Une école à la dérive. Essai sur le système d'éducation au Nunavik
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- Nombre de pages296
- FormatePub
- ISBN978-2-89448-208-7
- EAN9782894482087
- Date de parution27/09/2016
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions du Septentrion
Résumé
Depuis l'implantation des premières écoles fédérales au milieu du siècle dernier, le système d'éducation au Nunavik n'a cessé d'être en crise. Absentéisme fréquent, faibles résultats scolaires, décrochage important des élèves au secondaire. le portrait est, hélas, familier. L'école échoue par ailleurs à enseigner adéquatement la culture inuite, ce qui attise les critiques à son égard.
Prenant appui sur son expérience personnelle à titre de suppléant dans le village de Kangirsuk, Nicolas Bertrand dresse le portrait de cette école dont la dérive a des racines profondes et complexes.
Il réfléchit aussi à la manière de réformer ce système et démontre la difficulté de cette entreprise. Car tant et aussi longtemps que l'école sera perçue par les Inuits, à tort ou à raison, comme un obstacle et non comme une condition de leur émancipation, sa légitimité sera contestée et sa mission, compromise. De l'éducation de sa jeunesse dépend pourtant l'avenir du Nunavik qui, sans renier son passé, doit aussi accepter pleinement sa modernité. Nicolas Bertrand s'envole pour Kangirsuk au moment où paraît Déjà, son premier roman (Hamac, 2010).
Jusqu'en 2012, il séjourne dans ce village du Nunavik où il est, l'espace de quelques mois, suppléant au primaire et au secondaire. Depuis son retour dans le sud du pays, il enseigne la philosophie au Collège Montmorency à Laval.
Il réfléchit aussi à la manière de réformer ce système et démontre la difficulté de cette entreprise. Car tant et aussi longtemps que l'école sera perçue par les Inuits, à tort ou à raison, comme un obstacle et non comme une condition de leur émancipation, sa légitimité sera contestée et sa mission, compromise. De l'éducation de sa jeunesse dépend pourtant l'avenir du Nunavik qui, sans renier son passé, doit aussi accepter pleinement sa modernité. Nicolas Bertrand s'envole pour Kangirsuk au moment où paraît Déjà, son premier roman (Hamac, 2010).
Jusqu'en 2012, il séjourne dans ce village du Nunavik où il est, l'espace de quelques mois, suppléant au primaire et au secondaire. Depuis son retour dans le sud du pays, il enseigne la philosophie au Collège Montmorency à Laval.
Depuis l'implantation des premières écoles fédérales au milieu du siècle dernier, le système d'éducation au Nunavik n'a cessé d'être en crise. Absentéisme fréquent, faibles résultats scolaires, décrochage important des élèves au secondaire. le portrait est, hélas, familier. L'école échoue par ailleurs à enseigner adéquatement la culture inuite, ce qui attise les critiques à son égard.
Prenant appui sur son expérience personnelle à titre de suppléant dans le village de Kangirsuk, Nicolas Bertrand dresse le portrait de cette école dont la dérive a des racines profondes et complexes.
Il réfléchit aussi à la manière de réformer ce système et démontre la difficulté de cette entreprise. Car tant et aussi longtemps que l'école sera perçue par les Inuits, à tort ou à raison, comme un obstacle et non comme une condition de leur émancipation, sa légitimité sera contestée et sa mission, compromise. De l'éducation de sa jeunesse dépend pourtant l'avenir du Nunavik qui, sans renier son passé, doit aussi accepter pleinement sa modernité. Nicolas Bertrand s'envole pour Kangirsuk au moment où paraît Déjà, son premier roman (Hamac, 2010).
Jusqu'en 2012, il séjourne dans ce village du Nunavik où il est, l'espace de quelques mois, suppléant au primaire et au secondaire. Depuis son retour dans le sud du pays, il enseigne la philosophie au Collège Montmorency à Laval.
Il réfléchit aussi à la manière de réformer ce système et démontre la difficulté de cette entreprise. Car tant et aussi longtemps que l'école sera perçue par les Inuits, à tort ou à raison, comme un obstacle et non comme une condition de leur émancipation, sa légitimité sera contestée et sa mission, compromise. De l'éducation de sa jeunesse dépend pourtant l'avenir du Nunavik qui, sans renier son passé, doit aussi accepter pleinement sa modernité. Nicolas Bertrand s'envole pour Kangirsuk au moment où paraît Déjà, son premier roman (Hamac, 2010).
Jusqu'en 2012, il séjourne dans ce village du Nunavik où il est, l'espace de quelques mois, suppléant au primaire et au secondaire. Depuis son retour dans le sud du pays, il enseigne la philosophie au Collège Montmorency à Laval.


















