Disparu !. Enquête sur Sylvain Venayre
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.31 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,3 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-251-90009-4
- EAN9782251900094
- Date de parution23/10/2012
- CollectionL'histoire de profil
- ÉditeurBelles Lettres
- IllustrateurJean-Philippe Stassen
Résumé
Après l'histoire vint l'historiographie, puis l'histoire de l'historiographie. La recherche historique semble progresser aujourd'hui de cette façon : en spirale. En témoigne cette injonction nouvelle : l'institution universitaire demande désormais aux historiens aspirant au grade de Professeur d'établir eux-mêmes un bilan de leurs propres recherches. Ce bilan passe évidemment par l'analyse des outils de travail du chercheur.
Or, depuis une trentaine d'années, un consensus s'est établi autour de l'idée selon laquelle le principal outil de travail de l'historien, c'est l'historien lui-même. Ce petit livre propose une solution facétieuse pour conduire sérieusement l'enquête sur le sens de cette évolution récente. On y parlera de "tournant critique", "d'illusion biographique" et "d'ego-histoire". On y parlera aussi de Sylvain Venayre, puisqu'il s'agit de son travail.Mais Sylvain Venayre n'est qu'un nom.
Et ce nom ne représente rien d'autre qu'une certitude persistante : l'histoire, ce sont avant tout des dates et des mots.
Or, depuis une trentaine d'années, un consensus s'est établi autour de l'idée selon laquelle le principal outil de travail de l'historien, c'est l'historien lui-même. Ce petit livre propose une solution facétieuse pour conduire sérieusement l'enquête sur le sens de cette évolution récente. On y parlera de "tournant critique", "d'illusion biographique" et "d'ego-histoire". On y parlera aussi de Sylvain Venayre, puisqu'il s'agit de son travail.Mais Sylvain Venayre n'est qu'un nom.
Et ce nom ne représente rien d'autre qu'une certitude persistante : l'histoire, ce sont avant tout des dates et des mots.
Après l'histoire vint l'historiographie, puis l'histoire de l'historiographie. La recherche historique semble progresser aujourd'hui de cette façon : en spirale. En témoigne cette injonction nouvelle : l'institution universitaire demande désormais aux historiens aspirant au grade de Professeur d'établir eux-mêmes un bilan de leurs propres recherches. Ce bilan passe évidemment par l'analyse des outils de travail du chercheur.
Or, depuis une trentaine d'années, un consensus s'est établi autour de l'idée selon laquelle le principal outil de travail de l'historien, c'est l'historien lui-même. Ce petit livre propose une solution facétieuse pour conduire sérieusement l'enquête sur le sens de cette évolution récente. On y parlera de "tournant critique", "d'illusion biographique" et "d'ego-histoire". On y parlera aussi de Sylvain Venayre, puisqu'il s'agit de son travail.Mais Sylvain Venayre n'est qu'un nom.
Et ce nom ne représente rien d'autre qu'une certitude persistante : l'histoire, ce sont avant tout des dates et des mots.
Or, depuis une trentaine d'années, un consensus s'est établi autour de l'idée selon laquelle le principal outil de travail de l'historien, c'est l'historien lui-même. Ce petit livre propose une solution facétieuse pour conduire sérieusement l'enquête sur le sens de cette évolution récente. On y parlera de "tournant critique", "d'illusion biographique" et "d'ego-histoire". On y parlera aussi de Sylvain Venayre, puisqu'il s'agit de son travail.Mais Sylvain Venayre n'est qu'un nom.
Et ce nom ne représente rien d'autre qu'une certitude persistante : l'histoire, ce sont avant tout des dates et des mots.
















