Prosper Mérimée est né en septembre 1803 à Paris. Il est mort à Cannes en septembre 1870. D’origine française, il est un archéologue, un écrivain et un historien. Il a fait de longues études et est non seulement titulaire d’une licence en droit, mais aussi détenteur d’un certificat musical de fin d’études. Il maîtrise l’anglais, l’arabe, le grec et le russe. Les parents de Prosper disposent d’un solide bagage littéraire et intellectuel qui lui a permis de porter un certain intérêt à la littérature.
Dès 1825, il commence à publier ses premières œuvres. « La Vénus d'Ille » est l’une de ses nouvelles les plus fameuses. L’action se déroule sur Ille-sur-Têt, une ville dans le département des Pyrénées Orientales. Elle met en scène le narrateur (un archéologue), M. de Peyrehorade et sa femme, Alphonse de Peyrehorade ainsi que la Statue de Vénus. Ici, l’auteur nous plonge au cœur de l’histoire fantastique, imaginaire et intrigante d’une statue. Cette statue semble être à l’origine d’accidents, existe-t-il une explication rationnelle à ce phénomène ?
Sensible et émotionnel, Prosper Mérimée n’hésite pas à aborder des thèmes comme la femme, l’amour ou la nature dans ses œuvres. C’est le cas dans l’ouvrage « La perle de Tolède ». C’est une histoire passionnante que vous prendrez beaucoup de plaisir à lire.
Histoire de la fausse Elisabeth II
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- Nombre de pages92
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.085 kg
- Dimensions12,0 cm × 17,0 cm × 0,8 cm
- ISBN2-84142-159-7
- EAN9782841421596
- Date de parution13/05/2005
- CollectionPetite Bibliothèque Ombres
- ÉditeurOmbres (editions)
Résumé
Les vingt dernières années de la vie de Mérimée ont été largement remplies par ses études consacrées à la littérature russe, par ses traductions (Pouchkine, Gogol, Tourgueniev), et par un nombre respectable d'ouvrages relatifs à l'histoire de la Russie et de l'Ukraine. En 1869, il s'intéresse à une aventurière de l'époque de Catherine II, qui se faisait passer pour la fille de l'impératrice Elisabeth I. Voyageant en France, en Allemagne, en Italie, cette prétendue petite-fille de Pierre le Grand, s'obstinait à proclamer qu'elle était l'héritière légitime du trône des Romanov usurpé par Catherine II. Au terme d'intrigues extravagantes, tant politiques qu'amoureuses, elle fut séduite et enlevée par un favori de l'impératrice, puis ramenée en Russie et jetée en prison où elle mourut sans jamais se rétracter. L'histoire, ici, dépasse l'œuvre d'imagination par l'imprévu de l'action, la variété des incidents, la fantaisie des caractères ; elle relève du genre romanesque et pourtant elle ne fait que refléter la vie. Mélange de l'amour et de la politique, de la rouerie et de l'ambition, de la ruse et de la naïveté, de l'intelligence et de la sottise, du comique et du tragique, le récit de cette imposture porte la marque de Mérimée. En fait, comme dans Le Carosse du Saint-Sacrement ou dans Carmen, il retrouve avec cette historiette le thème de la femme énigmatique et manipulatrice, dont l'homme est le jouet.
Les vingt dernières années de la vie de Mérimée ont été largement remplies par ses études consacrées à la littérature russe, par ses traductions (Pouchkine, Gogol, Tourgueniev), et par un nombre respectable d'ouvrages relatifs à l'histoire de la Russie et de l'Ukraine. En 1869, il s'intéresse à une aventurière de l'époque de Catherine II, qui se faisait passer pour la fille de l'impératrice Elisabeth I. Voyageant en France, en Allemagne, en Italie, cette prétendue petite-fille de Pierre le Grand, s'obstinait à proclamer qu'elle était l'héritière légitime du trône des Romanov usurpé par Catherine II. Au terme d'intrigues extravagantes, tant politiques qu'amoureuses, elle fut séduite et enlevée par un favori de l'impératrice, puis ramenée en Russie et jetée en prison où elle mourut sans jamais se rétracter. L'histoire, ici, dépasse l'œuvre d'imagination par l'imprévu de l'action, la variété des incidents, la fantaisie des caractères ; elle relève du genre romanesque et pourtant elle ne fait que refléter la vie. Mélange de l'amour et de la politique, de la rouerie et de l'ambition, de la ruse et de la naïveté, de l'intelligence et de la sottise, du comique et du tragique, le récit de cette imposture porte la marque de Mérimée. En fait, comme dans Le Carosse du Saint-Sacrement ou dans Carmen, il retrouve avec cette historiette le thème de la femme énigmatique et manipulatrice, dont l'homme est le jouet.