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  • Nombre de pages360
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.186 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 0,2 cm
  • ISBN978-2-266-32287-4
  • EAN9782266322874
  • Date de parution12/05/2022
  • CollectionPocket. Thriller
  • ÉditeurPocket

Résumé

Jeune peintre prodige, jet-setteur qui affole autant les tabloïds que les galeries les plus prestigieuses, Juliano Rizzoni part au Japon s'initier à la technique ancestrale et violente du tatouage Irezumi. A son retour, il signe dix oeuvres d'art tatouées sur le dos de ses amant(e)s. L'histoire prend une tournure inquiétante lorsque, quelques années après leur réalisation, les peaux tatouées, parfaitement tannées et découpées, sont déposées anonymement chez Sotheby's Paris pour une vente aux enchères hors normes.
Leurs propriétaires, vivants ou morts, restent introuvables. Le commandant Stéphane Jourdain et la capitaine Lucie Bunevial sont alors chargés de résoudre cette énigme de sang et d'encre, qui les lancera dans un jeu de piste à l'échelle de la planète.
Jeune peintre prodige, jet-setteur qui affole autant les tabloïds que les galeries les plus prestigieuses, Juliano Rizzoni part au Japon s'initier à la technique ancestrale et violente du tatouage Irezumi. A son retour, il signe dix oeuvres d'art tatouées sur le dos de ses amant(e)s. L'histoire prend une tournure inquiétante lorsque, quelques années après leur réalisation, les peaux tatouées, parfaitement tannées et découpées, sont déposées anonymement chez Sotheby's Paris pour une vente aux enchères hors normes.
Leurs propriétaires, vivants ou morts, restent introuvables. Le commandant Stéphane Jourdain et la capitaine Lucie Bunevial sont alors chargés de résoudre cette énigme de sang et d'encre, qui les lancera dans un jeu de piste à l'échelle de la planète.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.4/5
sur 5 notes dont 5 avis lecteurs
l'art de la peinture, l'art du tatouage, l'art du crime
Anouk Shutterberg nous présente son premier livre, dans lequel elle nous guide à travers un univers qu'elle maîtrise parfaitement : celui de l'art et de la peinture. Forte de son expérience au sein de galeries parisiennes et d'un mémoire sur le marché de l'art, elle transmet une connaissance palpable et une passion indéniable pour le sujet. Dans cet ouvrage, elle nous emmène au Japon, à la découverte de l'Irezumi, cet art ancestral du tatouage, qui se distingue par sa pratique unique. Néanmoins, ne vous laissez pas tromper : ce n'est pas simplement un livre célébrant la beauté artistique. Bien qu'il regorge d'œuvres fascinantes et parfois étonnantes — car il faut bien un peu de mystère —, l'intrigue est bien présente. Nous y faisons la connaissance de Juliano Rizzoni, un artiste peintre reconnu qui va passer deux ans à s'initier auprès des maîtres nippons au Tebori (ce qui signifie "gravé à la main") et à l'Irezumi. À son retour, il reprend son existence marquée par des excès et une multitude d'amants. Mais voilà que les choses prennent une tournure inattendue lorsqu'il est convoqué par la police après que dix peaux tatouées ont été déposées anonymement chez Sotheby's Paris. Ces peaux humaines posent alors une question troublante : où sont les corps ? Pour mener cette enquête complexe, rien de tel qu'un duo policier classique : le commissaire Stéphane Jourdain, fort d'une longue expérience mais en difficulté dans sa vie personnelle, associé à une jeune lieutenante Lucie Bunevial récemment arrivée et déterminée à donner le meilleur d'elle-même dans son travail. Les études d'art qu'elle a réalisées lui confèrent un avantage certain sur ses collègues. Le récit est tour à tour effrayant, captivant, déconcertant et choquant, nous faisant traverser toutes les émotions. Les allers-retours entre passé et présent enrichissent notre compréhension des personnages secondaires, éclaircissant ainsi certaines situations et leurs enjeux. Le fait que l'auteur ait daté ces flash-backs permet de s'ancrer dans le temps et de suivre l'histoire de manière chronologique. Tous les éléments sont réunis pour en faire un excellent thriller : des peaux tatouées, des protagonistes qui acceptent la vente de ces peaux, un duo d'enquêteurs portant aussi leurs propres secrets, le mélange de beauté et de douceur avec une touche de suspense et d'horreur. Chaque page captive le lecteur au point qu'il n'a pas le temps de reprendre son souffle. Pour un premier essai, l'auteur frappe fort ; bien que la fin soit dérangeante et stupéfiante, c'est justement ce qui rend le livre si attractif et palpitant. Certains lecteurs pourraient être choqués par la description de certains actes. En conclusion, j'ai fait une belle découverte ; je ne connaissais pas cette autrice avant que ce livre ne soit proposé pour une lecture commune, et je ne regrette absolument pas cette expérience : c'est une pépite sanguinolente mais néanmoins précieuse. J'ai hâte de retrouver ce duo d'enquêteurs dans les prochains livres ; d'ailleurs, je commence dès maintenant le deuxième tome !
