Très moderne, ce roman de 1951 est narré à la première personne par un adolescent désillusionné qui écrit comme il parle, qui déteste beaucoup de choses et n'aime rien à part ses fantasmes partant pourtant en lambeaux. Derrière ses déambulations new-yorkaises et cet ennui palpable, se cachent des réflexions pleines de beauté, de poésie, fantasques et fragiles, de cet éther décalé qui fait les jeunes années (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/08/10/lattrape-coeurs-j-d-salinger/)
Très moderne, ce roman de 1951 est narré à la première personne par un adolescent désillusionné qui écrit comme il parle, qui déteste beaucoup de choses et n'aime rien à part ses fantasmes partant pourtant en lambeaux. Derrière ses déambulations new-yorkaises et cet ennui palpable, se cachent des réflexions pleines de beauté, de poésie, fantasques et fragiles, de cet éther décalé qui fait les jeunes années (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/08/10/lattrape-coeurs-j-d-salinger/)