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  • Nombre de pages518
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.622 kg
  • Dimensions15,5 cm × 22,5 cm × 3,6 cm
  • ISBN978-2-07-013588-2
  • EAN9782070135882
  • Date de parution10/01/2013
  • CollectionSérie noire
  • ÉditeurGallimard

Résumé

"Les armes, c'est comme les femmes, on les aime quand on les touche". Diego est braqueur, né à Barcelone. Il vit à Aubervilliers, dans une hacienda délabrée, avec son frère Archibaldo et des souvenirs. Leur soeur, Adriana, a fait d'autres choix. Artiste au cirque Moreno, elle rêve d'accrocher son trapèze à la tour Eiffel. A Paris, un braquage que la police surveillait pour obtenir le flagrant délit tourne au massacre.
La traque est lancée, du quai des Orfèvres au canal Saint-Denis, du port de l'Arsenal aux replis secrets d'Aubervilliers. La brigade criminelle du 36 et le 2 ? DPJ enquêtent. Les commandants Desprez et Duchesne, aidés de la Fluviale, essaient de démêler les fils. Un nom finit par tomber : Diego. Entre flingages et virées nocturnes, Diego garde toujours un temps d'avance. Comment piégér celui que rien n'arrête ? Tandis que l'enquête progresse, aussi implacable que le destin, des histoires cristallisent et les sentiments viennent bouleverser les liens de sang.
Une tragédie effrénée, où rayonne le soleil noir de la liberté.
"Les armes, c'est comme les femmes, on les aime quand on les touche". Diego est braqueur, né à Barcelone. Il vit à Aubervilliers, dans une hacienda délabrée, avec son frère Archibaldo et des souvenirs. Leur soeur, Adriana, a fait d'autres choix. Artiste au cirque Moreno, elle rêve d'accrocher son trapèze à la tour Eiffel. A Paris, un braquage que la police surveillait pour obtenir le flagrant délit tourne au massacre.
La traque est lancée, du quai des Orfèvres au canal Saint-Denis, du port de l'Arsenal aux replis secrets d'Aubervilliers. La brigade criminelle du 36 et le 2 ? DPJ enquêtent. Les commandants Desprez et Duchesne, aidés de la Fluviale, essaient de démêler les fils. Un nom finit par tomber : Diego. Entre flingages et virées nocturnes, Diego garde toujours un temps d'avance. Comment piégér celui que rien n'arrête ? Tandis que l'enquête progresse, aussi implacable que le destin, des histoires cristallisent et les sentiments viennent bouleverser les liens de sang.
Une tragédie effrénée, où rayonne le soleil noir de la liberté.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.5/5
sur 4 notes dont 3 avis lecteurs
Un second tour de piste...
Un braquage aux frontières de Paris défraie la chronique. Un nom tombe : celui de Diego, malfrat d'Aubervilliers. Commence alors la chasse à l'homme... Avec Angle Mort, Ingrid ASTIER rentre dans une nouvelle dimension : celle du grand banditisme. Elle cohabite avec les criminels comme avec les policiers pour nous livrer un récit âpre en milieu urbain. Violent, ultra-réaliste et taillé au couteau... En un mot : EXTRA ! Guillaume
Un braquage aux frontières de Paris défraie la chronique. Un nom tombe : celui de Diego, malfrat d'Aubervilliers. Commence alors la chasse à l'homme... Avec Angle Mort, Ingrid ASTIER rentre dans une nouvelle dimension : celle du grand banditisme. Elle cohabite avec les criminels comme avec les policiers pour nous livrer un récit âpre en milieu urbain. Violent, ultra-réaliste et taillé au couteau... En un mot : EXTRA ! Guillaume
policier, trapéziste
Autant j'avais aimé son premier roman "Quai des enfers", autant avec celui-ci, je me suis ennuyée ferme. Ca démarrait mal, il faut dire : des descriptions d'armes à feu à n'en plus finir, très peu pour moi. Qui plus est, les personnages sont nombreux, et la brigade fluviale apparaît un peu comme un cheveu sur la soupe. Seule le personnage d'Adriana apporte un peu de poésie à l'ensemble. Je ne me suis attachée à aucun personnage, les dialogues et les descriptions sont longs ; bref, ce roman n'en finissait plus. Une déception, donc. L'image que je retiendrai : Celle de la trapeziste Adriana aux cheveux roux flamboyants.