Anouk Shutterberg nous présente son premier livre, dans lequel elle nous guide à travers un univers qu'elle maîtrise parfaitement : celui de l'art et de la peinture. Forte de son expérience au sein de galeries parisiennes et d'un mémoire sur le marché de l'art, elle transmet une connaissance palpable et une passion indéniable pour le sujet. Dans cet ouvrage, elle nous emmène au Japon, à la découverte de l'Irezumi, cet art ancestral du tatouage, qui se distingue par sa pratique unique. Néanmoins, ne vous laissez pas tromper : ce n'est pas simplement un livre célébrant la beauté artistique. Bien qu'il regorge d'œuvres fascinantes et parfois étonnantes — car il faut bien un peu de mystère —, l'intrigue est bien présente. Nous y faisons la connaissance de Juliano Rizzoni, un artiste peintre reconnu qui va passer deux ans à s'initier auprès des maîtres nippons au Tebori (ce qui signifie "gravé à la main") et à l'Irezumi. À son retour, il reprend son existence marquée par des excès et une multitude d'amants. Mais voilà que les choses prennent une tournure inattendue lorsqu'il est convoqué par la police après que dix peaux tatouées ont été déposées anonymement chez Sotheby's Paris. Ces peaux humaines posent alors une question troublante : où sont les corps ? Pour mener cette enquête complexe, rien de tel qu'un duo policier classique : le commissaire Stéphane Jourdain, fort d'une longue expérience mais en difficulté dans sa vie personnelle, associé à une jeune lieutenante Lucie Bunevial récemment arrivée et déterminée à donner le meilleur d'elle-même dans son travail. Les études d'art qu'elle a réalisées lui confèrent un avantage certain sur ses collègues. Le récit est tour à tour effrayant, captivant, déconcertant et choquant, nous faisant traverser toutes les émotions. Les allers-retours entre passé et présent enrichissent notre compréhension des personnages secondaires, éclaircissant ainsi certaines situations et leurs enjeux. Le fait que l'auteur ait daté ces flash-backs permet de s'ancrer dans le temps et de suivre l'histoire de manière chronologique. Tous les éléments sont réunis pour en faire un excellent thriller : des peaux tatouées, des protagonistes qui acceptent la vente de ces peaux, un duo d'enquêteurs portant aussi leurs propres secrets, le mélange de beauté et de douceur avec une touche de suspense et d'horreur. Chaque page captive le lecteur au point qu'il n'a pas le temps de reprendre son souffle. Pour un premier essai, l'auteur frappe fort ; bien que la fin soit dérangeante et stupéfiante, c'est justement ce qui rend le livre si attractif et palpitant. Certains lecteurs pourraient être choqués par la description de certains actes. En conclusion, j'ai fait une belle découverte ; je ne connaissais pas cette autrice avant que ce livre ne soit proposé pour une lecture commune, et je ne regrette absolument pas cette expérience : c'est une pépite sanguinolente mais néanmoins précieuse. J'ai hâte de retrouver ce duo d'enquêteurs dans les prochains livres ; d'ailleurs, je commence dès maintenant le deuxième tome !
