Cher Vous,
1984 est l’un des incontournables de la littérature, il fait dorénavant partie des classiques. Une dystopie qui se place en référence, Big Brother étant devenu le synonyme de l’espionnage policier et/ou politique, du peuple par ceux qui le gouvernent, et surtout de toutes les dérives qui en découlent.
Écrit en 1949, à la sortie de la Seconde Guerre mondiale, on y retrouve un peu de nazisme et de stalinisme dans ce pouvoir en place en Angleterre. Ce roman d’anticipation dénonce le totalitarisme avec force, engendrant parfois la peur, tellement il a nourri notre
imaginaire.
Un roman de science-fiction qui reste encore d’actualité…
C’était, encore une fois, un sacré challenge que de se lancer dans une telle adaptation.
Fido Nesti a fait un premier choix, celui de ne travailler que des nuances de gris et de rouges, aucune autre couleur n’est présente. Ce contraste oppresse encore plus le lecteur, colle à la profondeur du message d’Orwell.
Souvent les adaptations coupent beaucoup dans le texte, cherchant à tout retranscrire simplement dans l’image. Selon le sujet du livre, ce n’est pas toujours chose facile.
Le choix a été fait ici, de mettre le maximum de texte. On y retrouve même, dans son intégralité, le livre de Goldstein, le renégat. Tout comme à la fin de l’ouvrage, un appendice avec les principes du Néoparler.
Un véritable roman graphique... certains se plaignent de ce nouveau genre, arguant que ce n’est pas de la « vraie » littérature.
Bien sûr que c’est de la littérature, qui en plus à deux énormes avantages, le premier, pour des gens comme moi, de relire des classiques, des ouvrages déjà lu il y a fort longtemps, avec un nouveau regard. Le deuxième, d’amener des ados qui ne lisent que bandes dessinées vers le roman…
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2021/03/17/38871465.html
Très beau roman graphique !
Cher Vous,
1984 est l’un des incontournables de la littérature, il fait dorénavant partie des classiques. Une dystopie qui se place en référence, Big Brother étant devenu le synonyme de l’espionnage policier et/ou politique, du peuple par ceux qui le gouvernent, et surtout de toutes les dérives qui en découlent.
Écrit en 1949, à la sortie de la Seconde Guerre mondiale, on y retrouve un peu de nazisme et de stalinisme dans ce pouvoir en place en Angleterre. Ce roman d’anticipation dénonce le totalitarisme avec force, engendrant parfois la peur, tellement il a nourri notre imaginaire.
Un roman de science-fiction qui reste encore d’actualité…
C’était, encore une fois, un sacré challenge que de se lancer dans une telle adaptation.
Fido Nesti a fait un premier choix, celui de ne travailler que des nuances de gris et de rouges, aucune autre couleur n’est présente. Ce contraste oppresse encore plus le lecteur, colle à la profondeur du message d’Orwell.
Souvent les adaptations coupent beaucoup dans le texte, cherchant à tout retranscrire simplement dans l’image. Selon le sujet du livre, ce n’est pas toujours chose facile.
Le choix a été fait ici, de mettre le maximum de texte. On y retrouve même, dans son intégralité, le livre de Goldstein, le renégat. Tout comme à la fin de l’ouvrage, un appendice avec les principes du Néoparler.
Un véritable roman graphique... certains se plaignent de ce nouveau genre, arguant que ce n’est pas de la « vraie » littérature.
Bien sûr que c’est de la littérature, qui en plus à deux énormes avantages, le premier, pour des gens comme moi, de relire des classiques, des ouvrages déjà lu il y a fort longtemps, avec un nouveau regard. Le deuxième, d’amener des ados qui ne lisent que bandes dessinées vers le roman…
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2021/03/17/38871465.html