Chants d'Iarive. Précédé de Snoboland
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.199 kg
- Dimensions12,0 cm × 19,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-493970-07-7
- EAN9782493970077
- Date de parution15/12/2022
- ÉditeurTraverse(s)
- Commentateur (texte)Serge Meitinger
Résumé
Rabearivelo est sans doute l’écrivain francophone malgache le plus célèbre. Et le plus méconnu aussi, car une majeure partie de son œuvre est longtemps restée inédite. Né en 1903, l’homme s’est fait connaître dès les années 1920, en publiant des recueils de poésie d’une grande puissance lyrique. Homme de talents multiples, il s’est imposé comme poète, mais aussi romancier, journaliste, dramaturge, critique, historien littéraire et formidable épistolier.
Sans jamais être sorti de Madagascar, il entretenait des liens par correspondance avec quelques-uns des grands écrivains occidentaux de son temps : André Gide, Paul Claudel, Valéry Larbaud… Senghor qui avait inclus ses poèmes dans son Anthologie de la poésie nègre et malgache (1948) le considérait comme le «Prince des poètes malgaches».
Sans jamais être sorti de Madagascar, il entretenait des liens par correspondance avec quelques-uns des grands écrivains occidentaux de son temps : André Gide, Paul Claudel, Valéry Larbaud… Senghor qui avait inclus ses poèmes dans son Anthologie de la poésie nègre et malgache (1948) le considérait comme le «Prince des poètes malgaches».
Rabearivelo est sans doute l’écrivain francophone malgache le plus célèbre. Et le plus méconnu aussi, car une majeure partie de son œuvre est longtemps restée inédite. Né en 1903, l’homme s’est fait connaître dès les années 1920, en publiant des recueils de poésie d’une grande puissance lyrique. Homme de talents multiples, il s’est imposé comme poète, mais aussi romancier, journaliste, dramaturge, critique, historien littéraire et formidable épistolier.
Sans jamais être sorti de Madagascar, il entretenait des liens par correspondance avec quelques-uns des grands écrivains occidentaux de son temps : André Gide, Paul Claudel, Valéry Larbaud… Senghor qui avait inclus ses poèmes dans son Anthologie de la poésie nègre et malgache (1948) le considérait comme le «Prince des poètes malgaches».
Sans jamais être sorti de Madagascar, il entretenait des liens par correspondance avec quelques-uns des grands écrivains occidentaux de son temps : André Gide, Paul Claudel, Valéry Larbaud… Senghor qui avait inclus ses poèmes dans son Anthologie de la poésie nègre et malgache (1948) le considérait comme le «Prince des poètes malgaches».