Plongée dans l'univers du tatouage et de l'art...
Cher Vous, Juliano Rizzoni est un enfant prodige. Très tôt, il révèle un talent inné pour la peinture, produisant des oeuvres à l'univers très particulier. Malheureusement, très tôt, Juliano Rizzoni est orphelin et à la tête d'un empire... Il devra alors oublier pour quelques temps la peinture pour se former à la gestion d'entreprise, comme tout bon héritier se doit de le faire. Mais, ce qui le fait vibrer, Juliano Rizzoni, c'est avant tout de peindre, et de créer... Il va alors tout quitter pour partir au Japon, dans l'espoir qu'un maître en Irezumi accepte de le former. Il lui faudra plusieurs années pour maîtriser cet art du tatouage mais surtout pour en appréhender toute la philosophie. A son retour au Monde, Juliano Rizzoni redeviendra la star qu'il a toujours été... à la fois controversée et applaudie des deux mains. Jusqu'à ce que dix peaux tatouées, celles de ces amant(e)s soient déposées chez Sotheby's pour une grande vente... Commencera alors une enquête particulièrement complexe pour le commissaire Jourdain et la lieutenant Bunevial... Avec Jeu de peaux, Anouk Shutterberg déboule dans le monde du polar avec fracas. Ce tout premier roman mêle de multiples thématiques, brouille les pistes sans jamais perdre en rythme. A la fois très bien documenté sans jamais tomber dans la didactique ennuyeuse, Jeu de peaux emmène le lecteur dans un univers impitoyable où s'entremêlent bien souvent plaisir et douleur. L'ensemble des personnages est particulièrement bien construit menant, selon les situations, le lecteur a les détester, a les aimer ou a trembler pour eux... Une chose est sûre, aucun d'eux ne laisse indifférent... A commencer par le Commissaire Jourdain ! Un premier polar parfaitement maîtrisé, à l'écriture fine et efficace, et au rythme soutenu qui révèle une fin en apothéose ! http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2023/12/10/40138160.html
Cher Vous, Juliano Rizzoni est un enfant prodige. Très tôt, il révèle un talent inné pour la peinture, produisant des oeuvres à l'univers très particulier. Malheureusement, très tôt, Juliano Rizzoni est orphelin et à la tête d'un empire... Il devra alors oublier pour quelques temps la peinture pour se former à la gestion d'entreprise, comme tout bon héritier se doit de le faire. Mais, ce qui le fait vibrer, Juliano Rizzoni, c'est avant tout de peindre, et de créer... Il va alors tout quitter pour partir au Japon, dans l'espoir qu'un maître en Irezumi accepte de le former. Il lui faudra plusieurs années pour maîtriser cet art du tatouage mais surtout pour en appréhender toute la philosophie. A son retour au Monde, Juliano Rizzoni redeviendra la star qu'il a toujours été... à la fois controversée et applaudie des deux mains. Jusqu'à ce que dix peaux tatouées, celles de ces amant(e)s soient déposées chez Sotheby's pour une grande vente... Commencera alors une enquête particulièrement complexe pour le commissaire Jourdain et la lieutenant Bunevial... Avec Jeu de peaux, Anouk Shutterberg déboule dans le monde du polar avec fracas. Ce tout premier roman mêle de multiples thématiques, brouille les pistes sans jamais perdre en rythme. A la fois très bien documenté sans jamais tomber dans la didactique ennuyeuse, Jeu de peaux emmène le lecteur dans un univers impitoyable où s'entremêlent bien souvent plaisir et douleur. L'ensemble des personnages est particulièrement bien construit menant, selon les situations, le lecteur a les détester, a les aimer ou a trembler pour eux... Une chose est sûre, aucun d'eux ne laisse indifférent... A commencer par le Commissaire Jourdain ! Un premier polar parfaitement maîtrisé, à l'écriture fine et efficace, et au rythme soutenu qui révèle une fin en apothéose ! http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2023/12/10/40138160.html
