Trois soeurs rivales
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- Nombre de pages176
- FormatePub
- ISBN978-2-36266-396-3
- EAN9782362663963
- Date de parution16/04/2020
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurTalents Hauts
- PréfacierIsabelle Pasquet
Résumé
Henriette, Renée et Gabrielle vivent avec leur père le baron de Charassin, au château de Domblans, où elles s'ennuient à leurs travaux d'aiguille.
Les trois sours, isolées à la campagne, ignorent tout des tourments amoureux et des manipulations dont sont capables les coureurs de dot. Aussi, quand M. de Vaudrey arrive au château, il comprend très vite qu'une bonne dot lui est acquise et qu'il ne lui reste qu'à choisir une des sours.
Il se décide pour Henriette, l'aînée, mieux dotée que ses cadettes. Gabrielle, le cour brisé, accepte d'épouser un vieil ami du baron. Renée tire le triste bilan de ces unions désastreuses : pour elle, seule l'éducation des filles les libèrerait de leurs illusions sur le mariage, institution qui n'a d'autre objectif que de les livrer au bon vouloir d'un homme. Marie-Louise Gagneur (1832-1902) a publié des essais, des nouvelles et plus de vingt romans dont certains ont été réédités à de nombreuses reprises (27 pour La Croisade noire).
Son ouvre reflète son anti-cléricalisme et son engagement en faveur du pacifisme et d'une république sociale. Elle entre en 1864 à la Société des gens de lettres et interpelle l'Académie française sur la féminisation des noms de métier. Elle devient chevalière de la légion d'honneur par décret du 21 février 1901.
Il se décide pour Henriette, l'aînée, mieux dotée que ses cadettes. Gabrielle, le cour brisé, accepte d'épouser un vieil ami du baron. Renée tire le triste bilan de ces unions désastreuses : pour elle, seule l'éducation des filles les libèrerait de leurs illusions sur le mariage, institution qui n'a d'autre objectif que de les livrer au bon vouloir d'un homme. Marie-Louise Gagneur (1832-1902) a publié des essais, des nouvelles et plus de vingt romans dont certains ont été réédités à de nombreuses reprises (27 pour La Croisade noire).
Son ouvre reflète son anti-cléricalisme et son engagement en faveur du pacifisme et d'une république sociale. Elle entre en 1864 à la Société des gens de lettres et interpelle l'Académie française sur la féminisation des noms de métier. Elle devient chevalière de la légion d'honneur par décret du 21 février 1901.
Henriette, Renée et Gabrielle vivent avec leur père le baron de Charassin, au château de Domblans, où elles s'ennuient à leurs travaux d'aiguille.
Les trois sours, isolées à la campagne, ignorent tout des tourments amoureux et des manipulations dont sont capables les coureurs de dot. Aussi, quand M. de Vaudrey arrive au château, il comprend très vite qu'une bonne dot lui est acquise et qu'il ne lui reste qu'à choisir une des sours.
Il se décide pour Henriette, l'aînée, mieux dotée que ses cadettes. Gabrielle, le cour brisé, accepte d'épouser un vieil ami du baron. Renée tire le triste bilan de ces unions désastreuses : pour elle, seule l'éducation des filles les libèrerait de leurs illusions sur le mariage, institution qui n'a d'autre objectif que de les livrer au bon vouloir d'un homme. Marie-Louise Gagneur (1832-1902) a publié des essais, des nouvelles et plus de vingt romans dont certains ont été réédités à de nombreuses reprises (27 pour La Croisade noire).
Son ouvre reflète son anti-cléricalisme et son engagement en faveur du pacifisme et d'une république sociale. Elle entre en 1864 à la Société des gens de lettres et interpelle l'Académie française sur la féminisation des noms de métier. Elle devient chevalière de la légion d'honneur par décret du 21 février 1901.
Il se décide pour Henriette, l'aînée, mieux dotée que ses cadettes. Gabrielle, le cour brisé, accepte d'épouser un vieil ami du baron. Renée tire le triste bilan de ces unions désastreuses : pour elle, seule l'éducation des filles les libèrerait de leurs illusions sur le mariage, institution qui n'a d'autre objectif que de les livrer au bon vouloir d'un homme. Marie-Louise Gagneur (1832-1902) a publié des essais, des nouvelles et plus de vingt romans dont certains ont été réédités à de nombreuses reprises (27 pour La Croisade noire).
Son ouvre reflète son anti-cléricalisme et son engagement en faveur du pacifisme et d'une république sociale. Elle entre en 1864 à la Société des gens de lettres et interpelle l'Académie française sur la féminisation des noms de métier. Elle devient chevalière de la légion d'honneur par décret du 21 février 1901.