Nouveauté
Philosophie et langage. Tome 2, Dialogue de la pensée de l'existence avec la philosophie analytique
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- Nombre de pages332
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-4656-7
- EAN9791037046567
- Date de parution29/10/2025
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
Le livre II de Philosophie et langage poursuit le dialogue, entamé dans le livre I, entre la philosophie analytique radicalisée de Quine et la pensée de l'existence telle que développée par Heidegger. Ce dialogue est mené par l'idée - bien que récusée à la fois par la philosophie analytique et la pensée de l'existence - qu'il y a bien un savoir philosophique, précisément le savoir de l'existence. L'auteur entend démontrer que ce savoir est tout aussi objectif que celui de la science - auquel se cantonne la philosophie analytique.
Tout comme la philosophie analytique, il soutient que son objectivité est langage, mais non pas un langage réformé pour la logique et la science : le langage tel qu'il est, et qui constitue un lieu majeur de l'existence. La réflexion menée ici ne part plus du nom, mais du concept dont fait usage la philosophie (l'angoisse, le désir, le savoir, la vérité, la justice, etc.) et qu'on retrouve dans le langage quotidien.
Wittgenstein a apporté sur ces sujets une contribution décisive, car ses analyses du langage sont conduites implicitement au nom de l'existence. Plus encore, ce qu'il dit du « concept psychologique » prépare au dépassement de la pensée de l'existence (notamment celle de Heidegger) et à la construction du savoir philosophique ici affirmé, avec ses concepts et ses propositions - savoir inspiré par la pensée systématique de Rosenzweig.
Tout comme la philosophie analytique, il soutient que son objectivité est langage, mais non pas un langage réformé pour la logique et la science : le langage tel qu'il est, et qui constitue un lieu majeur de l'existence. La réflexion menée ici ne part plus du nom, mais du concept dont fait usage la philosophie (l'angoisse, le désir, le savoir, la vérité, la justice, etc.) et qu'on retrouve dans le langage quotidien.
Wittgenstein a apporté sur ces sujets une contribution décisive, car ses analyses du langage sont conduites implicitement au nom de l'existence. Plus encore, ce qu'il dit du « concept psychologique » prépare au dépassement de la pensée de l'existence (notamment celle de Heidegger) et à la construction du savoir philosophique ici affirmé, avec ses concepts et ses propositions - savoir inspiré par la pensée systématique de Rosenzweig.
Le livre II de Philosophie et langage poursuit le dialogue, entamé dans le livre I, entre la philosophie analytique radicalisée de Quine et la pensée de l'existence telle que développée par Heidegger. Ce dialogue est mené par l'idée - bien que récusée à la fois par la philosophie analytique et la pensée de l'existence - qu'il y a bien un savoir philosophique, précisément le savoir de l'existence. L'auteur entend démontrer que ce savoir est tout aussi objectif que celui de la science - auquel se cantonne la philosophie analytique.
Tout comme la philosophie analytique, il soutient que son objectivité est langage, mais non pas un langage réformé pour la logique et la science : le langage tel qu'il est, et qui constitue un lieu majeur de l'existence. La réflexion menée ici ne part plus du nom, mais du concept dont fait usage la philosophie (l'angoisse, le désir, le savoir, la vérité, la justice, etc.) et qu'on retrouve dans le langage quotidien.
Wittgenstein a apporté sur ces sujets une contribution décisive, car ses analyses du langage sont conduites implicitement au nom de l'existence. Plus encore, ce qu'il dit du « concept psychologique » prépare au dépassement de la pensée de l'existence (notamment celle de Heidegger) et à la construction du savoir philosophique ici affirmé, avec ses concepts et ses propositions - savoir inspiré par la pensée systématique de Rosenzweig.
Tout comme la philosophie analytique, il soutient que son objectivité est langage, mais non pas un langage réformé pour la logique et la science : le langage tel qu'il est, et qui constitue un lieu majeur de l'existence. La réflexion menée ici ne part plus du nom, mais du concept dont fait usage la philosophie (l'angoisse, le désir, le savoir, la vérité, la justice, etc.) et qu'on retrouve dans le langage quotidien.
Wittgenstein a apporté sur ces sujets une contribution décisive, car ses analyses du langage sont conduites implicitement au nom de l'existence. Plus encore, ce qu'il dit du « concept psychologique » prépare au dépassement de la pensée de l'existence (notamment celle de Heidegger) et à la construction du savoir philosophique ici affirmé, avec ses concepts et ses propositions - savoir inspiré par la pensée systématique de Rosenzweig.


