Autant j'avais aimé son premier roman "Quai des enfers", autant avec celui-ci, je me suis ennuyée ferme. Ca démarrait mal, il faut dire : des descriptions d'armes à feu à n'en plus finir, très peu pour moi. Qui plus est, les personnages sont nombreux, et la brigade fluviale apparaît un peu comme un cheveu sur la soupe. Seule le personnage d'Adriana apporte un peu de poésie à l'ensemble. Je ne me suis attachée à aucun personnage, les dialogues et les descriptions sont longs ; bref, ce roman n'en finissait plus. Une déception, donc. L'image que je retiendrai : Celle de la trapeziste Adriana aux cheveux roux flamboyants.
Trop....
Diego (libre dans sa tête ♪♫) est un braqueur précis et soucieux du moindre détail. Il vide les distributeurs de billets, il attaque les bijouteries à la voiture bélier, il ne vit que pour l'adrénaline des coups bien préparés et les billets craquants qu'il dépense comme ils viennent ou qu'il offre à Adriana, sa soeur adorée, sa mésange, trapéziste au cirque Moreno. Bien à l'abri dans son squat d'Aubervilliers, il a toujours réussi à éviter la police qui ne connait ni sa planque, ni même son existence. Pourtant, un jour, la belle mécanique s'enraye. Son partenaire, ultra violent, tue net un buraliste d'un seul coup de batte. Les services de police sont en alerte. La brigade criminelle du quai des orfèvres, le deuxième district de police judiciaire, la brigade fluviale et le commissariat d'Aubervilliers enquêtent de concert et remonte la trace de l'insaisissable espagnol. Angle mort est le polar des "trop". Trop de flics trop parfaits, on ne sait même pas auquel s'attacher et finalement on ne réussit à en apprécier aucun. Trop de sigles, BRI, BAC, DPJ, SDPJ, STIC, SAEP, etc. Ils sont certes expliqués dans les notes de bas de pages mais ils cassent la fluidité du récit. Trop de détails, sur les armes, sur les vêtements, sur la décoration des bureaux, sur les bateaux de la brigades fluviales, on s'y perd, on s'y noie, on s'y ennuie. Trop de dialogues factices qui jouent la complicité entre flics ou entre voyous mais restent obscurs pour le lecteur. Et trop peu d'action! Malgré la violence, les meurtres, le sang, il ne se passe finalement pas grand chose et le récit s'englue dans des longueurs qu'on lit rapidement en quête de quelque chose qui pourrait éveiller l'intérêt. Et puis arrive la fin, trop prévisible, trop attendue, trop vite expédiée et même pas émouvante puisque le voyou trop beau, trop intelligent, trop blessé par la vie, trop amoureux de sa soeur n'a pas réussi à emporter l'adhésion... Une lecture laborieuse, sans plaisir, sans frissons, sans intérêt.
Diego (libre dans sa tête ♪♫) est un braqueur précis et soucieux du moindre détail. Il vide les distributeurs de billets, il attaque les bijouteries à la voiture bélier, il ne vit que pour l'adrénaline des coups bien préparés et les billets craquants qu'il dépense comme ils viennent ou qu'il offre à Adriana, sa soeur adorée, sa mésange, trapéziste au cirque Moreno. Bien à l'abri dans son squat d'Aubervilliers, il a toujours réussi à éviter la police qui ne connait ni sa planque, ni même son existence. Pourtant, un jour, la belle mécanique s'enraye. Son partenaire, ultra violent, tue net un buraliste d'un seul coup de batte. Les services de police sont en alerte. La brigade criminelle du quai des orfèvres, le deuxième district de police judiciaire, la brigade fluviale et le commissariat d'Aubervilliers enquêtent de concert et remonte la trace de l'insaisissable espagnol. Angle mort est le polar des "trop". Trop de flics trop parfaits, on ne sait même pas auquel s'attacher et finalement on ne réussit à en apprécier aucun. Trop de sigles, BRI, BAC, DPJ, SDPJ, STIC, SAEP, etc. Ils sont certes expliqués dans les notes de bas de pages mais ils cassent la fluidité du récit. Trop de détails, sur les armes, sur les vêtements, sur la décoration des bureaux, sur les bateaux de la brigades fluviales, on s'y perd, on s'y noie, on s'y ennuie. Trop de dialogues factices qui jouent la complicité entre flics ou entre voyous mais restent obscurs pour le lecteur. Et trop peu d'action! Malgré la violence, les meurtres, le sang, il ne se passe finalement pas grand chose et le récit s'englue dans des longueurs qu'on lit rapidement en quête de quelque chose qui pourrait éveiller l'intérêt. Et puis arrive la fin, trop prévisible, trop attendue, trop vite expédiée et même pas émouvante puisque le voyou trop beau, trop intelligent, trop blessé par la vie, trop amoureux de sa soeur n'a pas réussi à emporter l'adhésion... Une lecture laborieuse, sans plaisir, sans frissons, sans intérêt.
Petit éloge de la nuit
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