Enfants de harkis et enfants d émigrés. Parcours croisés, identités à recoudre
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages255
- FormatePub
- ISBN978-2-8111-2326-0
- EAN9782811123260
- Date de parution06/06/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurKarthala
- PréfacierMourad Yelles
Résumé
Le 5 juillet 1962, l'Algérie devient indépendante de la France. Cinquante ans après, les mémoires ne se sont pas entièrement apaisées sur les deux rives de la Méditerranée autour de la guerre d'indépendance algérienne et de ses suites. Touchés par les séquelles de ce conflit, au-delà bien évidemment des acteurs de terrain qui y ont participé et qui l'ont subi, on peut compter aussi les enfants de harkis et ceux d'émigrés économiques algériens.
Confrontés à un déficit de reconnaissance sociale et au racisme ordinaire de par les origines de leurs parents et à cause du « choix » et/ou « non-choix » en temps de guerre de leur père, ils ont dû s'adapter à une société française qui ne les acceptait pas toujours à part entière, en construisant leurs propres stratégies identitaires et en brisant le silence du père et de la famille lié à la guerre. Le racisme subi par les enfants de harkis est souvent double, en parallèle avec celui des enfants d'émigrés économiques : ils/elles ne sont pas considérés comme des Français à part entière.
Ils sont toujours perçus d'une manière ambivalente sinon négative, en dépit du choix fait par leurs pères de combattre avec la France. Les enfants d'émigrés, eux-mêmes, sont souvent renvoyés d'abord à leurs origines dans leurs efforts pour faire valoir leur citoyenneté française. A la lisière entre la littérature et la sociologie, cette étude compare les parcours personnels et identitaires des descendants de migrants algériens des deux groupes.
L'auteure nous présente des témoignages de réussites autant pour ce qui concerne les fils et filles de harkis que pour les descendants d'émigrés économiques de deuxième génération. Des exemples de succès pour témoigner d'un besoin de dépasser les préjugés du passé et de la volonté de travailler à un nouvel avenir.
Confrontés à un déficit de reconnaissance sociale et au racisme ordinaire de par les origines de leurs parents et à cause du « choix » et/ou « non-choix » en temps de guerre de leur père, ils ont dû s'adapter à une société française qui ne les acceptait pas toujours à part entière, en construisant leurs propres stratégies identitaires et en brisant le silence du père et de la famille lié à la guerre. Le racisme subi par les enfants de harkis est souvent double, en parallèle avec celui des enfants d'émigrés économiques : ils/elles ne sont pas considérés comme des Français à part entière.
Ils sont toujours perçus d'une manière ambivalente sinon négative, en dépit du choix fait par leurs pères de combattre avec la France. Les enfants d'émigrés, eux-mêmes, sont souvent renvoyés d'abord à leurs origines dans leurs efforts pour faire valoir leur citoyenneté française. A la lisière entre la littérature et la sociologie, cette étude compare les parcours personnels et identitaires des descendants de migrants algériens des deux groupes.
L'auteure nous présente des témoignages de réussites autant pour ce qui concerne les fils et filles de harkis que pour les descendants d'émigrés économiques de deuxième génération. Des exemples de succès pour témoigner d'un besoin de dépasser les préjugés du passé et de la volonté de travailler à un nouvel avenir.
Le 5 juillet 1962, l'Algérie devient indépendante de la France. Cinquante ans après, les mémoires ne se sont pas entièrement apaisées sur les deux rives de la Méditerranée autour de la guerre d'indépendance algérienne et de ses suites. Touchés par les séquelles de ce conflit, au-delà bien évidemment des acteurs de terrain qui y ont participé et qui l'ont subi, on peut compter aussi les enfants de harkis et ceux d'émigrés économiques algériens.
Confrontés à un déficit de reconnaissance sociale et au racisme ordinaire de par les origines de leurs parents et à cause du « choix » et/ou « non-choix » en temps de guerre de leur père, ils ont dû s'adapter à une société française qui ne les acceptait pas toujours à part entière, en construisant leurs propres stratégies identitaires et en brisant le silence du père et de la famille lié à la guerre. Le racisme subi par les enfants de harkis est souvent double, en parallèle avec celui des enfants d'émigrés économiques : ils/elles ne sont pas considérés comme des Français à part entière.
Ils sont toujours perçus d'une manière ambivalente sinon négative, en dépit du choix fait par leurs pères de combattre avec la France. Les enfants d'émigrés, eux-mêmes, sont souvent renvoyés d'abord à leurs origines dans leurs efforts pour faire valoir leur citoyenneté française. A la lisière entre la littérature et la sociologie, cette étude compare les parcours personnels et identitaires des descendants de migrants algériens des deux groupes.
L'auteure nous présente des témoignages de réussites autant pour ce qui concerne les fils et filles de harkis que pour les descendants d'émigrés économiques de deuxième génération. Des exemples de succès pour témoigner d'un besoin de dépasser les préjugés du passé et de la volonté de travailler à un nouvel avenir.
Confrontés à un déficit de reconnaissance sociale et au racisme ordinaire de par les origines de leurs parents et à cause du « choix » et/ou « non-choix » en temps de guerre de leur père, ils ont dû s'adapter à une société française qui ne les acceptait pas toujours à part entière, en construisant leurs propres stratégies identitaires et en brisant le silence du père et de la famille lié à la guerre. Le racisme subi par les enfants de harkis est souvent double, en parallèle avec celui des enfants d'émigrés économiques : ils/elles ne sont pas considérés comme des Français à part entière.
Ils sont toujours perçus d'une manière ambivalente sinon négative, en dépit du choix fait par leurs pères de combattre avec la France. Les enfants d'émigrés, eux-mêmes, sont souvent renvoyés d'abord à leurs origines dans leurs efforts pour faire valoir leur citoyenneté française. A la lisière entre la littérature et la sociologie, cette étude compare les parcours personnels et identitaires des descendants de migrants algériens des deux groupes.
L'auteure nous présente des témoignages de réussites autant pour ce qui concerne les fils et filles de harkis que pour les descendants d'émigrés économiques de deuxième génération. Des exemples de succès pour témoigner d'un besoin de dépasser les préjugés du passé et de la volonté de travailler à un nouvel avenir.