De nationalité française, Jean-Louis Fournier est un écrivain, un réalisateur et humoriste. Fils du médecin Paul Léandre Émile Fournier et de la rédactrice Marie-Thérèse Françoise Camille Delcourt, il est né à Calais en décembre 1938. Père de trois enfants dont les deux premiers souffrent de graves handicaps, Jean-Louis Fournier n’hésite pas à parler de cette situation dans un roman autobiographique. Récompensé du prix Femina, l’œuvre Où on va, papa ? est une histoire émouvante et passionnante. Avec un humour noir et un ton cynique, Jean-Louis Fournier nous parle de ses fils handicapés mentaux et physiques, Thomas et Matthieu. Il relate la joie de leur naissance et l’horreur de leur maladie. C’est une leçon de courage et d’amour.
Son ouvrage La servante du Seigneur se focalise davantage sur sa fille Marie qui a tout plaqué pour chercher Dieu. Cette lettre ouverte est un cri de cœur, un appel au secours. L’auteur espère regagner l’amour et la sympathie de sa fille adorée après la disparition de ses frères.
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- Nombre de pages150
- PrésentationBroché
- Poids0.16 kg
- Dimensions12,0 cm × 18,5 cm × 1,3 cm
- ISBN2-234-05761-2
- EAN9782234057616
- Date de parution02/03/2005
- ÉditeurStock
Résumé
Quand Dieu eut fini le monde, il se recula pour l'observer. Et il dit : " Cela est bon. Peut-être trop bon pour eux... " Dieu a fini le monde, il a ses cent cinquante trimestres, il peut enfin prendre sa retraite. Il loge maintenant avec saint Pierre au dernier étage d'une grande tour, près du ciel, au-dessus des hommes. Dieu s'ennuie. Il entend les rires des voisins du dessous. Les hommes s'amusent. Dieu est jaloux. Il va essayer de leur gâcher la vie. " Vous avez réussi le paradis, il n'y a pas de raison que vous loupiez l'enfer ", lui dit saint Pierre. Encouragé, Dieu invente dans la foulée : le moustique qui pique, la famine qui décime, la rouille qui grouille, la culpabilité pour tout gâter, la rentabilité pour tout gâcher, les taches qui tachent, le pétrole qui colle, le cholestérol, TF1, la surpopulation jusqu'à saturation, les guerres de religion comme punition, après Mozart Jean-Michel Jarre et, pour se marrer pendant les fêtes de fin d'année, un bon raz de marée... Un essai de théologie légère, qui ose enfin regarder Dieu dans les yeux.
Quand Dieu eut fini le monde, il se recula pour l'observer. Et il dit : " Cela est bon. Peut-être trop bon pour eux... " Dieu a fini le monde, il a ses cent cinquante trimestres, il peut enfin prendre sa retraite. Il loge maintenant avec saint Pierre au dernier étage d'une grande tour, près du ciel, au-dessus des hommes. Dieu s'ennuie. Il entend les rires des voisins du dessous. Les hommes s'amusent. Dieu est jaloux. Il va essayer de leur gâcher la vie. " Vous avez réussi le paradis, il n'y a pas de raison que vous loupiez l'enfer ", lui dit saint Pierre. Encouragé, Dieu invente dans la foulée : le moustique qui pique, la famine qui décime, la rouille qui grouille, la culpabilité pour tout gâter, la rentabilité pour tout gâcher, les taches qui tachent, le pétrole qui colle, le cholestérol, TF1, la surpopulation jusqu'à saturation, les guerres de religion comme punition, après Mozart Jean-Michel Jarre et, pour se marrer pendant les fêtes de fin d'année, un bon raz de marée... Un essai de théologie légère, qui ose enfin regarder Dieu dans les yeux.