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Salut, village rouge à tuiles primitives sur lesquelles, parfois, bondit le beau levant ; vieux murs que, le matin, de leurs chansons plaintives, les filles de l'Imerne animent en rêvant ! Je vous salue aussi, montagnes éternelles, immuables témoins de notre âge aboli, où l'on cherche à savoir ce que cachent en elles les pierres des anciens au fronton démoli ! Je voudrais divertir mes pensées et mes rêves parmi vos grands débris et vos charmes mourants et jouir près de vous, de mes heures de trêves, ô Pays d'Inconnus, de Héros et de Grands !