Nicolas Mengus, né à Strasbourg en 1968, est docteur en Histoire médiévale avec une thèse sur le lignage noble des Andlau (primée par l'Académie d'Alsace et publiée par la Société Savante d'Alsace en 2000). Il est l'auteur de nombreux travaux sur les châteaux forts et les villes fortifiées d'Alsace et de Lorraine, ainsi que d'un guide de découverte des fortifications de l'île de Ré (Charente Maritime) et de plusieurs articles et ouvrages sur les Alsaciens et Mosellans incorporés de force dans la Wehrmacht et la Waffen-SS entre 1942 et 1945. Il est détenteur de l'Oberrheinischer Kulturpreiss décerné par le « Johann Wolfgang von Goethe-Stiftung » de Bâle, Suisse.
Châteaux forts du Moyen Age
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- Nombre de pages283
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.89 kg
- Dimensions17,1 cm × 23,7 cm × 3,2 cm
- ISBN978-2-7373-8461-5
- EAN9782737384615
- Date de parution30/04/2021
- ÉditeurOuest-France
Résumé
Les châteaux forts se comptent par milliers sur le territoire français. Si certains ont disparu, nombreux sont ceux qui subsistent sous forme de ruines, parfois restaurées. Depuis la fin de l'Empire romain d'Occident, ils ont évolué, se sont modernisés en matière de confort et ont développé leur système défensif. Certains sont devenus des châteaux de plaisance, d'autres des exploitations agricoles.
Ils sont tous le reflet d'une histoire qui dépasse largement les dix siècles qui composent notre Moyen Age. Leurs murailles, fertile héritage de notre passé commun, enrichissent nos connaissances historiques et alimentent notre imaginaire. Elles constituent un patrimoine multiséculaire auquel tout un chacun peut être sensible. Mais, bien qu'ils soient dits "forts", les châteaux sont fragiles et peuvent disparaître à tout jamais.
A nous de les chérir pour que d'autres générations puissent les étudier, les fouiller ou, tout simplement, s'émerveiller et rêver au sein de leurs murs vénérables.
Ils sont tous le reflet d'une histoire qui dépasse largement les dix siècles qui composent notre Moyen Age. Leurs murailles, fertile héritage de notre passé commun, enrichissent nos connaissances historiques et alimentent notre imaginaire. Elles constituent un patrimoine multiséculaire auquel tout un chacun peut être sensible. Mais, bien qu'ils soient dits "forts", les châteaux sont fragiles et peuvent disparaître à tout jamais.
A nous de les chérir pour que d'autres générations puissent les étudier, les fouiller ou, tout simplement, s'émerveiller et rêver au sein de leurs murs vénérables.
Les châteaux forts se comptent par milliers sur le territoire français. Si certains ont disparu, nombreux sont ceux qui subsistent sous forme de ruines, parfois restaurées. Depuis la fin de l'Empire romain d'Occident, ils ont évolué, se sont modernisés en matière de confort et ont développé leur système défensif. Certains sont devenus des châteaux de plaisance, d'autres des exploitations agricoles.
Ils sont tous le reflet d'une histoire qui dépasse largement les dix siècles qui composent notre Moyen Age. Leurs murailles, fertile héritage de notre passé commun, enrichissent nos connaissances historiques et alimentent notre imaginaire. Elles constituent un patrimoine multiséculaire auquel tout un chacun peut être sensible. Mais, bien qu'ils soient dits "forts", les châteaux sont fragiles et peuvent disparaître à tout jamais.
A nous de les chérir pour que d'autres générations puissent les étudier, les fouiller ou, tout simplement, s'émerveiller et rêver au sein de leurs murs vénérables.
Ils sont tous le reflet d'une histoire qui dépasse largement les dix siècles qui composent notre Moyen Age. Leurs murailles, fertile héritage de notre passé commun, enrichissent nos connaissances historiques et alimentent notre imaginaire. Elles constituent un patrimoine multiséculaire auquel tout un chacun peut être sensible. Mais, bien qu'ils soient dits "forts", les châteaux sont fragiles et peuvent disparaître à tout jamais.
A nous de les chérir pour que d'autres générations puissent les étudier, les fouiller ou, tout simplement, s'émerveiller et rêver au sein de leurs murs vénérables.
A propos de Nicolas Mengus
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