Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La mine de plomb argentifère de Peisey fut, aux XVIIIe et XIXe siècles, l'un des sites d'extraction et de production de plomb et d'argent les plus connus...
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Livré chez vous entre le 8 octobre et le 22 octobre
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Résumé
La mine de plomb argentifère de Peisey fut, aux XVIIIe et XIXe siècles, l'un des sites d'extraction et de production de plomb et d'argent les plus connus en Europe. Mais Peisey en 1802 n'est qu'un tout petit village niché dans une vallée haute à 1 300 mètres d'altitude, relié à la vallée de l'Isère par un mauvais chemin muletier, vivant essentiellement de l'agriculture et de l'élevage. Bien sûr la mine de plomb argentifère est en activité depuis une petite centaine d'années déjà, bien sûr sa fonderie a attiré déjà des techniciens étrangers, saxons, piémontais, anglais maîtrisant " les secrets pour fondre les métaux ", bien sûr des paysans ont commencé à s'embaucher à la mine l'hiver... On aurait pu en rester là et attendre tranquillement l'épuisement du gisement, la fermeture de la mine, l'exode... Mais le destin de la mine de Peisey a basculé dans la "grande histoire" un jour de pluviôse An X, lorsqu'un décret signé de CHAPTAL, alors ministre de l'Intérieur sous le Consulat, fixe à Peisey le siège de l'Ecole pratique des Mines, école d'application de Polytechnique de Paris.
Elle y fonctionnera 13 ans, de 1802 à 1814.