Le second volume « Cicatrices » raconte l’histoire d’Esther entremêlé avec celle de Victor.
Juive, le père d’Esther décide de mettre ses enfants à l’abri. Ruth et Esther partent se réfugier dans une ferme à la campagne mais tout ne se passe pas comme prévu et c’est seule qu’Esther rejoint Victor.
Personnellement, c’est ce tome que j’ai préféré, l’histoire d’Esther est bouleversante et on a la réponse à certaines questions tandis que le tome 1 posait les bases du déroulement de l’histoire.
Le recoupement de leurs deux vies en une seule est percutant
de réalisme.
On retiendra une jeunesse volée, des vies sacrifiées par des choix d’adultes et comme dans tous les pays occupés, la collaboration, la résistance, les déportations, la mort… Des tranches de vies intéressantes quand on ne connait que le témoignage d’Anne Franck sur la Seconde Guerre mondiale aux Pays-Bas.
Un avenir est-il possible après avoir vécu tant d’horreurs ?
Je suis restée sur ma faim quant à ma lecture de « Cicatrices », certaines questions restent sans réponses ce qui peut déstabiliser même si dans une époque aussi troublée, cela reste vraisemblable. Le dossier avec les archives de la famille de l’auteur apporte des renseignements et une vue d’ensemble sur la situation des Pays-Bas dans cette époque si troublée.
Un très beau diptyque sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale vue par les civils des Pays-Bas !
Le second volume « Cicatrices » raconte l’histoire d’Esther entremêlé avec celle de Victor.
Juive, le père d’Esther décide de mettre ses enfants à l’abri. Ruth et Esther partent se réfugier dans une ferme à la campagne mais tout ne se passe pas comme prévu et c’est seule qu’Esther rejoint Victor.
Personnellement, c’est ce tome que j’ai préféré, l’histoire d’Esther est bouleversante et on a la réponse à certaines questions tandis que le tome 1 posait les bases du déroulement de l’histoire.
Le recoupement de leurs deux vies en une seule est percutant de réalisme.
On retiendra une jeunesse volée, des vies sacrifiées par des choix d’adultes et comme dans tous les pays occupés, la collaboration, la résistance, les déportations, la mort… Des tranches de vies intéressantes quand on ne connait que le témoignage d’Anne Franck sur la Seconde Guerre mondiale aux Pays-Bas.
Un avenir est-il possible après avoir vécu tant d’horreurs ?
Je suis restée sur ma faim quant à ma lecture de « Cicatrices », certaines questions restent sans réponses ce qui peut déstabiliser même si dans une époque aussi troublée, cela reste vraisemblable. Le dossier avec les archives de la famille de l’auteur apporte des renseignements et une vue d’ensemble sur la situation des Pays-Bas dans cette époque si troublée.