Femmes pédagogues. Tome 1 : de l'Antiquité au XIXe siècle
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- Nombre de pages619
- PrésentationBroché
- Poids1.04 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 4,0 cm
- ISBN978-2-84922-041-2
- EAN9782849220412
- Date de parution09/10/2008
- CollectionPédagogues du monde entier
- ÉditeurFabert
Résumé
"Messieurs, je suis profondément convaincu, quant à moi, de la supériorité naturelle de la femme en matière d'enseignement; cette supériorité, croyez-le bien, se démontrera plus clairement de jour en jour... et les grands pédagogues ont tous en eux quelque chose de maternel. " Ainsi s'exprimait Jules Ferry au Congrès pédagogique, le 19 avril 1881. II n'est pas certain que les femmes accepteraient sans soupçon cette " supériorité naturelle".
Il n'est pas certain que les pédagogues accepteraient sans réaction cette réduction à ce "quelque chose de maternel". Il est certain par contre que, quand nous tous, femmes et hommes, pensons aux figures de la pédagogie, nous y reconnaissons à peu près exclusivement des hommes... Or ceci est injuste. Tout un continent pédagogique est à découvrir, bien au-delà des quelques noms de femmes pédagogues que nous sommes capables d'avancer.
L'histoire de l'éducation a aussi été faite et pensée de manière très profonde et significative par des femmes, à toutes les époques, dans tous les pays. La preuve? Cet ouvrage qui est parvenu, sans difficultés mais non sans étonnements, à réunir des figures de la pédagogie et à devoir choisir celles qui semblaient les plus significatives. De l'Antiquité au XIXe siècle, elles ont été très nombreuses à se montrer pédagogues, c'est-à-dire à faire et dire l'éducation.
C'est à cette découverte que nous vous invitons, c'est à cette injustice que nous vous proposons de remédier.
Il n'est pas certain que les pédagogues accepteraient sans réaction cette réduction à ce "quelque chose de maternel". Il est certain par contre que, quand nous tous, femmes et hommes, pensons aux figures de la pédagogie, nous y reconnaissons à peu près exclusivement des hommes... Or ceci est injuste. Tout un continent pédagogique est à découvrir, bien au-delà des quelques noms de femmes pédagogues que nous sommes capables d'avancer.
L'histoire de l'éducation a aussi été faite et pensée de manière très profonde et significative par des femmes, à toutes les époques, dans tous les pays. La preuve? Cet ouvrage qui est parvenu, sans difficultés mais non sans étonnements, à réunir des figures de la pédagogie et à devoir choisir celles qui semblaient les plus significatives. De l'Antiquité au XIXe siècle, elles ont été très nombreuses à se montrer pédagogues, c'est-à-dire à faire et dire l'éducation.
C'est à cette découverte que nous vous invitons, c'est à cette injustice que nous vous proposons de remédier.
"Messieurs, je suis profondément convaincu, quant à moi, de la supériorité naturelle de la femme en matière d'enseignement; cette supériorité, croyez-le bien, se démontrera plus clairement de jour en jour... et les grands pédagogues ont tous en eux quelque chose de maternel. " Ainsi s'exprimait Jules Ferry au Congrès pédagogique, le 19 avril 1881. II n'est pas certain que les femmes accepteraient sans soupçon cette " supériorité naturelle".
Il n'est pas certain que les pédagogues accepteraient sans réaction cette réduction à ce "quelque chose de maternel". Il est certain par contre que, quand nous tous, femmes et hommes, pensons aux figures de la pédagogie, nous y reconnaissons à peu près exclusivement des hommes... Or ceci est injuste. Tout un continent pédagogique est à découvrir, bien au-delà des quelques noms de femmes pédagogues que nous sommes capables d'avancer.
L'histoire de l'éducation a aussi été faite et pensée de manière très profonde et significative par des femmes, à toutes les époques, dans tous les pays. La preuve? Cet ouvrage qui est parvenu, sans difficultés mais non sans étonnements, à réunir des figures de la pédagogie et à devoir choisir celles qui semblaient les plus significatives. De l'Antiquité au XIXe siècle, elles ont été très nombreuses à se montrer pédagogues, c'est-à-dire à faire et dire l'éducation.
C'est à cette découverte que nous vous invitons, c'est à cette injustice que nous vous proposons de remédier.
Il n'est pas certain que les pédagogues accepteraient sans réaction cette réduction à ce "quelque chose de maternel". Il est certain par contre que, quand nous tous, femmes et hommes, pensons aux figures de la pédagogie, nous y reconnaissons à peu près exclusivement des hommes... Or ceci est injuste. Tout un continent pédagogique est à découvrir, bien au-delà des quelques noms de femmes pédagogues que nous sommes capables d'avancer.
L'histoire de l'éducation a aussi été faite et pensée de manière très profonde et significative par des femmes, à toutes les époques, dans tous les pays. La preuve? Cet ouvrage qui est parvenu, sans difficultés mais non sans étonnements, à réunir des figures de la pédagogie et à devoir choisir celles qui semblaient les plus significatives. De l'Antiquité au XIXe siècle, elles ont été très nombreuses à se montrer pédagogues, c'est-à-dire à faire et dire l'éducation.
C'est à cette découverte que nous vous invitons, c'est à cette injustice que nous vous proposons de remédier.