Sur la pensée passive de Descartes
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- Nombre de pages288
- FormatePub
- ISBN978-2-13-062512-4
- EAN9782130625124
- Date de parution31/01/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPUF
Résumé
Après avoir parcouru la théorie de la connaissance cartésienne (Sur l'ontologie grise de Descartes, Vrin, 1975), reconstitué sa doctrine métaphysique du fondement (Sur la théologie blanche de Descartes, Puf, 1981) et articulé sa double onto-théo-logie (Sur le prisme métaphysique de Descartes, Puf, 1986), J.-L. Marion tente de réintégrer dans ce développement les questions, encore obscures et souvent laissées à part de l'ensemble, de la morale et des passions.
Cette intégration dépend de la découverte du mode passif de la cogitatio, tel qu'il apparaît dès la VIe Méditation, anticipant d'ailleurs sur le concept phénoménologique de chair (Husserl, Henry). C'est à partir de ce « corps mien, meum corpus » que se déploie en toute cohérence une morale et une union substantielle de l'âme avec le corps, qui livre vraiment les derniers fruits de la métaphysique cartésienne.
Cette intégration dépend de la découverte du mode passif de la cogitatio, tel qu'il apparaît dès la VIe Méditation, anticipant d'ailleurs sur le concept phénoménologique de chair (Husserl, Henry). C'est à partir de ce « corps mien, meum corpus » que se déploie en toute cohérence une morale et une union substantielle de l'âme avec le corps, qui livre vraiment les derniers fruits de la métaphysique cartésienne.
Après avoir parcouru la théorie de la connaissance cartésienne (Sur l'ontologie grise de Descartes, Vrin, 1975), reconstitué sa doctrine métaphysique du fondement (Sur la théologie blanche de Descartes, Puf, 1981) et articulé sa double onto-théo-logie (Sur le prisme métaphysique de Descartes, Puf, 1986), J.-L. Marion tente de réintégrer dans ce développement les questions, encore obscures et souvent laissées à part de l'ensemble, de la morale et des passions.
Cette intégration dépend de la découverte du mode passif de la cogitatio, tel qu'il apparaît dès la VIe Méditation, anticipant d'ailleurs sur le concept phénoménologique de chair (Husserl, Henry). C'est à partir de ce « corps mien, meum corpus » que se déploie en toute cohérence une morale et une union substantielle de l'âme avec le corps, qui livre vraiment les derniers fruits de la métaphysique cartésienne.
Cette intégration dépend de la découverte du mode passif de la cogitatio, tel qu'il apparaît dès la VIe Méditation, anticipant d'ailleurs sur le concept phénoménologique de chair (Husserl, Henry). C'est à partir de ce « corps mien, meum corpus » que se déploie en toute cohérence une morale et une union substantielle de l'âme avec le corps, qui livre vraiment les derniers fruits de la métaphysique cartésienne.