L'Etat post-moderne
5e édition

Par : Jacques Chevallier

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  • Nombre de pages328
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.27 kg
  • Dimensions11,1 cm × 18,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-275-05763-7
  • EAN9782275057637
  • Date de parution19/12/2017
  • CollectionDroit et société. Classics
  • ÉditeurLGDJ
  • PréfacierJacques Commaille

Résumé

Tout se passe comme si les sociétés contemporaines connaissaient, en ce début du XXle siècle, une transformation profonde de leurs principes d'organisation. Il semble que l'on soit entré dans un âge nouveau, dans lequel l'architecture sociale tout entière est en passe d'être redéfinie, au prix de fortes secousses : la société "moderne", dont les contours ont été tracés en Occident avant d'être diffusée à l'échelle planétaire, tend à faire place à une société nouvelle qui, si elle s'enracine dans la modernité, n'en présente pas moins des caractéristiques différentes, donc "post-moderne".
Les changements qui affectent l'Etat ne sont qu'un des aspects de cette mutation et, en tant que tels, indissociables des mouvements de fond qui agitent le social. L'entrée de l'Etat dans l'âge de la post-modernité se traduit par la remise en cause des attributs classiques qui étaient les siens, sans qu'il soit possible pour autant de tracer les contours d'un autre modèle étatique : l'Etat post-moderne est un Etat dont les traits restent marqués par l'incertitude, la complexité, l'indétermination.
Pour l'analyser, il est seulement possible de dégager un certain nombre d'aspects qui sont la marque, l'indice, le signe tangible de cette indétermination nouvelle : la reconfiguration des appareils d'Etat (chapitre 1I) et les transformations corrélatives dans la conception du droit (chapitre 2), recouvrent ainsi un mouvement plus profond de redéfinition du lien politique (chapitre 3).
Tout se passe comme si les sociétés contemporaines connaissaient, en ce début du XXle siècle, une transformation profonde de leurs principes d'organisation. Il semble que l'on soit entré dans un âge nouveau, dans lequel l'architecture sociale tout entière est en passe d'être redéfinie, au prix de fortes secousses : la société "moderne", dont les contours ont été tracés en Occident avant d'être diffusée à l'échelle planétaire, tend à faire place à une société nouvelle qui, si elle s'enracine dans la modernité, n'en présente pas moins des caractéristiques différentes, donc "post-moderne".
Les changements qui affectent l'Etat ne sont qu'un des aspects de cette mutation et, en tant que tels, indissociables des mouvements de fond qui agitent le social. L'entrée de l'Etat dans l'âge de la post-modernité se traduit par la remise en cause des attributs classiques qui étaient les siens, sans qu'il soit possible pour autant de tracer les contours d'un autre modèle étatique : l'Etat post-moderne est un Etat dont les traits restent marqués par l'incertitude, la complexité, l'indétermination.
Pour l'analyser, il est seulement possible de dégager un certain nombre d'aspects qui sont la marque, l'indice, le signe tangible de cette indétermination nouvelle : la reconfiguration des appareils d'Etat (chapitre 1I) et les transformations corrélatives dans la conception du droit (chapitre 2), recouvrent ainsi un mouvement plus profond de redéfinition du lien politique (chapitre 3).
Droit et marché
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45,00 €