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La question du fondement de la morale laïque sous la IIIe République (1870-1914)
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- Nombre de pages262
- PrésentationBroché
- Poids0.33 kg
- Dimensions13,9 cm × 21,6 cm × 1,5 cm
- ISBN2-13-050889-8
- EAN9782130508892
- Date de parution29/08/2000
- CollectionEducation et formation
- ÉditeurPUF
Résumé
Parmi les ouvrages qui paraissent à l'heure actuelle sur la laïcité des origines, La question du fondement de la morale laïque sous la Troisième République (1870-1914) jette un éclairage neuf et inédit et ouvre des perspectives pour une réactualisation de la laïcité.
L'investigation menée sur les constructions philosophiques visant à fonder la morale laïque scolaire restaure celle-ci dans l'intégralité de son ambition originelle : le projet de dispenser à l'enfant du peuple une morale décrochée de l'axiomatique confessionnelle s'est accompagné, en effet, de la nécessité de conférer à celle-ci un ancrage rationnel ferme et durable.
Le désaccord même qui se fait jour sur les modalités de fondation de cette morale, les tensions à l'œuvre entre des tendances spiritualistes, positivistes, idéalistes ou matérialistes, installent la contradiction au cœur de la construction de la laïcité. Si, au plan politique, la laïcité a cherché à se définir comme un principe de compromis, au plan philosophique, elle a été l'objet d'enjeux rationnels très importants. L'examen des différentes tentatives de fondement de la morale laïque permet de retracer les enjeux philosophiques dont cette morale souvent injustement dénigrée a fait l'objet.
Le désaccord même qui se fait jour sur les modalités de fondation de cette morale, les tensions à l'œuvre entre des tendances spiritualistes, positivistes, idéalistes ou matérialistes, installent la contradiction au cœur de la construction de la laïcité. Si, au plan politique, la laïcité a cherché à se définir comme un principe de compromis, au plan philosophique, elle a été l'objet d'enjeux rationnels très importants. L'examen des différentes tentatives de fondement de la morale laïque permet de retracer les enjeux philosophiques dont cette morale souvent injustement dénigrée a fait l'objet.
Parmi les ouvrages qui paraissent à l'heure actuelle sur la laïcité des origines, La question du fondement de la morale laïque sous la Troisième République (1870-1914) jette un éclairage neuf et inédit et ouvre des perspectives pour une réactualisation de la laïcité.
L'investigation menée sur les constructions philosophiques visant à fonder la morale laïque scolaire restaure celle-ci dans l'intégralité de son ambition originelle : le projet de dispenser à l'enfant du peuple une morale décrochée de l'axiomatique confessionnelle s'est accompagné, en effet, de la nécessité de conférer à celle-ci un ancrage rationnel ferme et durable.
Le désaccord même qui se fait jour sur les modalités de fondation de cette morale, les tensions à l'œuvre entre des tendances spiritualistes, positivistes, idéalistes ou matérialistes, installent la contradiction au cœur de la construction de la laïcité. Si, au plan politique, la laïcité a cherché à se définir comme un principe de compromis, au plan philosophique, elle a été l'objet d'enjeux rationnels très importants. L'examen des différentes tentatives de fondement de la morale laïque permet de retracer les enjeux philosophiques dont cette morale souvent injustement dénigrée a fait l'objet.
Le désaccord même qui se fait jour sur les modalités de fondation de cette morale, les tensions à l'œuvre entre des tendances spiritualistes, positivistes, idéalistes ou matérialistes, installent la contradiction au cœur de la construction de la laïcité. Si, au plan politique, la laïcité a cherché à se définir comme un principe de compromis, au plan philosophique, elle a été l'objet d'enjeux rationnels très importants. L'examen des différentes tentatives de fondement de la morale laïque permet de retracer les enjeux philosophiques dont cette morale souvent injustement dénigrée a fait l'objet.
