Dans les coulisses du Vendée Globe. Avec Romain Attanasio

Par : Bertrand Parent, Romain Attanasio
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  • Nombre de pages163
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids0.288 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,4 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-344-06356-9
  • EAN9782344063569
  • Date de parution04/09/2024
  • CollectionHommes et océans
  • ÉditeurGlénat

Résumé

A l'occasion de sa troisième participation au Vendée Globe, Romain Attanasio nous livre tous ses secrets de préparation pour une des courses à la voile les plus difficiles du monde. Depuis 1989, c'est la course qui fait le plus rêver les amateurs de voile en France et dans le monde. Le Vendée Globe, course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance, met aux prises les meilleurs marins de la planète.
Romain Attanasio, au départ de son troisième Vendée Globe en novembre 2024 fait aujourd'hui partie de l'élite de la classe IMOCA. Réunir un budget de plusieurs millions d'euros, rassembler une équipe qui va gérer au mieux le matériel, acquérir un bateau performant, le préparer pour la course... Ce sont tous ces défis que Romain raconte dans cet ouvrage. Sans oublier de nous livrer les secrets de préparation...
du bonhomme ! Passer trois mois seul sur un IMOCA, dans des conditions météo souvent hostiles, ça ne s'improvise pas et demande un entraînement physique et mental h toute épreuve. Romain nous raconte aussi ses souvenirs de courses, comme cette collision avec une baleine qui lui coûtera deux safrans, ou comment il s'est évanoui et réveillé le visage en sang après avoir enfourné dans une vague à 30 noeuds...
A l'occasion de sa troisième participation au Vendée Globe, Romain Attanasio nous livre tous ses secrets de préparation pour une des courses à la voile les plus difficiles du monde. Depuis 1989, c'est la course qui fait le plus rêver les amateurs de voile en France et dans le monde. Le Vendée Globe, course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance, met aux prises les meilleurs marins de la planète.
Romain Attanasio, au départ de son troisième Vendée Globe en novembre 2024 fait aujourd'hui partie de l'élite de la classe IMOCA. Réunir un budget de plusieurs millions d'euros, rassembler une équipe qui va gérer au mieux le matériel, acquérir un bateau performant, le préparer pour la course... Ce sont tous ces défis que Romain raconte dans cet ouvrage. Sans oublier de nous livrer les secrets de préparation...
du bonhomme ! Passer trois mois seul sur un IMOCA, dans des conditions météo souvent hostiles, ça ne s'improvise pas et demande un entraînement physique et mental h toute épreuve. Romain nous raconte aussi ses souvenirs de courses, comme cette collision avec une baleine qui lui coûtera deux safrans, ou comment il s'est évanoui et réveillé le visage en sang après avoir enfourné dans une vague à 30 noeuds...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Evoluer dans la course au large !
Lecture commencée le soir et finie dans la nuit, impossible de le poser ! C’est une biographie partielle parce qu’il est quand même question de son désir et de son arrivée dans la course au large jusqu’à la préparation du VG 2024/2025 qui est presque fini ! J’étais curieuse de savoir comment s’était déroulée l’évolution de Romain, tant au niveau navigateur qu’homme. Car il y a une grosse différence entre l’aventure de 2016/2017 et celle de 2024/2025. Pas uniquement sur les résultats mais avant tout sur son équipe et les 4 années consacrées à la préparation. Au fil des ans et des courses, nous avons vu Romain prendre de l’aisance et de la rigueur dans sa communication sans avoir perdu son humour et sa gentillesse. Dans ce livre j’ai pu découvrir le chef d’entreprise intrépide qui a su donner confiance à ses sponsors, petits et grands, sans jamais perdre de vue que sans eux, il ne peut rien ! L’argent toujours, indispensable et la classe IMOCA en demande beaucoup voire énormément ! Sans qu’il perde ce que j’appréciais en lui, il s’est littéralement métamorphosé, comme s’il avait pris de l’ampleur et ce qu’il réalise à longueur de temps pour réussir à naviguer m’a ébahi, même si je n’ai pas été très surprise car son dernier bateau est un foilers alors que sa petite écurie n’a pas les mêmes moyens que les premiers classés. On se rend compte à la lecture que les relations humaines ont une part énorme dans sa conception de la course au large, peut-être plus que d’autres, sans que cela devienne une faiblesse. Le livre a dû être imprimé avant son démâtage pendant le Défi Azimut, 2 mois avant le VG ce qui représente une catastrophe pour une petite équipe et l’entraide a fonctionné à plein, Maxime Sorel lui ayant fourni son mât de rechange ! Beaucoup de skippers d’IMOCA se préparent au sein du “Pôle Finistère course au large” qui malgré la compétition reste une communauté très soudée. Je remercie Glénat et Babelio pour cette Masse Critique qui a vraiment été une lecture plaisir et si je lis plus que rarement des biographies contemporaines, je sais prendre peu de risques pour celles des navigateurs que j’apprécie depuis des années ! #massecritiquebabelio #danslescoulissesduvendeeglobeavecromainattanasio
Lecture commencée le soir et finie dans la nuit, impossible de le poser ! C’est une biographie partielle parce qu’il est quand même question de son désir et de son arrivée dans la course au large jusqu’à la préparation du VG 2024/2025 qui est presque fini ! J’étais curieuse de savoir comment s’était déroulée l’évolution de Romain, tant au niveau navigateur qu’homme. Car il y a une grosse différence entre l’aventure de 2016/2017 et celle de 2024/2025. Pas uniquement sur les résultats mais avant tout sur son équipe et les 4 années consacrées à la préparation. Au fil des ans et des courses, nous avons vu Romain prendre de l’aisance et de la rigueur dans sa communication sans avoir perdu son humour et sa gentillesse. Dans ce livre j’ai pu découvrir le chef d’entreprise intrépide qui a su donner confiance à ses sponsors, petits et grands, sans jamais perdre de vue que sans eux, il ne peut rien ! L’argent toujours, indispensable et la classe IMOCA en demande beaucoup voire énormément ! Sans qu’il perde ce que j’appréciais en lui, il s’est littéralement métamorphosé, comme s’il avait pris de l’ampleur et ce qu’il réalise à longueur de temps pour réussir à naviguer m’a ébahi, même si je n’ai pas été très surprise car son dernier bateau est un foilers alors que sa petite écurie n’a pas les mêmes moyens que les premiers classés. On se rend compte à la lecture que les relations humaines ont une part énorme dans sa conception de la course au large, peut-être plus que d’autres, sans que cela devienne une faiblesse. Le livre a dû être imprimé avant son démâtage pendant le Défi Azimut, 2 mois avant le VG ce qui représente une catastrophe pour une petite équipe et l’entraide a fonctionné à plein, Maxime Sorel lui ayant fourni son mât de rechange ! Beaucoup de skippers d’IMOCA se préparent au sein du “Pôle Finistère course au large” qui malgré la compétition reste une communauté très soudée. Je remercie Glénat et Babelio pour cette Masse Critique qui a vraiment été une lecture plaisir et si je lis plus que rarement des biographies contemporaines, je sais prendre peu de risques pour celles des navigateurs que j’apprécie depuis des années ! #massecritiquebabelio #danslescoulissesduvendeeglobeavecromainattanasio