ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/tess-d-urberville-thomas-hardy.html
Le mot de la fin : Un ouvrage riche, qui invite à se pencher sur la condition de la femme dans l’Angleterre du XIXe. Cette œuvre pessimiste bouleverse autant qu’elle fascine. Il est impossible de prendre parti pour l’un ou l’autre des personnages, la seule certitude que l’on peut avoir est que Hardy devait avoir un réel problème avec les femmes ! Un livre de passion que l’on dévore, ce grand naturaliste arrive à transporter ses lecteurs, même en décrivant une forêt !
Tellement bien!
ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/tess-d-urberville-thomas-hardy.html
Le mot de la fin : Un ouvrage riche, qui invite à se pencher sur la condition de la femme dans l’Angleterre du XIXe. Cette œuvre pessimiste bouleverse autant qu’elle fascine. Il est impossible de prendre parti pour l’un ou l’autre des personnages, la seule certitude que l’on peut avoir est que Hardy devait avoir un réel problème avec les femmes ! Un livre de passion que l’on dévore, ce grand naturaliste arrive à transporter ses lecteurs, même en décrivant une forêt !