Cultures et métissages en Algérie. La racine et la trace

Par : Mourad Yelles

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  • Nombre de pages387
  • PrésentationBroché
  • Poids0.54 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,6 cm
  • ISBN2-7475-9342-8
  • EAN9782747593427
  • Date de parution16/11/2005
  • ÉditeurCEFRESS
  • PréfacierNadir Marouf

Résumé

Un ancien proverbe algérien assure que lorsqu'une situation ou une personne en est réduite à sa plus simple expression - entendez à sa plus extrême vérité -, elle est comparable à l'oued qui, asséché par d'interminables canicules, révèle enfin son lit et les pierres qui le composent. Cette métaphore me semble convenir assez bien au sujet de ce livre. En effet, à travers une réflexion sur la nature des processus de constitution, de gestion et de transformation des représentations identitaires, il sera essentiellement question de la problématique du métissage en Algérie. De fait, si l'on considère la complexité, l'étendue et la durée des phénomènes en cause, nul doute que ne s'impose alors à l'esprit l'image de ces paysages désertiques traversés par les fantômes fabuleux d'anciens torrents, depuis longtemps taris, et dont ne subsistent plus que les traces égarées parmi les galets épars, les racines brûlées et les lauriers-roses en fleur.
Un ancien proverbe algérien assure que lorsqu'une situation ou une personne en est réduite à sa plus simple expression - entendez à sa plus extrême vérité -, elle est comparable à l'oued qui, asséché par d'interminables canicules, révèle enfin son lit et les pierres qui le composent. Cette métaphore me semble convenir assez bien au sujet de ce livre. En effet, à travers une réflexion sur la nature des processus de constitution, de gestion et de transformation des représentations identitaires, il sera essentiellement question de la problématique du métissage en Algérie. De fait, si l'on considère la complexité, l'étendue et la durée des phénomènes en cause, nul doute que ne s'impose alors à l'esprit l'image de ces paysages désertiques traversés par les fantômes fabuleux d'anciens torrents, depuis longtemps taris, et dont ne subsistent plus que les traces égarées parmi les galets épars, les racines brûlées et les lauriers-roses en fleur.