Une guerre atomique dévaste la planète, et dans la France détruite un groupe de survivants s'organise en communauté sédentaire derrière les remparts d'une forteresse. Le groupe arrivera-t-il à surmonter les dangers qui naissent chaque jour de sa situation, de l'indiscipline de ses membres, de leurs différences idéologiques, et surtout des bandes armées qui convoitent leurs réserves et leur " nid crénelé " ?

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.7/5

sur 18 notes dont 2 avis lecteurs

Faustine Monpetit

1/5

“ Impossible de s'y plonger... ”

Commencé 50 fois, abandonné 49 fois, Une lecture qui ne m'a franchement pas passionnée, une action peut passionnante et qui met trop de temps à s'installer. Franchement pas le meilleur Robert Merle de ma bibliothèque

Ennuyant

Romain Plyer

1/5

“ Les castors juniors après la fin du monde ”

Au secours ! A Malevil, c'est la fin du monde : la terre est ravagée par une guerre atomique qui menace l'espèce humaine d'extinction. Heureusement, Emmanuel et ses amis ont survécu, mais comment vont-ils bien pouvoir survivre sur cette planète dévastée ? En adoptant le code de Baden-Powell bien sûr, et en se comportant en parfaits boy-scouts ! En éludant tous les cas de conscience post-apocalyptiques ou en y répondant par une vague morale post-baba-cool, Robert Merle signe le roman le plus vain sur la fin du monde. On pensait lire La Route, de Cormac Mc Carthy, et on se retrouve devant Tintin au pays de la fin du monde, sans Haddock ni Tournesol. Un ami m'avait conseillé ce livre, je m'en mords bien les doigts à l'heure de lui faire mon rapport. J'aurais mieux fait d'écouter mon libraire !

XXe siècle
aventure
Malevil
Emmanuel
Fin du monde
Camaraderie

A propos de Robert Merle

Né en 1908 à Tébessa (Algérie), Robert Merle a d'abord été professeur. En 1949, il obtient le prix Goncourt avec Week-end à Zuydcoote. Il a publié depuis de nombreux romans, dont La Mort est mon métier, L'Ile, Malevil, Le Propre de l'homme.

Découvrir l'auteur