Un siècle de positivisme(s). Tome 2, Pouvoirs : politique intérieure et politique extérieure

Par : Annie Petit
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 17 décembre
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 21 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages478
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.83 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,4 cm × 2,5 cm
  • ISBN979-10-370-2985-0
  • EAN9791037029850
  • Date de parution25/10/2023
  • ÉditeurHermann

Résumé

Auguste Comte a fondé le positivisme comme philosophie des sciences et comme socio-politique. Après son étude comme politique des savoirs (t. I), ce tome précise celle des pouvoirs, en politique intérieure et en politique extérieure. En un siècle, le positivisme se pluralise. Les positions du maître et des disciples sont confrontées. En socio-politique intérieure les points majeurs sont la distribution des pouvoirs, l'organisation du travail et celle de la famille.
La socio-politique extérieure vise la fraternisation des peuples. Comte voulait un Occident puis un monde de républiques sociocratiques. Les disciples sont confrontés aux patriotismes, nationalismes, colonialismes et au retour des guerres. Le positivisme se diffuse avec adaptations et réappropriations mêlées à d'autres inspirations. S'il disparaît comme mouvement ou école, il s'immisce un peu partout, morcelé ou complété, traduit ou trahi, apprécié ou fustigé, revu et corrigé, mais persévérant.
Auguste Comte a fondé le positivisme comme philosophie des sciences et comme socio-politique. Après son étude comme politique des savoirs (t. I), ce tome précise celle des pouvoirs, en politique intérieure et en politique extérieure. En un siècle, le positivisme se pluralise. Les positions du maître et des disciples sont confrontées. En socio-politique intérieure les points majeurs sont la distribution des pouvoirs, l'organisation du travail et celle de la famille.
La socio-politique extérieure vise la fraternisation des peuples. Comte voulait un Occident puis un monde de républiques sociocratiques. Les disciples sont confrontés aux patriotismes, nationalismes, colonialismes et au retour des guerres. Le positivisme se diffuse avec adaptations et réappropriations mêlées à d'autres inspirations. S'il disparaît comme mouvement ou école, il s'immisce un peu partout, morcelé ou complété, traduit ou trahi, apprécié ou fustigé, revu et corrigé, mais persévérant.