Histoire des traductions en langue française. XV-XVIe siècles
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- Nombre de pages1341
- PrésentationRelié
- Poids1.05 kg
- Dimensions14,5 cm × 22,6 cm × 4,2 cm
- ISBN978-2-86432-826-1
- EAN9782864328261
- Date de parution05/11/2015
- ÉditeurVerdier éditions
- PréfacierYves Chevrel
- PréfacierJean-Yves Masson
Résumé
L'Histoire des traductions en langue française en quatre volumes, coordonnée par Yves Chevrel et Jean-Yves Masson, se propose de donner une vue d'ensemble du rôle trop souvent négligé qu'ont joué les traducteurs dans la constitution du "patrimoine intellectuel" de notre langue. Troisième à paraître, le présent volume, qui s'ouvre sur un rappel des modalités particulières à la "translation" au Moyen Age, est consacré à la Renaissance et va de 1470 (année où commence l'activité du premier atelier français d'imprimerie) à l'assassinat d'Henri IV en 16io.
S'il fait la part belle aux oeuvres littéraires, il consacre d'importants chapitres aux traductions d'ouvrages religieux, juridiques, historiques, politiques, scientifiques ou philosophiques, sans oublier les récits de voyage ou les traités de morale. Ce siècle et demi se caractérise par la volonté de donner à la langue française une autorité lui permettant de concurrencer le latin dans tous les domaines, et lui accordant un statut au moins égal à celui de l'italien.
Dans un contexte hautement polémique marqué à la fois par l'expansion de l'humanisme et par les conflits religieux, la "traduction" (le mot apparaît en français vers 1530) devient un enjeu capital : vantée par les uns, dénigrée par les autres, elle fait dès lors l'objet de réflexions d'une exceptionnelle richesse, qui sont ici étudiées en détail. Fruit de la collaboration de quarante-cinq spécialistes qui se sont donné pour règle de présenter leurs analyses sous une forme accessible à tous, cet ouvrage s'accompagne d'un index d'environ six cents noms de traducteurs.
Il constitue le premier bilan de cette ampleur jamais publié sur les traductions en langue française à la Renaissance.
S'il fait la part belle aux oeuvres littéraires, il consacre d'importants chapitres aux traductions d'ouvrages religieux, juridiques, historiques, politiques, scientifiques ou philosophiques, sans oublier les récits de voyage ou les traités de morale. Ce siècle et demi se caractérise par la volonté de donner à la langue française une autorité lui permettant de concurrencer le latin dans tous les domaines, et lui accordant un statut au moins égal à celui de l'italien.
Dans un contexte hautement polémique marqué à la fois par l'expansion de l'humanisme et par les conflits religieux, la "traduction" (le mot apparaît en français vers 1530) devient un enjeu capital : vantée par les uns, dénigrée par les autres, elle fait dès lors l'objet de réflexions d'une exceptionnelle richesse, qui sont ici étudiées en détail. Fruit de la collaboration de quarante-cinq spécialistes qui se sont donné pour règle de présenter leurs analyses sous une forme accessible à tous, cet ouvrage s'accompagne d'un index d'environ six cents noms de traducteurs.
Il constitue le premier bilan de cette ampleur jamais publié sur les traductions en langue française à la Renaissance.
L'Histoire des traductions en langue française en quatre volumes, coordonnée par Yves Chevrel et Jean-Yves Masson, se propose de donner une vue d'ensemble du rôle trop souvent négligé qu'ont joué les traducteurs dans la constitution du "patrimoine intellectuel" de notre langue. Troisième à paraître, le présent volume, qui s'ouvre sur un rappel des modalités particulières à la "translation" au Moyen Age, est consacré à la Renaissance et va de 1470 (année où commence l'activité du premier atelier français d'imprimerie) à l'assassinat d'Henri IV en 16io.
S'il fait la part belle aux oeuvres littéraires, il consacre d'importants chapitres aux traductions d'ouvrages religieux, juridiques, historiques, politiques, scientifiques ou philosophiques, sans oublier les récits de voyage ou les traités de morale. Ce siècle et demi se caractérise par la volonté de donner à la langue française une autorité lui permettant de concurrencer le latin dans tous les domaines, et lui accordant un statut au moins égal à celui de l'italien.
Dans un contexte hautement polémique marqué à la fois par l'expansion de l'humanisme et par les conflits religieux, la "traduction" (le mot apparaît en français vers 1530) devient un enjeu capital : vantée par les uns, dénigrée par les autres, elle fait dès lors l'objet de réflexions d'une exceptionnelle richesse, qui sont ici étudiées en détail. Fruit de la collaboration de quarante-cinq spécialistes qui se sont donné pour règle de présenter leurs analyses sous une forme accessible à tous, cet ouvrage s'accompagne d'un index d'environ six cents noms de traducteurs.
Il constitue le premier bilan de cette ampleur jamais publié sur les traductions en langue française à la Renaissance.
S'il fait la part belle aux oeuvres littéraires, il consacre d'importants chapitres aux traductions d'ouvrages religieux, juridiques, historiques, politiques, scientifiques ou philosophiques, sans oublier les récits de voyage ou les traités de morale. Ce siècle et demi se caractérise par la volonté de donner à la langue française une autorité lui permettant de concurrencer le latin dans tous les domaines, et lui accordant un statut au moins égal à celui de l'italien.
Dans un contexte hautement polémique marqué à la fois par l'expansion de l'humanisme et par les conflits religieux, la "traduction" (le mot apparaît en français vers 1530) devient un enjeu capital : vantée par les uns, dénigrée par les autres, elle fait dès lors l'objet de réflexions d'une exceptionnelle richesse, qui sont ici étudiées en détail. Fruit de la collaboration de quarante-cinq spécialistes qui se sont donné pour règle de présenter leurs analyses sous une forme accessible à tous, cet ouvrage s'accompagne d'un index d'environ six cents noms de traducteurs.
Il constitue le premier bilan de cette ampleur jamais publié sur les traductions en langue française à la Renaissance.