Freud et la langue allemande. Tome 2, Quand Freud attend le verbe

Par : Georges-Arthur Goldschmidt

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages260
  • PrésentationBroché
  • Poids0.33 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-283-02198-7
  • EAN9782283021989
  • Date de parution09/03/2006
  • ÉditeurBuchet-Chastel

Résumé

Dans ce livre qui fait suite à Quand Freud voit la mer, Georges Arthur Goldschmidt poursuit son travail de description de la langue allemande dans sa relation avec la psychanalyse. La découverte de Freud a-t-elle été orientée par la structure grammaticale de l'allemand qui veut que le verbe se trouve à la fin de la phrase ? S'il est en effet souvent malaisé, voire impossible de traduire tout ce qu'une langue dit, du moins peut-on tenter d'en restituer le déroulement et l'image. Or Freud, comme s'il en avait déjà perçu les signes avant-coureurs, élabore la psychanalyse au moment même de la montée de la barbarie nazie, qui souillera et dégradera la langue allemande jusqu'au plus intime. La " purification linguistique ", l'une des grandes obsessions de la période prénazie, accompagne ensuite l'extermination, le crime absolu au nom d'une fantasmatique " pureté radicale ". Le vécu linguistique et sa connaissance de la langue allemande permettent à l'auteur de creuser ainsi plus avant le déchiffrement de l'inconscient dans son rapport avec la langue allemande.
Dans ce livre qui fait suite à Quand Freud voit la mer, Georges Arthur Goldschmidt poursuit son travail de description de la langue allemande dans sa relation avec la psychanalyse. La découverte de Freud a-t-elle été orientée par la structure grammaticale de l'allemand qui veut que le verbe se trouve à la fin de la phrase ? S'il est en effet souvent malaisé, voire impossible de traduire tout ce qu'une langue dit, du moins peut-on tenter d'en restituer le déroulement et l'image. Or Freud, comme s'il en avait déjà perçu les signes avant-coureurs, élabore la psychanalyse au moment même de la montée de la barbarie nazie, qui souillera et dégradera la langue allemande jusqu'au plus intime. La " purification linguistique ", l'une des grandes obsessions de la période prénazie, accompagne ensuite l'extermination, le crime absolu au nom d'une fantasmatique " pureté radicale ". Le vécu linguistique et sa connaissance de la langue allemande permettent à l'auteur de creuser ainsi plus avant le déchiffrement de l'inconscient dans son rapport avec la langue allemande.
Le château
5/5
4/5
Franz Kafka
Poche
6,55 €
Lenz
Georg Büchner
E-book
4,99 €
Lenz
Georg Büchner
Poche
6,90 €
Par les villages
3/5
Peter Handke
Grand Format
12,90 €
L'homme sans postérité
3/5
Adalbert Stifter
E-book
7,99 €