des savoirs et à des champs disciplinaires.
En comparant les formes du travail universitaire et de lecture en Lettres et Sciences Humaines, Sciences Economiques, Droit, Sciences et Médecine, l'auteur montre que le travail universitaire des étudiants est fortement déterminé par la discipline d'appartenance qui apparaît comme une puissante instance de socialisation avec ses règles et ses codes d'apprentissages.