Un scénario très bien ficelé
10 juin 2019. De nombreux fans et journalistes se pressent devant le siège de la PJ parisienne, au 36 rue du Bastion. L’arrivée d’une voiture de sport est accueillie par des applaudissements, des flashs d’appareils photo, des questions de journalistes, des cris enthousiastes. Tous veulent savoir pour quelle raison le célèbre Juliano Rizzoni est convoqué par la police. Âgé de trente-trois ans, cet artiste peintre a été élevé dans un milieu d’argent et de pouvoir. Orphelin, il est l’unique héritier de Rizzoni & Co., une multinationale industrielle. « Il est né riche, très riche. Et il est très doué, très doué » (p. 14). Ses toiles se vendent des millions de dollars. En 2010, il a, également, été initié à la technique du tatouage Irezumi. Il a tout appris au Japon, auprès d’un puriste, maître Hogoshi III. Lorsque le célèbre maître-tatoueur a réalisé une œuvre sur son corps, il a lui-même éprouvé, dans sa chair, la souffrance physique de cette technique ancestrale. Chaque séance était rythmée par le rituel « Douleur, plaisir ». Fort de son enseignement, Juliano a réalisé une œuvre sur le dos de dix personnes. Deux étaient une commande et il a offert les huit autres à ses amant(e)s. « Douleur, plaisir ». C’est la raison de sa convocation : les peaux ont été déposées, la nuit dernière, chez Sotheby’s Paris, pour être mises aux enchères. Les tatouages, qui recouvrent la quasi-totalité du dos, ont été retirés de leurs propriétaires. Où sont ces derniers ? Je ne suis pas tatouée et je n’ai pas envie de l’être, cependant, j’ai été passionnée par les passages décrivant la transmission du maître à son apprenti. J’ai serré les dents, en lisant la souffrance de ceux qui offrent leur corps à cet art, d’autant plus que la technique Irezumi est particulièrement brutale, mais elle offre une précision inégalée. Moi qui ne suis pas attirée par les tatouages, j’ai aimé découvrir l’univers et les motivations de ceux qui s’y adonnent. Le commissaire Stéphane Jourdain et l’inspectrice Lucie Bunevial sont chargés de l’affaire. Ils enquêtent sur les relations sulfureuses entre Juliano et ceux à qu’il a offert son art, ils analysent la personnalité et le passé de l’artiste et de ses amants, ils s’informent sur les acheteurs potentiels et ils activent leurs contacts internationaux. Lucie a compris que seul le passé de Juliano Rizzoni peut éclairer les crimes actuels. Les scènes macabres s’enchaînent, des personnes sont exécutées, certaines presque « avec classe », d’autres avec barbarie et tortures. Certains passages sont durs à lire, l’imagination des tueurs (donc, celle de l’auteure) est sans limites. Si la souffrance n’était pas à son paroxysme, on s’attarderait sur l’intelligence des tortionnaires. Cependant, le plus difficile à supporter est ce que subit un personnage qui sait ce qui l’attend, mais endure l’innommable pour atteindre ses objectifs. Le récit alterne entre la temporalité de l’enquête et les faits précédents l’audition de l’artiste, en tant que témoin. Chaque aller-retour soulève de nouvelles questions, ce qui augmente la tension. De plus, un personnage prend des risques inouïs, j’ai eu la sensation d’être entourée d’un voile noir et oppressant. Je ne savais pas sous quelle forme se présenterait le danger, mais je sentais sa présence. Lorsque le dénouement a dévoilé les mystères, je me suis aperçue que les réponses étaient dans les détails. Le scénario est très bien ficelé. Enfin, la dernière phrase est glaçante et laisse entrevoir la possibilité d’une suite. Je l’espère sincèrement, car j’ai énormément aimé Jeu de peaux.
