Ethique médicale et philosophie. L'apport de l'Antiquité
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- Nombre de pages130
- PrésentationBroché
- Poids0.15 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-296-09866-4
- EAN9782296098664
- Date de parution15/10/2009
- CollectionHippocrate et Platon
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Avec le Serment d'Hippocrate, première codification d'une activité à être fondée non sur des objectifs mais sur des valeurs, l'éthique médicale a été le modèle de toute éthique. Et elle l'est restée pour d'autres raisons tenant à la pesanteur ontologique de l'activité médicale et au questionnement éperdu que génèrent aujourd'hui les avancées de la biologie, les nouveaux pouvoirs de la médecine et les doutes sur le bon usage de la science.
Car l'éthique est avant tout la mise en cause d'un pouvoir et son interrogation au nom d'un royaume des normes, démarche dont la déontologie est bien souvent la subversion. L'apport essentiel de la philosophie grecque aura été d'écarter ce risque à travers une série d'éthiques premières, de la vie, de la mort, de l'art, de l'humanité, qui sont examinées ici comme le legs antique à une sorte de comité d'éthique intemporel.
Car l'éthique est avant tout la mise en cause d'un pouvoir et son interrogation au nom d'un royaume des normes, démarche dont la déontologie est bien souvent la subversion. L'apport essentiel de la philosophie grecque aura été d'écarter ce risque à travers une série d'éthiques premières, de la vie, de la mort, de l'art, de l'humanité, qui sont examinées ici comme le legs antique à une sorte de comité d'éthique intemporel.
Avec le Serment d'Hippocrate, première codification d'une activité à être fondée non sur des objectifs mais sur des valeurs, l'éthique médicale a été le modèle de toute éthique. Et elle l'est restée pour d'autres raisons tenant à la pesanteur ontologique de l'activité médicale et au questionnement éperdu que génèrent aujourd'hui les avancées de la biologie, les nouveaux pouvoirs de la médecine et les doutes sur le bon usage de la science.
Car l'éthique est avant tout la mise en cause d'un pouvoir et son interrogation au nom d'un royaume des normes, démarche dont la déontologie est bien souvent la subversion. L'apport essentiel de la philosophie grecque aura été d'écarter ce risque à travers une série d'éthiques premières, de la vie, de la mort, de l'art, de l'humanité, qui sont examinées ici comme le legs antique à une sorte de comité d'éthique intemporel.
Car l'éthique est avant tout la mise en cause d'un pouvoir et son interrogation au nom d'un royaume des normes, démarche dont la déontologie est bien souvent la subversion. L'apport essentiel de la philosophie grecque aura été d'écarter ce risque à travers une série d'éthiques premières, de la vie, de la mort, de l'art, de l'humanité, qui sont examinées ici comme le legs antique à une sorte de comité d'éthique intemporel.