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  • Nombre de pages158
  • FormatePub
  • ISBN978-2-267-04463-8
  • EAN9782267044638
  • Date de parution02/09/2021
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille3 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurChristian Bourgois éditeur
  • TraducteurIsabelle Gugnon

Résumé

Récit de la chute et de la décadence d'une famille, Mortepeau est un conte noir. Lucas, un jeune homme, s'adresse à son père décédé et enterré dans le jardin familial. Autrefois, il était luxuriant et entretenu par Josephina, sa mère passionnée de botanique. Dorénavant, il n'est plus que mauvaises herbes et désolation. Si la famille en est arrivée là, c'est à cause de deux hommes mystérieux invités dans la maison, bouleversant son équilibre et la précipitant vers sa fin.
Avec Mortepeau, Natalia García Freire nous offre un premier roman gothique qui n'est pas sans rappeler Shirley Jackson ou Daphné du Maurier. Elle y sonde de sombres dynamiques de pouvoir dans une langue envoûtante, proche de la prose poétique - dans un univers qui n'appartient qu'à elle.
Récit de la chute et de la décadence d'une famille, Mortepeau est un conte noir. Lucas, un jeune homme, s'adresse à son père décédé et enterré dans le jardin familial. Autrefois, il était luxuriant et entretenu par Josephina, sa mère passionnée de botanique. Dorénavant, il n'est plus que mauvaises herbes et désolation. Si la famille en est arrivée là, c'est à cause de deux hommes mystérieux invités dans la maison, bouleversant son équilibre et la précipitant vers sa fin.
Avec Mortepeau, Natalia García Freire nous offre un premier roman gothique qui n'est pas sans rappeler Shirley Jackson ou Daphné du Maurier. Elle y sonde de sombres dynamiques de pouvoir dans une langue envoûtante, proche de la prose poétique - dans un univers qui n'appartient qu'à elle.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
fabien b. - 1Decitre Grenoble
4/5
Mortepeau
Mortepeau. Mortepeau. Mortepeau, quel étrange récit. Carnet de retour d'un jeune homme dans la maison où tout a commencé et où tout a déjoué. Le père est mort. On se partage les restes. La demeure familiale se fait le lieu de la déchéance, ne reste que ce qui doit rester, pas grand chose. Mortepeau c'est peut-être l'histoire de nos sociétés qui de prestigieuses sombrent dans cette insouciance qui mène à la perte. Tout ce qui avait été construit, tout ce qui avait grandi, tout ce qui a été, comme ça se brise. Mortepeau est une vie qui grouille, l'infiniment petit prend le pas sur l'homme, les insectes les fourmis les bactéries, tout est corps. Mortepeau c'est l'insectisation du monde. Non que cela soit horrifique, cela paraît normal, comme un retour d'exil. Grandeur et décadence d'une famille, d'un monde tel qu'il fût. Mortepeau se pare d'allures de conte gothique, on pense un destin funeste. Entêtante en diable, soufflée comme du verre ébréché, la langue de Natalia Garcia Freire se grave en notre mémoire ainsi qu'une vibration sous la peau. Viscéral et chimérique, comme une lumière noire.
Mortepeau. Mortepeau. Mortepeau, quel étrange récit. Carnet de retour d'un jeune homme dans la maison où tout a commencé et où tout a déjoué. Le père est mort. On se partage les restes. La demeure familiale se fait le lieu de la déchéance, ne reste que ce qui doit rester, pas grand chose. Mortepeau c'est peut-être l'histoire de nos sociétés qui de prestigieuses sombrent dans cette insouciance qui mène à la perte. Tout ce qui avait été construit, tout ce qui avait grandi, tout ce qui a été, comme ça se brise. Mortepeau est une vie qui grouille, l'infiniment petit prend le pas sur l'homme, les insectes les fourmis les bactéries, tout est corps. Mortepeau c'est l'insectisation du monde. Non que cela soit horrifique, cela paraît normal, comme un retour d'exil. Grandeur et décadence d'une famille, d'un monde tel qu'il fût. Mortepeau se pare d'allures de conte gothique, on pense un destin funeste. Entêtante en diable, soufflée comme du verre ébréché, la langue de Natalia Garcia Freire se grave en notre mémoire ainsi qu'une vibration sous la peau. Viscéral et chimérique, comme une lumière noire.
DilamarDecitre Bellecour
4/5
La voix des morts, souvenirs
Un cauchemar ? Plus que ça. Un combat, certes, entre père et fils, mais bien plus que ça : entre l'enfant et l'adulte, la femme et l'homme. Entre celui qui possède et celui/celle qui n'a rien. Entre l'individu et l'institution (religieuse, médicale, politique). Un très beau récit dont la réflexion sur le Mal, sur les tentacules insidieuses du pouvoir, nous déroute. Envoûtant, dérangeant, grouillant d'insectes et de racines, Mortepeau – on pense à Lautréamont et ses Chants de Maldoror – inquiète, fascine, trouble.
Un cauchemar ? Plus que ça. Un combat, certes, entre père et fils, mais bien plus que ça : entre l'enfant et l'adulte, la femme et l'homme. Entre celui qui possède et celui/celle qui n'a rien. Entre l'individu et l'institution (religieuse, médicale, politique). Un très beau récit dont la réflexion sur le Mal, sur les tentacules insidieuses du pouvoir, nous déroute. Envoûtant, dérangeant, grouillant d'insectes et de racines, Mortepeau – on pense à Lautréamont et ses Chants de Maldoror – inquiète, fascine, trouble.
DilamarDecitre Bellecour
4/5
La voix des morts, souvenirs
Un cauchemar ? Plus que ça. Un combat, certes, entre père et fils, mais bien plus que ça : entre l'enfant et l'adulte, la femme et l'homme. Entre celui qui possède et celui/celle qui n'a rien. Entre l'individu et l'institution (religieuse, médicale, politique). Un très beau récit dont la réflexion sur le Mal, sur les tentacules insidieuses du pouvoir, nous déroute. Envoûtant, dérangeant, grouillant d'insectes et de racines – on pense à Lautréamont et ses Chants de Maldoror –, Mortepeau inquiète, fascine, trouble.
Un cauchemar ? Plus que ça. Un combat, certes, entre père et fils, mais bien plus que ça : entre l'enfant et l'adulte, la femme et l'homme. Entre celui qui possède et celui/celle qui n'a rien. Entre l'individu et l'institution (religieuse, médicale, politique). Un très beau récit dont la réflexion sur le Mal, sur les tentacules insidieuses du pouvoir, nous déroute. Envoûtant, dérangeant, grouillant d'insectes et de racines – on pense à Lautréamont et ses Chants de Maldoror –, Mortepeau inquiète, fascine, trouble.
Tu as amené avec toi le vent
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