Cette nuit, je l'ai vue... raconte une femme, comment plusieurs personnes qui l'ont côtoyée la voient, la perçoivent.
C'est un roman d'amour, d'amours.
Sur fond historique de seconde guerre mondiale, où l'Histoire, les Histoires telles que perçues par chacun sont de plus en plus présentes dans le roman.
Picasso ne disait-il pas : "S’il y avait une seule vérité, on ne pourrait pas faire cent toiles sur le même thème."
Et cette autre question soulevée dans le roman : peut-on, a-t-on le droit de savourer et jouir de la vie par temps de guerre, par temps chaotique ?
Pour certains, la réponse est "oui, plus que jamais !", comme un élan irrépressible de vie, un pied de nez à la mort, à la barbarie.
Pour d'autres au contraire, la réponse est un non catégorique, à soi et aux autres, au détriment de la liberté d'autrui et de son intégrité d'humain.
Un roman beau et puissant.
On aurait envie de citer plusieurs passages du livre, comme celui-ci :
"Un après-midi, elle entra dans un monde qui n'était pas le sien. Dans le mien. Je pourrais dire le nôtre, elle entra dans notre monde." D. J.
Cette nuit, je l'ai vue... raconte une femme, comment plusieurs personnes qui l'ont côtoyée la voient, la perçoivent.
C'est un roman d'amour, d'amours.
Sur fond historique de seconde guerre mondiale, où l'Histoire, les Histoires telles que perçues par chacun sont de plus en plus présentes dans le roman.
Picasso ne disait-il pas : "S’il y avait une seule vérité, on ne pourrait pas faire cent toiles sur le même thème."
Et cette autre question soulevée dans le roman : peut-on, a-t-on le droit de savourer et jouir de la vie par temps de guerre, par temps chaotique ?
Pour certains, la réponse est "oui, plus que jamais !", comme un élan irrépressible de vie, un pied de nez à la mort, à la barbarie.
Pour d'autres au contraire, la réponse est un non catégorique, à soi et aux autres, au détriment de la liberté d'autrui et de son intégrité d'humain.
Un roman beau et puissant.
On aurait envie de citer plusieurs passages du livre, comme celui-ci :
"Un après-midi, elle entra dans un monde qui n'était pas le sien. Dans le mien. Je pourrais dire le nôtre, elle entra dans notre monde." D. J.