Thomas Hardy (1840-1928), poète et romancier.
La bibliothèque idéale des 50 ans GF Tome 27
A la lumière des étoiles
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- Nombre de pages347
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.24 kg
- Dimensions11,2 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-08-135454-8
- EAN9782081354548
- Date de parution04/02/2015
- CollectionGF
- ÉditeurFlammarion
- TraducteurMarie Cresciani
- PréfacierDiane de Margerie
Résumé
Tout rapproche Lady Viviette, dont le mari a disparu en Afrique depuis des années, et le tout jeune Swithin, promis à une belle carrière d'astronome. Mais s'il y a des unions écrites dans les étoiles, celle-ci est contrecarrée par les déterminismes humains dont l'écrivain anglais Thomas Hardy s'est toujours fait le peintre sarcastique. Leur condition sociale, leur âge et ironie de la vie» — ici incarnée par un vieil oncle misogyne qui fait de sa fortune un objet de chantage pour empêcher l'union — rendront la séparation inéluctable...
C'est pour oublier combien la passion ne dure qu'un temps que Thomas Hardy a choisi comme décor de cette histoire tragique la pérennité des espaces célestes. Dans A la lumière des étoiles (1882), l'illusion de l'amour, frappée en plein coeur, reste totale.
C'est pour oublier combien la passion ne dure qu'un temps que Thomas Hardy a choisi comme décor de cette histoire tragique la pérennité des espaces célestes. Dans A la lumière des étoiles (1882), l'illusion de l'amour, frappée en plein coeur, reste totale.
Tout rapproche Lady Viviette, dont le mari a disparu en Afrique depuis des années, et le tout jeune Swithin, promis à une belle carrière d'astronome. Mais s'il y a des unions écrites dans les étoiles, celle-ci est contrecarrée par les déterminismes humains dont l'écrivain anglais Thomas Hardy s'est toujours fait le peintre sarcastique. Leur condition sociale, leur âge et ironie de la vie» — ici incarnée par un vieil oncle misogyne qui fait de sa fortune un objet de chantage pour empêcher l'union — rendront la séparation inéluctable...
C'est pour oublier combien la passion ne dure qu'un temps que Thomas Hardy a choisi comme décor de cette histoire tragique la pérennité des espaces célestes. Dans A la lumière des étoiles (1882), l'illusion de l'amour, frappée en plein coeur, reste totale.
C'est pour oublier combien la passion ne dure qu'un temps que Thomas Hardy a choisi comme décor de cette histoire tragique la pérennité des espaces célestes. Dans A la lumière des étoiles (1882), l'illusion de l'amour, frappée en plein coeur, reste totale.