Vie et mort des agencements sociaux. De l'origine des institutions
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- Nombre de pages389
- PrésentationBroché
- Poids0.464 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,1 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-13-057912-0
- EAN9782130579120
- Date de parution26/11/2009
- CollectionLa politique éclatée
- ÉditeurPUF
Résumé
L'auteur interroge ici la nature de l'institution : est-elle une espèce comme une autre ? Peut-on la concevoir comme une forme particulière de solidarités humaines soumise à la sélection naturelle ? Répondre à cette question suppose d'étudier les agencements sociaux à partir de leurs mouvements en faisant varier notre focale d'observation. Un peu comme un biologiste qui veut caractériser une myriade de cellules en culture et découvre, de près, que les frontières s'effacent, deviennent imprécises et inconsistantes.
L'institution ne semble plus qu'une détermination parmi d'autres assemblages sociaux possibles. Ce collectif isolable et délimité apparaît alors comme une matière sociale en mouvement, dénuée de bords et de coutures...
L'institution ne semble plus qu'une détermination parmi d'autres assemblages sociaux possibles. Ce collectif isolable et délimité apparaît alors comme une matière sociale en mouvement, dénuée de bords et de coutures...
L'auteur interroge ici la nature de l'institution : est-elle une espèce comme une autre ? Peut-on la concevoir comme une forme particulière de solidarités humaines soumise à la sélection naturelle ? Répondre à cette question suppose d'étudier les agencements sociaux à partir de leurs mouvements en faisant varier notre focale d'observation. Un peu comme un biologiste qui veut caractériser une myriade de cellules en culture et découvre, de près, que les frontières s'effacent, deviennent imprécises et inconsistantes.
L'institution ne semble plus qu'une détermination parmi d'autres assemblages sociaux possibles. Ce collectif isolable et délimité apparaît alors comme une matière sociale en mouvement, dénuée de bords et de coutures...
L'institution ne semble plus qu'une détermination parmi d'autres assemblages sociaux possibles. Ce collectif isolable et délimité apparaît alors comme une matière sociale en mouvement, dénuée de bords et de coutures...