10 juin 2019. De nombreux fans et journalistes se pressent devant le siège de la PJ parisienne, au 36 rue du Bastion. L’arrivée d’une voiture de sport est accueillie par des applaudissements, des flashs d’appareils photo, des questions de journalistes, des cris enthousiastes. Tous veulent savoir pour quelle raison le célèbre Juliano Rizzoni est convoqué par la police. Âgé de trente-trois ans, cet artiste peintre a été élevé dans un milieu d’argent et de pouvoir. Orphelin, il est l’unique héritier de Rizzoni & Co., une multinationale industrielle. « Il est né riche, très riche. Et il est très doué, très doué » (p. 14). Ses toiles se vendent des millions de dollars. En 2010, il a, également, été initié à la technique du tatouage Irezumi. Il a tout appris au Japon, auprès d’un puriste, maître Hogoshi III. Lorsque le célèbre maître-tatoueur a réalisé une œuvre sur son corps, il a lui-même éprouvé, dans sa chair, la souffrance physique de cette technique ancestrale. Chaque séance était rythmée par le rituel « Douleur, plaisir ». Fort de son enseignement, Juliano a réalisé une œuvre sur le dos de dix personnes. Deux étaient une commande et il a offert les huit autres à ses amant(e)s. « Douleur, plaisir ». C’est la raison de sa convocation : les peaux ont été déposées, la nuit dernière, chez Sotheby’s Paris, pour être mises aux enchères. Les tatouages, qui recouvrent la quasi-totalité du dos, ont été retirés de leurs propriétaires. Où sont ces derniers ? Je ne suis pas tatouée et je n’ai pas envie de l’être, cependant, j’ai été passionnée par les passages décrivant la transmission du maître à son apprenti. J’ai serré les dents, en lisant la souffrance de ceux qui offrent leur corps à cet art, d’autant plus que la technique Irezumi est particulièrement brutale, mais elle offre une précision inégalée. Moi qui ne suis pas attirée par les tatouages, j’ai aimé découvrir l’univers et les motivations de ceux qui s’y adonnent. Le commissaire Stéphane Jourdain et l’inspectrice Lucie Bunevial sont chargés de l’affaire. Ils enquêtent sur les relations sulfureuses entre Juliano et ceux à qu’il a offert son art, ils analysent la personnalité et le passé de l’artiste et de ses amants, ils s’informent sur les acheteurs potentiels et ils activent leurs contacts internationaux. Lucie a compris que seul le passé de Juliano Rizzoni peut éclairer les crimes actuels. Les scènes macabres s’enchaînent, des personnes sont exécutées, certaines presque « avec classe », d’autres avec barbarie et tortures. Certains passages sont durs à lire, l’imagination des tueurs (donc, celle de l’auteure) est sans limites. Si la souffrance n’était pas à son paroxysme, on s’attarderait sur l’intelligence des tortionnaires. Cependant, le plus difficile à supporter est ce que subit un personnage qui sait ce qui l’attend, mais endure l’innommable pour atteindre ses objectifs. Le récit alterne entre la temporalité de l’enquête et les faits précédents l’audition de l’artiste, en tant que témoin. Chaque aller-retour soulève de nouvelles questions, ce qui augmente la tension. De plus, un personnage prend des risques inouïs, j’ai eu la sensation d’être entourée d’un voile noir et oppressant. Je ne savais pas sous quelle forme se présenterait le danger, mais je sentais sa présence. Lorsque le dénouement a dévoilé les mystères, je me suis aperçue que les réponses étaient dans les détails. Le scénario est très bien ficelé. Enfin, la dernière phrase est glaçante et laisse entrevoir la possibilité d’une suite. Je l’espère sincèrement, car j’ai énormément aimé Jeu de peaux.
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