Correspondance - Tome 2, 1836-1841

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Honoré de Balzac - Correspondance - Tome 2, 1836-1841.
Le 13 février 1836, une inconnue écrit à Balzac ; elle voudrait savoir s'il correspond à l'idée qu'elle s'est faite de lui en le lisant, se dit incapable... Lire la suite
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Résumé

Le 13 février 1836, une inconnue écrit à Balzac ; elle voudrait savoir s'il correspond à l'idée qu'elle s'est faite de lui en le lisant, se dit incapable de séparer l'homme de l'auteur et éprouve le désir "senti et réfléchi" d'une rencontre : "trouvez-vous lundi à une heure au foyer de l'Opéra et abordez-moi ; je serai noire de la tête aux pieds, et des noeuds roses au bas des manches". Balzac s'est-il rendu à l'invitation ? On l'ignore, l'affaire n'a pas laissé de traces.
Mais toute sa correspondance répond à la dame en noir : l'homme et l'auteur, inséparables, s'y livrent à coeur ouvert. Ces années, de 1836 à 1841, sont marquées par l'achèvement des Etudes de moeurs et des Etudes philosophiques, et par l'écriture et la publication d'oeuvres de premier plan, Le Lys dans la vallée, César Birotteau, Illusions perdues, Béatrix... Le travail est plus intense que jamais, "je suis dans mon cabinet, comme un navire échoué dans les glaces" .
Au printemps de 1839, le plan de La Comédie humaine est établi : ce qui a toujours paru gravé dans le marbre, le voici à l'état naissant. Et il y a d'autres fronts, que Balzac ne déserte jamais : les salons, la presse, le théâtre (avec Vautrin, interdit au lendemain de la première) - et toujours des imprimeurs rétifs, des fournisseurs impatients, des huissiers intraitables et des créanciers revêches (au nombre desquels figure la mère d'Honoré).
il y a les dames, enfin, une Louise notamment, dont on ne sait rien, mais à travers qui on touche aux secrets les plus intimes de Balzac. "Ma vie est décidément trop pesante pour être jamais épousée par un coeur où il y a quelque sensibilité. N'ayez pas d'amitié pour moi, j'en veux trop".

Caractéristiques

  • Date de parution
    24/11/2011
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-07-011819-9
  • EAN
    9782070118199
  • Nb. de pages
    1396 pages
  • Poids
    0.556 Kg
  • Dimensions
    11,7 cm × 18,0 cm × 3,5 cm

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L'éditeur en parle

Ce volume contient : Avant-propos, Chronologie (1836-1841), Avertissement par Roger Pierrot et Hervé Yon - les lettres de Balzac et celles de ses correspondants, de 1836 à 1841 - Notes, Répertoire des correspondants.

À propos de l'auteur

Honoré de Balzac

Biographie de Honoré de Balzac

Balzac, de son vrai nom Balssa, est né à Tours en 1799. Délaissé par sa mère qui lui préfère son fils naturel Henri (auquel est dédié Le Bal de Sceaux), il devient pensionnaire au collège oratorien de Vendôme. À partir de 1814, il fait des études de droit. Mais à vingt ans, sûr de sa vocation littéraire, il s'installe à Paris, et vit dans une mansarde. Il rencontre Laure de Berny de vingt-deux ans son aînée, qui aura une influence décisive sur sa formation.
En 1829, Balzac publie «Les Chouans» qui annonce une période de vingt années durant lesquelles il va produire plus de quatre-vingt-cinq romans, tout en menant une vie très active et mondaine. Il est reçu dans différents salons dont celui de Mme de Récamier. Au début de 1830, il donne «Scènes de la vie privée», un recueil de six nouvelles dont fait partie «Le Bal de Sceau»x, premier élément de «La Comédie Humaine», suivi de «La Duchesse de Langeais», du «Curé de Tours», du «Colonel Chabert»...
1832 voit le début de sa longue correspondance avec Mme Hanska. À partir de 1838, paraissent de nombreux romans dont «César Birotteau», le début des «Illusions perdues», la première partie de «Splendeurs et Misères des courtisanes», «Béatrix», «Le Curé de Village»... À la fin de 1841, Balzac met au point le plan de l'ambitieuse et inégalée «Comédie humaine» soutenu par quatre éditeurs et continue à publier : «Ursule Mirouet», «Modeste Mignon», «La Cousine Bette», «Le Cousin Pons»...
Le 14 mars 1850, Balzac épouse enfin Mme Hanska mais il tombe gravement malade. Il meurt à Paris le 18 août 1850, et est enterré au Père Lachaise. Victor Hugo prononce l'éloge funèbre.

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