Paul Bocuse, l'épopée d'un chef
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- Nombre de pages280
- FormatePub
- ISBN978-2-8098-2590-9
- EAN9782809825909
- Date de parution09/01/2019
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille13 Mo
- ÉditeurArchipel
Résumé
Paul Bocuse, le primat des gueules" Le plus grand mérite de Paul Bocuse (1926-20 janvier 2018) aura été de faire reconnaître la cuisine comme un art et, surtout, d'avoir fait sortir les cuisiniers de leurs arrière-salles ou de leurs sous-sols surchauffés - où ils se ruinaient souvent la santé à coup de petits verres - pour en faire des vedettes, voire des stars. Doté d'un savoir-faire incontesté, Bocuse a su y ajouter le faire-savoir, avec un sens du marketing sidérant pour un homme qui avait quitté l'école avant le certificat d'études afin de commencer son apprentissage.
Devenu l'un des chefs français les plus respectés au monde, il était considéré comme un dieu vivant au Japon et comme un monument aux États-Unis (pays dans lesquels il a étendu son empire en parrainant restaurants, commerces et produits). Les racines lyonnaises et même collongeardes (Collonges-au-Mont-d'Or) du "primat des gueules" occupent une place essentielle dans son ascension - depuis son enfance de sauvageon des bords de Saône jusqu'à la création à Lyon des "Bocuse d'or", considérés comme les Jeux olympiques de la cuisine, en passant par la conquête des une, deux puis trois étoiles au guide Michelin (obtenues en 1965 et conservées pendant 53 ans !) à partir d'un hôtel-restaurant ordinaire avec nappes en papier, couverts en inox et toilettes dans la cour.
Simple, direct, chahuteur, grande gueule, raffolant des canulars, timide mais roublard, homme à femmes mais phallocrate, voire misogyne, côtoyant les célébrités mais vraiment heureux dans la nature au bord de son étang de la Dombes... Pour les cuisiniers, il était un "chef de meute", un patron, un parrain, bref, "le" chef.À travers la vie aventureuse de Paul Bocuse, que tous les professionnels appelaient respectueusement "Monsieur Paul", c'est l'histoire de la grande cuisine française durant près d'un siècle qui est revisitée.
On y croise les ombres tutélaires d'Escoffier, de Fernand Point, de la mère Brazier et de "disciples" réputés, et l'on pénètre dans les coulisses de la haute gastronomie et dans l'univers, impitoyable et parfois délirant, où évoluent les grands chefs."
Devenu l'un des chefs français les plus respectés au monde, il était considéré comme un dieu vivant au Japon et comme un monument aux États-Unis (pays dans lesquels il a étendu son empire en parrainant restaurants, commerces et produits). Les racines lyonnaises et même collongeardes (Collonges-au-Mont-d'Or) du "primat des gueules" occupent une place essentielle dans son ascension - depuis son enfance de sauvageon des bords de Saône jusqu'à la création à Lyon des "Bocuse d'or", considérés comme les Jeux olympiques de la cuisine, en passant par la conquête des une, deux puis trois étoiles au guide Michelin (obtenues en 1965 et conservées pendant 53 ans !) à partir d'un hôtel-restaurant ordinaire avec nappes en papier, couverts en inox et toilettes dans la cour.
Simple, direct, chahuteur, grande gueule, raffolant des canulars, timide mais roublard, homme à femmes mais phallocrate, voire misogyne, côtoyant les célébrités mais vraiment heureux dans la nature au bord de son étang de la Dombes... Pour les cuisiniers, il était un "chef de meute", un patron, un parrain, bref, "le" chef.À travers la vie aventureuse de Paul Bocuse, que tous les professionnels appelaient respectueusement "Monsieur Paul", c'est l'histoire de la grande cuisine française durant près d'un siècle qui est revisitée.
On y croise les ombres tutélaires d'Escoffier, de Fernand Point, de la mère Brazier et de "disciples" réputés, et l'on pénètre dans les coulisses de la haute gastronomie et dans l'univers, impitoyable et parfois délirant, où évoluent les grands chefs."
