Alfred de Curzon. Le dernier des classiques

Par : Thierry Thomas

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  • Nombre de pages278
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.433 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,2 cm
  • ISBN978-2-343-23228-7
  • EAN9782343232287
  • Date de parution02/09/2021
  • CollectionHistoires et idées des Arts
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'ouvrage s'attache à la vie et à l'oeuvre du peintre Alfred de Curzon. Né à Moulinet, près de Poitiers en 1820, lauréat du prix de Rome (1849) pour le paysage historique, il effectue deux séjours en Italie avec une double excursion en Grèce (avec l'architecte Garnier et l'écrivain Edmond About) et à Constantinople où il fait la connaissance de Théophile Gautier. Dans son style classique, académique, il va peindre toute sa vie des scènes et des paysages italianisants et grecs.
A partir des années 70, il s'intéresse aux paysages du Midi et de l'Est (Doubs et Forêt Noire). Parti du paysage, il se hisse au tableau de genre historique. Ses toiles aussi bien à Paris qu'en province récoltent honneurs, médailles, le tout couronné par la Légion d'honneur à l'issue du Salon de 1865. Chaque Salon ainsi que les grandes expositions régionales sont accompagnés des critiques de l'époque replacées dans le contexte artistique et dans l'oeuvre de l'artiste poitevin.
Les plus grands critiques d'art du XIXe siècle ont rendu compte des envois de Curzon au Salon : Baudelaire, Gautier, Delécluze, Mantz, Champfleury, Astruc, Zola, etc., avec des jugements souvent opposés. Reconnu par ses pairs et le public, Curzon quand il décède emporte dans la tombe une façon de voir le monde, une manière de peindre et les grandes heures du Salon classique des Champs-Elysées.
L'ouvrage s'attache à la vie et à l'oeuvre du peintre Alfred de Curzon. Né à Moulinet, près de Poitiers en 1820, lauréat du prix de Rome (1849) pour le paysage historique, il effectue deux séjours en Italie avec une double excursion en Grèce (avec l'architecte Garnier et l'écrivain Edmond About) et à Constantinople où il fait la connaissance de Théophile Gautier. Dans son style classique, académique, il va peindre toute sa vie des scènes et des paysages italianisants et grecs.
A partir des années 70, il s'intéresse aux paysages du Midi et de l'Est (Doubs et Forêt Noire). Parti du paysage, il se hisse au tableau de genre historique. Ses toiles aussi bien à Paris qu'en province récoltent honneurs, médailles, le tout couronné par la Légion d'honneur à l'issue du Salon de 1865. Chaque Salon ainsi que les grandes expositions régionales sont accompagnés des critiques de l'époque replacées dans le contexte artistique et dans l'oeuvre de l'artiste poitevin.
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Michel Foucault et le droit
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