La maison du langage (2). Questions de psychanalyse et de psychologie du langage

Par : Andrée Tabouret-Keller, Henri Rey-Flaud

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages196
  • FormatePub
  • ISBN2-307-13955-9
  • EAN9782307139553
  • Date de parution01/01/2000
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille492 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Univ...

Résumé

En 1896, dans une lettre restée célèbre à son ami Fliess, Freud présentait une conception originale du psychisme humain, sous la forme d'une série de registres d'inscriptions constitués au cours des temps archaïques de l'enfance, le passage d'un registre à l'autre étant marqué par un défaut de transfert intégral du sens. Ce faisant, Freud posait, à l'orée de la psychanalyse, deux principes qui vont rester des axiomes fondateurs du champ scientifique qu'il est en train de conquérir : que le langage constitue l'étoffe du sujet de l'inconscient, que cette étoffe tissée comme savoir insu (Unbuwusste) est impuissante à retenir la vérité dans ses mailles.
Ce que Lacan transcrira de la barre qui, séparant le signifiant et le signifié, coupe le savoir de la vérité. En reprenant - à deux reprises - les thèses de la Lettre 52, en 1915, dans l'essai sur l'inconscient et, en 1924, dans un article sur la psychose, Freud consacre le statut de "parlêtre" du sujet en question pour la psychanalyse, en même temps qu'il détermine la place centrale du langage dans le champ nouveau qui se découvre devant lui.
Le rappel de ce principe fondateur, établit la pertinence des travaux d'Andrée Tabouret-Keller, menés au confluent de la psychanalyse et de la linguistique.
En 1896, dans une lettre restée célèbre à son ami Fliess, Freud présentait une conception originale du psychisme humain, sous la forme d'une série de registres d'inscriptions constitués au cours des temps archaïques de l'enfance, le passage d'un registre à l'autre étant marqué par un défaut de transfert intégral du sens. Ce faisant, Freud posait, à l'orée de la psychanalyse, deux principes qui vont rester des axiomes fondateurs du champ scientifique qu'il est en train de conquérir : que le langage constitue l'étoffe du sujet de l'inconscient, que cette étoffe tissée comme savoir insu (Unbuwusste) est impuissante à retenir la vérité dans ses mailles.
Ce que Lacan transcrira de la barre qui, séparant le signifiant et le signifié, coupe le savoir de la vérité. En reprenant - à deux reprises - les thèses de la Lettre 52, en 1915, dans l'essai sur l'inconscient et, en 1924, dans un article sur la psychose, Freud consacre le statut de "parlêtre" du sujet en question pour la psychanalyse, en même temps qu'il détermine la place centrale du langage dans le champ nouveau qui se découvre devant lui.
Le rappel de ce principe fondateur, établit la pertinence des travaux d'Andrée Tabouret-Keller, menés au confluent de la psychanalyse et de la linguistique.
Langues faibles
Luisa Revelli, Andrée Tabouret-Keller, Gabrielle Varro
Grand Format
28,00 €