Paul Bocuse, le primat des gueules" Le plus grand mérite de Paul Bocuse (1926-20 janvier 2018) aura été de faire reconnaître la cuisine comme un art et, surtout, d'avoir fait sortir les cuisiniers de leurs arrière-salles ou de leurs sous-sols surchauffés - où ils se ruinaient souvent la santé à coup de petits verres - pour en faire des vedettes, voire des stars. Doté d'un savoir-faire incontesté, Bocuse a su y ajouter le faire-savoir, avec un sens du marketing sidérant pour un homme qui avait quitté l'école avant le certificat d'études afin de commencer son apprentissage.
Devenu l'un des chefs français les plus respectés au monde, il était considéré comme un dieu vivant au Japon et comme un monument aux États-Unis (pays dans lesquels il a étendu son empire en parrainant restaurants, commerces et produits). Les racines lyonnaises et même collongeardes (Collonges-au-Mont-d'Or) du "primat des gueules" occupent une place essentielle dans son ascension - depuis son enfance de sauvageon des bords de Saône jusqu'à la création à Lyon des "Bocuse d'or", considérés comme les Jeux olympiques de la cuisine, en passant par la conquête des une, deux puis trois étoiles au guide Michelin (obtenues en 1965 et conservées pendant 53 ans !) à partir d'un hôtel-restaurant ordinaire avec nappes en papier, couverts en inox et toilettes dans la cour.
Simple, direct, chahuteur, grande gueule, raffolant des canulars, timide mais roublard, homme à femmes mais phallocrate, voire misogyne, côtoyant les célébrités mais vraiment heureux dans la nature au bord de son étang de la Dombes... Pour les cuisiniers, il était un "chef de meute", un patron, un parrain, bref, "le" chef.À travers la vie aventureuse de Paul Bocuse, que tous les professionnels appelaient respectueusement "Monsieur Paul", c'est l'histoire de la grande cuisine française durant près d'un siècle qui est revisitée.
On y croise les ombres tutélaires d'Escoffier, de Fernand Point, de la mère Brazier et de "disciples" réputés, et l'on pénètre dans les coulisses de la haute gastronomie et dans l'univers, impitoyable et parfois délirant, où évoluent les grands chefs."
Devenu l'un des chefs français les plus respectés au monde, il était considéré comme un dieu vivant au Japon et comme un monument aux États-Unis (pays dans lesquels il a étendu son empire en parrainant restaurants, commerces et produits). Les racines lyonnaises et même collongeardes (Collonges-au-Mont-d'Or) du "primat des gueules" occupent une place essentielle dans son ascension - depuis son enfance de sauvageon des bords de Saône jusqu'à la création à Lyon des "Bocuse d'or", considérés comme les Jeux olympiques de la cuisine, en passant par la conquête des une, deux puis trois étoiles au guide Michelin (obtenues en 1965 et conservées pendant 53 ans !) à partir d'un hôtel-restaurant ordinaire avec nappes en papier, couverts en inox et toilettes dans la cour.
Simple, direct, chahuteur, grande gueule, raffolant des canulars, timide mais roublard, homme à femmes mais phallocrate, voire misogyne, côtoyant les célébrités mais vraiment heureux dans la nature au bord de son étang de la Dombes... Pour les cuisiniers, il était un "chef de meute", un patron, un parrain, bref, "le" chef.À travers la vie aventureuse de Paul Bocuse, que tous les professionnels appelaient respectueusement "Monsieur Paul", c'est l'histoire de la grande cuisine française durant près d'un siècle qui est revisitée.
On y croise les ombres tutélaires d'Escoffier, de Fernand Point, de la mère Brazier et de "disciples" réputés, et l'on pénètre dans les coulisses de la haute gastronomie et dans l'univers, impitoyable et parfois délirant, où évoluent les grands chefs."