Violence-Éducation - Congrégations enseignantes, artisans d'intégration sociale à l'ordre colonial. La Martinique 1850-1879

Par : Henry Delinde

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  • Nombre de pages492
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-37692-445-6
  • EAN9782376924456
  • Date de parution01/04/2024
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurLibres d'écrire

Résumé

Dans cet ouvrage, il vous est proposé deux livres. Le premier ouvrage porte sur la violence, la colonisation, la domination et la gouvernance ». Il est question de la violence de manière générale et spécifique. Le second illustre cette traduction de la domination, par et dans, l'Éducation en Terre coloniale, la Martinique, sur une tranche chronologique 1850-1879. Un rapport de violence qui cadenasse et façonne une société coloniale très particulière. Ainsi, la question de la domination et donc de la violence, de surcroît vis-à-vis d'une Terre et d'un peuple, exercée par une puissance coloniale occupante, conditionne la compréhension de « l'ouvre » d'Éducation et d'Instruction. Du fait de l'abolition de l'esclavage le 22 mai 1848, pour la Martinique, colonie de la France, « l'homme » passe du statut d'esclave à celui d'ouvrier et de « Libre » colonisé.
La société coloniale esclavagiste devient une société coloniale gouvernée par une politique « d'Intégration sociale à l'ordre colonial ». Le système éducatif et la religion constituent les outils par excellence de construction et de régulation de ce bouleversement dans l'identité et la gouvernance du « Fait-colonial ». Ils façonnent l'évolution de cette société coloniale dans la formalisation de ce qui peut constituer un modèle du genre, et bien évidemment le façonnage du « Produit-colonial », cet individu (femme ou homme) dans cette matrice qui ouvre à son absorption, dans « l'Unité nationale » de celui/celle qui a commis « l'Acte-colonial », sa « Mère-Patrie ».
L'instruction publique délivrée par les Congrégations enseignantes et l'école laïque privée vont y travailler pleinement. Produit, de ce façonnage colonial, « ce colonisé », se débattant dans le labyrinthe des contradictions, s'en trouvent emballé, aspiré dans cette revendication « d'assimilation » de corps, d'esprit, et d'âme. La France ouvre pour sauvegarder, pérenniser, ses intérêts coloniaux et aborder l'avenir en toute quiétude, avec l'assurance de la violence de ceux qui dominent encore ce monde : le Capital et l'Occident.
Dans cet ouvrage, il vous est proposé deux livres. Le premier ouvrage porte sur la violence, la colonisation, la domination et la gouvernance ». Il est question de la violence de manière générale et spécifique. Le second illustre cette traduction de la domination, par et dans, l'Éducation en Terre coloniale, la Martinique, sur une tranche chronologique 1850-1879. Un rapport de violence qui cadenasse et façonne une société coloniale très particulière. Ainsi, la question de la domination et donc de la violence, de surcroît vis-à-vis d'une Terre et d'un peuple, exercée par une puissance coloniale occupante, conditionne la compréhension de « l'ouvre » d'Éducation et d'Instruction. Du fait de l'abolition de l'esclavage le 22 mai 1848, pour la Martinique, colonie de la France, « l'homme » passe du statut d'esclave à celui d'ouvrier et de « Libre » colonisé.
La société coloniale esclavagiste devient une société coloniale gouvernée par une politique « d'Intégration sociale à l'ordre colonial ». Le système éducatif et la religion constituent les outils par excellence de construction et de régulation de ce bouleversement dans l'identité et la gouvernance du « Fait-colonial ». Ils façonnent l'évolution de cette société coloniale dans la formalisation de ce qui peut constituer un modèle du genre, et bien évidemment le façonnage du « Produit-colonial », cet individu (femme ou homme) dans cette matrice qui ouvre à son absorption, dans « l'Unité nationale » de celui/celle qui a commis « l'Acte-colonial », sa « Mère-Patrie ».
L'instruction publique délivrée par les Congrégations enseignantes et l'école laïque privée vont y travailler pleinement. Produit, de ce façonnage colonial, « ce colonisé », se débattant dans le labyrinthe des contradictions, s'en trouvent emballé, aspiré dans cette revendication « d'assimilation » de corps, d'esprit, et d'âme. La France ouvre pour sauvegarder, pérenniser, ses intérêts coloniaux et aborder l'avenir en toute quiétude, avec l'assurance de la violence de ceux qui dominent encore ce monde : le Capital et l'Occident.