Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Lorsqu'il évoque sa mobilisation après le débarquement allié en Afrique du Nord, Jean Freustié observe que le méchoui d'adieux organisé à l'internat...
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Résumé
Lorsqu'il évoque sa mobilisation après le débarquement allié en Afrique du Nord, Jean Freustié observe que le méchoui d'adieux organisé à l'internat n'était pas si joyeux : " A ce festin nous avions convoqué tous nos amis, y compris quelques infirmiers arabes avec lesquels nous avions travaillé depuis deux ans et sympathisé beaucoup en apparence. " Les médecins français sont des fêtards bruyants et incongrus, l'un ayant mérité la francisque, prestement remisée au vu des événements.
L'Entracte algérien recèle des scènes de querelles entre carabins pochards qui sont des occasions d'hilarité à chaque relecture. Mais il n'y a plus bientôt de quoi rire, et c'est bien l'avis, aussi, des " populations arabes " : " On allait les mobiliser à nouveau, ils seraient la piétaille. Leurs tombes seraient en Tunisie, en Italie, en France. "
Jean Freustié fut critique littéraire au Nouvel Observateur. Lauréat du Prix Renaudot en 1970 pour Isabelle ou l'arrière-saison, il était aussi un grand nouvelliste dont Pascal Pia salua le talent.