Préface de Joost Swarte et dossier familial à la fin de chaque volume.
Merci à NetGalley et aux éditions Dupuis pour m’avoir permis de découvrir ce diptyque ou le graphisme attire l’œil. Je suis passionnée par la Seconde Guerre mondiale et l’originalité de ce diptyque est qu’on nous raconte l’histoire des Pays-Bas durant la Seconde Guerre mondiale vue à travers les civils. C’est un parti pris très intéressant car peu raconté jusqu’à présent. L’un n’allant pas sans l’autre, j’ai pris la liberté de mettre les deux volumes dans une seule chronique.
Tout
commence le 4 mai 1946 dans un cimetière des Pays-Bas sur la tombe d’un ami commun. Victor et Esther se retrouvent tels deux amants séparés par la guerre et ses atrocités. Ils ont six ans d’histoire à rattraper. Les habitants des Pays-Bas (pays soi-disant neutres) ont vu les Allemands débarquer et s’approprier un territoire supplémentaire tandis que la famille royale fuyait en Angleterre les laissant se débrouiller tout seuls.
Dans « Eclats », le premier volume, on suit l’histoire de Victor, son engagement dans l’armée pour défendre leur pays des envahisseurs Allemands avec son ami Chris, la mort de celui-ci et l’engagement de Victor dans la résistance.
Le premier tome est centré sur la trahison et un sabotage d’un câble qui a permis aux Allemands d’envahir les Pays-Bas.
Qui est le traître ?
L’impulsivité de la jeunesse, les choix pris dans l’urgence et tout un monde qui bascule…
Les graphismes sont magnifiques similaires aux photos de l’époque avec cet aspect vieilli et épuré propice aux souvenirs.
Il y a une certaine sobriété, une certaine sensibilité qui apporte juste les informations nécessaires à la compréhension de l’histoire. C’est léger et intense à la fois.
La Seconde Guerre mondiale vue par les civils des Pays-Bas !
Préface de Joost Swarte et dossier familial à la fin de chaque volume.
Merci à NetGalley et aux éditions Dupuis pour m’avoir permis de découvrir ce diptyque ou le graphisme attire l’œil. Je suis passionnée par la Seconde Guerre mondiale et l’originalité de ce diptyque est qu’on nous raconte l’histoire des Pays-Bas durant la Seconde Guerre mondiale vue à travers les civils. C’est un parti pris très intéressant car peu raconté jusqu’à présent. L’un n’allant pas sans l’autre, j’ai pris la liberté de mettre les deux volumes dans une seule chronique.
Tout commence le 4 mai 1946 dans un cimetière des Pays-Bas sur la tombe d’un ami commun. Victor et Esther se retrouvent tels deux amants séparés par la guerre et ses atrocités. Ils ont six ans d’histoire à rattraper. Les habitants des Pays-Bas (pays soi-disant neutres) ont vu les Allemands débarquer et s’approprier un territoire supplémentaire tandis que la famille royale fuyait en Angleterre les laissant se débrouiller tout seuls.
Dans « Eclats », le premier volume, on suit l’histoire de Victor, son engagement dans l’armée pour défendre leur pays des envahisseurs Allemands avec son ami Chris, la mort de celui-ci et l’engagement de Victor dans la résistance.
Le premier tome est centré sur la trahison et un sabotage d’un câble qui a permis aux Allemands d’envahir les Pays-Bas.
Qui est le traître ?
L’impulsivité de la jeunesse, les choix pris dans l’urgence et tout un monde qui bascule…
Les graphismes sont magnifiques similaires aux photos de l’époque avec cet aspect vieilli et épuré propice aux souvenirs.
Il y a une certaine sobriété, une certaine sensibilité qui apporte juste les informations nécessaires à la compréhension de l’histoire. C’est léger et intense à la fois.