Questions de méthode. Une critique de la connaissance pour les sciences de la communication
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- Nombre de pages148
- FormatPDF
- ISBN2-296-35616-8
- EAN9782296356160
- Date de parution01/04/2004
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Que dire de la communication, de son statut et de sa place, dans le vaste domaine des sciences de l'homme et de la société ? La connaissance des phénomènes de communication sollicite différentes méthodes, empruntées à diverses disciplines. Parce que l'appropriation de ces méthodes suppose leur confrontation, mais aussi leur critique, une telle connaissance requiert une épistémologie des sciences humaines qui en forme le préalable.
Comment, c'est-à-dire par quels moyens, avec quels outils, sous quelles formes, produire des connaissances relatives à un certain nombre d'objets (cultures, discours, TIC, médias, institutions politiques et économiques, etc.) que le sens commun scientifique s'accorde à reconnaître comme relevant d'une discipline ? Pour répondre à cette interrogation, les analyses conduisent du réexamen de certaines méthodes en sciences sociales jusqu'aux manières d'écrire l'histoire.
Elles s'étendent de la problématisation du discours au travail du concept. Elles investissent aussi les problèmes du style, de l'expérience, de la critique des systèmes de représentation... En résumé : ni traité de méthode, ni théorie de la connaissance, mais séries d'analyses de la production scientifique sous l'angle de ses conditions et de ses modalités pratiques. Ce projet s'adosse à une hypothèse.
C'est en approfondissant la compréhension des questions ordinaires de méthode et des articulations épistémologiques entre les différents savoirs mobilisés dans l'analyse des phénomènes de communication, que peuvent se dessiner les contours d'un objet propre et se renforcer la cohérence d'un champ scientifique autonome. En retour, le projet de " sciences de la communication " tend à apparaître comme une réponse aux limites épistémologiques que rencontrent, par ailleurs, les sciences humaines et sociales.
Il appelle le dépassement de l'ordre qui astreint ces mêmes sciences à découper les phénomènes qu'elles étudient, en perdant de vue le caractère insécable de la réalité humaine. Les analyses proposées renouent ainsi avec une interrogation sur les manières de faire de la recherche qui se révèle indissociable d'une agonistique du vrai.
Comment, c'est-à-dire par quels moyens, avec quels outils, sous quelles formes, produire des connaissances relatives à un certain nombre d'objets (cultures, discours, TIC, médias, institutions politiques et économiques, etc.) que le sens commun scientifique s'accorde à reconnaître comme relevant d'une discipline ? Pour répondre à cette interrogation, les analyses conduisent du réexamen de certaines méthodes en sciences sociales jusqu'aux manières d'écrire l'histoire.
Elles s'étendent de la problématisation du discours au travail du concept. Elles investissent aussi les problèmes du style, de l'expérience, de la critique des systèmes de représentation... En résumé : ni traité de méthode, ni théorie de la connaissance, mais séries d'analyses de la production scientifique sous l'angle de ses conditions et de ses modalités pratiques. Ce projet s'adosse à une hypothèse.
C'est en approfondissant la compréhension des questions ordinaires de méthode et des articulations épistémologiques entre les différents savoirs mobilisés dans l'analyse des phénomènes de communication, que peuvent se dessiner les contours d'un objet propre et se renforcer la cohérence d'un champ scientifique autonome. En retour, le projet de " sciences de la communication " tend à apparaître comme une réponse aux limites épistémologiques que rencontrent, par ailleurs, les sciences humaines et sociales.
Il appelle le dépassement de l'ordre qui astreint ces mêmes sciences à découper les phénomènes qu'elles étudient, en perdant de vue le caractère insécable de la réalité humaine. Les analyses proposées renouent ainsi avec une interrogation sur les manières de faire de la recherche qui se révèle indissociable d'une agonistique du vrai.
Que dire de la communication, de son statut et de sa place, dans le vaste domaine des sciences de l'homme et de la société ? La connaissance des phénomènes de communication sollicite différentes méthodes, empruntées à diverses disciplines. Parce que l'appropriation de ces méthodes suppose leur confrontation, mais aussi leur critique, une telle connaissance requiert une épistémologie des sciences humaines qui en forme le préalable.
Comment, c'est-à-dire par quels moyens, avec quels outils, sous quelles formes, produire des connaissances relatives à un certain nombre d'objets (cultures, discours, TIC, médias, institutions politiques et économiques, etc.) que le sens commun scientifique s'accorde à reconnaître comme relevant d'une discipline ? Pour répondre à cette interrogation, les analyses conduisent du réexamen de certaines méthodes en sciences sociales jusqu'aux manières d'écrire l'histoire.
Elles s'étendent de la problématisation du discours au travail du concept. Elles investissent aussi les problèmes du style, de l'expérience, de la critique des systèmes de représentation... En résumé : ni traité de méthode, ni théorie de la connaissance, mais séries d'analyses de la production scientifique sous l'angle de ses conditions et de ses modalités pratiques. Ce projet s'adosse à une hypothèse.
C'est en approfondissant la compréhension des questions ordinaires de méthode et des articulations épistémologiques entre les différents savoirs mobilisés dans l'analyse des phénomènes de communication, que peuvent se dessiner les contours d'un objet propre et se renforcer la cohérence d'un champ scientifique autonome. En retour, le projet de " sciences de la communication " tend à apparaître comme une réponse aux limites épistémologiques que rencontrent, par ailleurs, les sciences humaines et sociales.
Il appelle le dépassement de l'ordre qui astreint ces mêmes sciences à découper les phénomènes qu'elles étudient, en perdant de vue le caractère insécable de la réalité humaine. Les analyses proposées renouent ainsi avec une interrogation sur les manières de faire de la recherche qui se révèle indissociable d'une agonistique du vrai.
Comment, c'est-à-dire par quels moyens, avec quels outils, sous quelles formes, produire des connaissances relatives à un certain nombre d'objets (cultures, discours, TIC, médias, institutions politiques et économiques, etc.) que le sens commun scientifique s'accorde à reconnaître comme relevant d'une discipline ? Pour répondre à cette interrogation, les analyses conduisent du réexamen de certaines méthodes en sciences sociales jusqu'aux manières d'écrire l'histoire.
Elles s'étendent de la problématisation du discours au travail du concept. Elles investissent aussi les problèmes du style, de l'expérience, de la critique des systèmes de représentation... En résumé : ni traité de méthode, ni théorie de la connaissance, mais séries d'analyses de la production scientifique sous l'angle de ses conditions et de ses modalités pratiques. Ce projet s'adosse à une hypothèse.
C'est en approfondissant la compréhension des questions ordinaires de méthode et des articulations épistémologiques entre les différents savoirs mobilisés dans l'analyse des phénomènes de communication, que peuvent se dessiner les contours d'un objet propre et se renforcer la cohérence d'un champ scientifique autonome. En retour, le projet de " sciences de la communication " tend à apparaître comme une réponse aux limites épistémologiques que rencontrent, par ailleurs, les sciences humaines et sociales.
Il appelle le dépassement de l'ordre qui astreint ces mêmes sciences à découper les phénomènes qu'elles étudient, en perdant de vue le caractère insécable de la réalité humaine. Les analyses proposées renouent ainsi avec une interrogation sur les manières de faire de la recherche qui se révèle indissociable d'une agonistique du vrai.