Sortir de l'autisme. Parents, ces vérités qu'on vous cache
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- Nombre de pages143
- FormatePub
- ISBN978-2-7007-0435-8
- EAN9782700704358
- Date de parution27/02/2013
- Protection num.Adobe DRM
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAubier
Résumé
Quelle prise en charge pour l'enfant autiste ? Les parents, qui bien souvent ne connaissent ni les principes ni les effets des trois approches dominantes de l'autisme, sont tragiquement démunis face à cette question.
Aujourd'hui, le comportementalisme tient le haut du pavé. Avec lui, on espère obtenir - et on obtient quelquefois - une adaptation minimale à l'espace social ordinaire : prise des repas, hygiène corporelle, utilisation des transports, conduite dans les lieux publics.
Mais au prix de quelle violence ? de quelle dénaturation de l'enfant ? À l'inverse, le « non-agir » initié dans les Cévennes, il y a près d'un demi-siècle, par Fernand Deligny défend l'idée que les autistes, représentants d'une humanité primitive, doivent être, comme les peuples premiers, respectés dans ce qu'ils sont et préservés du monde « civilisé », au risque d'être laissés à leur condition native. La psychanalyse, repensée, réinventée, libérée des pratiques obsolètes, propose une troisième voie.
Substituant une clinique du regard à celle de l'écoute et donnant la priorité à l'accueil et au « tissage » quotidien, elle entreprend d'amener l'autiste non pas à nous mais à lui-même, afin de faire apparaître, à terme, un enfant qui ne soit pas seulement présentable, montrable, mais, comme les autres, « rêvable » par ses parents. Telle est assurément la sortie de l'autisme - respectueuse de l'enfant - qu'on est en droit d'attendre aujourd'hui. Création Studio Flammarion Couverture : Photo © iStockphoto / Marcin Pawinski
Mais au prix de quelle violence ? de quelle dénaturation de l'enfant ? À l'inverse, le « non-agir » initié dans les Cévennes, il y a près d'un demi-siècle, par Fernand Deligny défend l'idée que les autistes, représentants d'une humanité primitive, doivent être, comme les peuples premiers, respectés dans ce qu'ils sont et préservés du monde « civilisé », au risque d'être laissés à leur condition native. La psychanalyse, repensée, réinventée, libérée des pratiques obsolètes, propose une troisième voie.
Substituant une clinique du regard à celle de l'écoute et donnant la priorité à l'accueil et au « tissage » quotidien, elle entreprend d'amener l'autiste non pas à nous mais à lui-même, afin de faire apparaître, à terme, un enfant qui ne soit pas seulement présentable, montrable, mais, comme les autres, « rêvable » par ses parents. Telle est assurément la sortie de l'autisme - respectueuse de l'enfant - qu'on est en droit d'attendre aujourd'hui. Création Studio Flammarion Couverture : Photo © iStockphoto / Marcin Pawinski
Quelle prise en charge pour l'enfant autiste ? Les parents, qui bien souvent ne connaissent ni les principes ni les effets des trois approches dominantes de l'autisme, sont tragiquement démunis face à cette question.
Aujourd'hui, le comportementalisme tient le haut du pavé. Avec lui, on espère obtenir - et on obtient quelquefois - une adaptation minimale à l'espace social ordinaire : prise des repas, hygiène corporelle, utilisation des transports, conduite dans les lieux publics.
Mais au prix de quelle violence ? de quelle dénaturation de l'enfant ? À l'inverse, le « non-agir » initié dans les Cévennes, il y a près d'un demi-siècle, par Fernand Deligny défend l'idée que les autistes, représentants d'une humanité primitive, doivent être, comme les peuples premiers, respectés dans ce qu'ils sont et préservés du monde « civilisé », au risque d'être laissés à leur condition native. La psychanalyse, repensée, réinventée, libérée des pratiques obsolètes, propose une troisième voie.
Substituant une clinique du regard à celle de l'écoute et donnant la priorité à l'accueil et au « tissage » quotidien, elle entreprend d'amener l'autiste non pas à nous mais à lui-même, afin de faire apparaître, à terme, un enfant qui ne soit pas seulement présentable, montrable, mais, comme les autres, « rêvable » par ses parents. Telle est assurément la sortie de l'autisme - respectueuse de l'enfant - qu'on est en droit d'attendre aujourd'hui. Création Studio Flammarion Couverture : Photo © iStockphoto / Marcin Pawinski
Mais au prix de quelle violence ? de quelle dénaturation de l'enfant ? À l'inverse, le « non-agir » initié dans les Cévennes, il y a près d'un demi-siècle, par Fernand Deligny défend l'idée que les autistes, représentants d'une humanité primitive, doivent être, comme les peuples premiers, respectés dans ce qu'ils sont et préservés du monde « civilisé », au risque d'être laissés à leur condition native. La psychanalyse, repensée, réinventée, libérée des pratiques obsolètes, propose une troisième voie.
Substituant une clinique du regard à celle de l'écoute et donnant la priorité à l'accueil et au « tissage » quotidien, elle entreprend d'amener l'autiste non pas à nous mais à lui-même, afin de faire apparaître, à terme, un enfant qui ne soit pas seulement présentable, montrable, mais, comme les autres, « rêvable » par ses parents. Telle est assurément la sortie de l'autisme - respectueuse de l'enfant - qu'on est en droit d'attendre aujourd'hui. Création Studio Flammarion Couverture : Photo © iStockphoto / Marcin Pawinski


















