Fortune de France Tome 10
Le Lys et la Pourpre

Par : Robert Merle
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  • Nombre de pages491
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.565 kg
  • Dimensions15,5 cm × 22,5 cm × 2,8 cm
  • ISBN2-87706-307-0
  • EAN9782877063074
  • Date de parution20/08/1997
  • ÉditeurFallois (Editions de)

Résumé

Le récit qui dans le présent tome de FORTUNE DE FRANCE commence le 29 avril 1624 par l'entrée du cardinal au Conseil du roi, s'achève le 8 octobre 1627. Trois petites années, mais qui ne furent assurément pas petites par l'importance et la gravité des événements qui les marquèrent : l'expédition en Italie pour sauver la Valteline, les guerres sans cesse recommencées contre les rébellions des huguenots, le mariage de Madame, sœur du roi, avec Charles Ier d'Angleterre et, comble de scandale, les entreprises galantes de Buckingham sur la reine de France. Le projet de mariage de Monsieur, frère du roi, marque assurément le tournant le plus périlleux de ces années-là. Il déplaît à Monsieur, mais plus encore à une reine sans dauphin. Sous l'impulsion des " vertugadins diaboliques " dont elle est entourée, l'intrigue devient cabale, et la cabale tourne à la conspiration. L'épouse et le frère du roi se liguent contre lui. Ses demi-frères, les Vendôme, dressent contre Richelieu des embûches mortelles. Le roi lui-même est menacé par le couteau d'un assassin. La réaction est expéditive. Exil, geôle et décapitation punissent les coupables. Buckingham qui, à l'appel des huguenots, a pris pied sur le sol de France, en est chassé avec de lourdes pertes. Le roi met le siège devant La Rochelle avec une forte armée. Le récit galope. Les dialogues abondent, drôles ou pathétiques. L'action rebondit de péripétie en péripétie. Les relations du roi et de Richelieu, dégagées des stéréotypes périmés, sont, en fait, riches et nuancées. Malgré les querelles, les ombrages, les " coups de caveçon " d'un roi malcommode, et les démissions données et reprises, elles se muent insensiblement en affection profonde, forgée dans les périls qu'ils courent côte à côte dans leurs incessants combats contre les factieux du dedans et les ennemis de l'extérieur.
Le récit qui dans le présent tome de FORTUNE DE FRANCE commence le 29 avril 1624 par l'entrée du cardinal au Conseil du roi, s'achève le 8 octobre 1627. Trois petites années, mais qui ne furent assurément pas petites par l'importance et la gravité des événements qui les marquèrent : l'expédition en Italie pour sauver la Valteline, les guerres sans cesse recommencées contre les rébellions des huguenots, le mariage de Madame, sœur du roi, avec Charles Ier d'Angleterre et, comble de scandale, les entreprises galantes de Buckingham sur la reine de France. Le projet de mariage de Monsieur, frère du roi, marque assurément le tournant le plus périlleux de ces années-là. Il déplaît à Monsieur, mais plus encore à une reine sans dauphin. Sous l'impulsion des " vertugadins diaboliques " dont elle est entourée, l'intrigue devient cabale, et la cabale tourne à la conspiration. L'épouse et le frère du roi se liguent contre lui. Ses demi-frères, les Vendôme, dressent contre Richelieu des embûches mortelles. Le roi lui-même est menacé par le couteau d'un assassin. La réaction est expéditive. Exil, geôle et décapitation punissent les coupables. Buckingham qui, à l'appel des huguenots, a pris pied sur le sol de France, en est chassé avec de lourdes pertes. Le roi met le siège devant La Rochelle avec une forte armée. Le récit galope. Les dialogues abondent, drôles ou pathétiques. L'action rebondit de péripétie en péripétie. Les relations du roi et de Richelieu, dégagées des stéréotypes périmés, sont, en fait, riches et nuancées. Malgré les querelles, les ombrages, les " coups de caveçon " d'un roi malcommode, et les démissions données et reprises, elles se muent insensiblement en affection profonde, forgée dans les périls qu'ils courent côte à côte dans leurs incessants combats contre les factieux du dedans et les ennemis de l'extérieur.
Robert Merle
Né en 1908 à Tébessa (Algérie), Robert Merle a d'abord été professeur. En 1949, il obtient le prix Goncourt avec Week-end à Zuydcoote. Il a publié depuis de nombreux romans, dont La Mort est mon métier, L'Ile, Malevil, Le Propre de l'homme.
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