Avec Square Eyes, ce fut le coup de foudre immédiat. Dès la couverture j’ai été attiré par ce roman graphique de SF et après avoir commencé à le feuilleter, j’étais subjugué. Le dessin est magnifique, avec des ambiances chromatiques très différentes et surtout l’illustratrice réussit à restituer un des aspects de l’histoire, à savoir qu’il existe une réalité recouverte d’une « couche » de vision projetée (réalité augmentée comme on dit aujourd’hui), thème très dickien. Alors niveau narration, il faut s’accrocher un peu, en tout cas être concentré, car l’auteur n’a pas choisi d’être dans le très explicatif. Il faut donc s’immerger et reconstituer le puzzle de cet univers dans lequel Fin se retrouve déconnectée du système et égarée dans la ville, comme effacée.
Un roman graphique magnifique, notamment au niveau de l’architecture des immeubles, et un scénario un peu exigeant, mais bien fait.
Avec Square Eyes, ce fut le coup de foudre immédiat. Dès la couverture j’ai été attiré par ce roman graphique de SF et après avoir commencé à le feuilleter, j’étais subjugué. Le dessin est magnifique, avec des ambiances chromatiques très différentes et surtout l’illustratrice réussit à restituer un des aspects de l’histoire, à savoir qu’il existe une réalité recouverte d’une « couche » de vision projetée (réalité augmentée comme on dit aujourd’hui), thème très dickien. Alors niveau narration, il faut s’accrocher un peu, en tout cas être concentré, car l’auteur n’a pas choisi d’être dans le très explicatif. Il faut donc s’immerger et reconstituer le puzzle de cet univers dans lequel Fin se retrouve déconnectée du système et égarée dans la ville, comme effacée.
Un roman graphique magnifique, notamment au niveau de l’architecture des immeubles, et un scénario un peu exigeant, mais bien fait.