Né à Odessa en 1894 dans une famille juive, Babel se rallie à la Révolution en 1916, à Petrograd. Il rencontre Gorki qui encourage ses débuts littéraires. En 1920, il entre dans l'Armée rouge et raconte ses expériences de combattant dans un recueil de nouvelles, intitulé Cavalerie rouge (1926). Il se retire de la vie littéraire en 1930, victime d'une dénonciation, est arrêté en mai 1939, et on suppose qu'il a été fusillé en 1940. Le Collège militaire de la Cour suprême le réhabilite en 1954. En 1957 paraissent en U.R.S.S. ses oeuvres préfacées par Ilya Ehrenbourg.
Cavalerie rouge. Suivi de Journal de 1920
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- Nombre de pages388
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.265 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,6 cm × 2,5 cm
- ISBN2-7427-0999-1
- EAN9782742709991
- Date de parution11/06/1997
- CollectionBabel
- ÉditeurActes Sud
Résumé
Pour la première fois rassemblés dans leur intégralité en un seul volume, Cavalerie rouge et le Journal de 1920 proposent deux versions d'une même expérience, celle que vécut Isaac Babel dans la cavalerie de Boudionny. Dans les courts récits réunis sous le titre Cavalerie rouge, Isaac Babel, définitivement marqué par la violence des situations, remet en question, avec le sombre humour et la passion toute contenue qui caractérisent son écriture, l'humaine condition : les combats quotidiens, les massacres, l'insoutenable vie de cavalerie deviennent ici autant de tableaux d'une poésie désespérée.
Le Journal de 1920 est comme la genèse de ces terrifiantes fictions : Babel propose sur la guerre, sur les événements de l'époque, des réflexions d'une saisissante objectivité, livrant ainsi l'implacable témoignage sur la vie qui palpite.
Le Journal de 1920 est comme la genèse de ces terrifiantes fictions : Babel propose sur la guerre, sur les événements de l'époque, des réflexions d'une saisissante objectivité, livrant ainsi l'implacable témoignage sur la vie qui palpite.
Pour la première fois rassemblés dans leur intégralité en un seul volume, Cavalerie rouge et le Journal de 1920 proposent deux versions d'une même expérience, celle que vécut Isaac Babel dans la cavalerie de Boudionny. Dans les courts récits réunis sous le titre Cavalerie rouge, Isaac Babel, définitivement marqué par la violence des situations, remet en question, avec le sombre humour et la passion toute contenue qui caractérisent son écriture, l'humaine condition : les combats quotidiens, les massacres, l'insoutenable vie de cavalerie deviennent ici autant de tableaux d'une poésie désespérée.
Le Journal de 1920 est comme la genèse de ces terrifiantes fictions : Babel propose sur la guerre, sur les événements de l'époque, des réflexions d'une saisissante objectivité, livrant ainsi l'implacable témoignage sur la vie qui palpite.
Le Journal de 1920 est comme la genèse de ces terrifiantes fictions : Babel propose sur la guerre, sur les événements de l'époque, des réflexions d'une saisissante objectivité, livrant ainsi l'implacable témoignage sur la vie qui palpite.