Fauve d'or - Meilleur album
Coup de coeur

Moi, ce que j'aime, c'est les monstres Tome 1

Par : Emil Ferris, Jean-Charles Khalifa

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  • Nombre de pages418
  • FormatEpub fixed layout
  • ISBN979-10-90724-48-8
  • EAN9791090724488
  • Date de parution09/04/2020
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille521 Mo
  • ÉditeurMonsieur Toussaint Louverture BD

Résumé

PRIX DU MEILLEUR ALBUM / FAUVE D'OR ANGOULÊME 2019 GRAND PRIX DE LA CRITIQUE 2019 PRIX EISNER DU MEILLEUR ALBUM 2018. Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, adore les fantômes, les vampires et autres morts-vivants. Elle s'imagine même être un loup-garou: plus facile, ici, d'être un monstre que d'être une femme. Le jour de la Saint-Valentin, sa voisine, la belle Anka Silverberg, se suicide d'une balle en plein cour.
Mais Karen n'y croit pas et décide d'élucider ce mystère. Elle va vite découvrir qu'entre le passé d'Anka dans l'Allemagne nazie, son propre quartier prêt à s'embraser et les secrets tapis dans l'ombre de son quotidien, les monstres, bons ou mauvais, sont des êtres comme les autres, ambigus, torturés et fascinants. Journal intime d'une artiste prodige, Moi, ce que j'aime, c'est les monstres est un kaléidoscope brillant d'énergie et d'émotions, l'histoire magnifiquement contée d'une fascinante enfant. Dans cette ouvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionnisme féroce, les hachures d'un Crumb et l'univers de Maurice Sendak.
À travers ce livre, Emil Ferris tisse de courage, de force, de résilience, l'étendard de ceux qui survivent, de ceux qui se relèvent et ne veulent plus se taire. Et si ce n'est pas ouvre autobiographique tout y est néanmoins vrai. La clé de ce projet est la différence, et Emil Ferris l'a écrit pour les minorités, l'a dessinée pour la liberté d'être ce que l'on veut, humainement et intimement, et l'a porté envers et contre tout pour le droit d'être la femme que l'on veut.
Et c'est pour ça que Moi, ce que j'aime, c'est les monstres nous frappe si fort aujourd'hui, car il s'adresse à nous, à nos problèmes, à notre monde.
PRIX DU MEILLEUR ALBUM / FAUVE D'OR ANGOULÊME 2019 GRAND PRIX DE LA CRITIQUE 2019 PRIX EISNER DU MEILLEUR ALBUM 2018. Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, adore les fantômes, les vampires et autres morts-vivants. Elle s'imagine même être un loup-garou: plus facile, ici, d'être un monstre que d'être une femme. Le jour de la Saint-Valentin, sa voisine, la belle Anka Silverberg, se suicide d'une balle en plein cour.
Mais Karen n'y croit pas et décide d'élucider ce mystère. Elle va vite découvrir qu'entre le passé d'Anka dans l'Allemagne nazie, son propre quartier prêt à s'embraser et les secrets tapis dans l'ombre de son quotidien, les monstres, bons ou mauvais, sont des êtres comme les autres, ambigus, torturés et fascinants. Journal intime d'une artiste prodige, Moi, ce que j'aime, c'est les monstres est un kaléidoscope brillant d'énergie et d'émotions, l'histoire magnifiquement contée d'une fascinante enfant. Dans cette ouvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionnisme féroce, les hachures d'un Crumb et l'univers de Maurice Sendak.
À travers ce livre, Emil Ferris tisse de courage, de force, de résilience, l'étendard de ceux qui survivent, de ceux qui se relèvent et ne veulent plus se taire. Et si ce n'est pas ouvre autobiographique tout y est néanmoins vrai. La clé de ce projet est la différence, et Emil Ferris l'a écrit pour les minorités, l'a dessinée pour la liberté d'être ce que l'on veut, humainement et intimement, et l'a porté envers et contre tout pour le droit d'être la femme que l'on veut.
Et c'est pour ça que Moi, ce que j'aime, c'est les monstres nous frappe si fort aujourd'hui, car il s'adresse à nous, à nos problèmes, à notre monde.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

5 Coups de cœur
de nos libraires
Sandrine T.Decitre Bellecour
5/5
Exceptionnel
Moi, ce que j'aime, c'est les monstres est une réussite totale aussi bien sur la forme que sur le fond : défini par son auteure comme étant à la fois un drame social, une enquête policière, et un récit aux confins du fantastique, le livre est avant tout une plongée dans l'imagination bouillonnante d'une illustratrice désormais à suivre. Présenté comme si nous accédions directement au cahier de dessins de l'héroïne (les lignes bleues du carnet apparaissent en transparence sous les croquis), le livre se veut le journal illustré d'une fillette nommée Karen qui nous raconte son histoire dans le Chicago de la fin des années 60. Traumatisée par le suicide de sa voisine, la jeune fille décide de mener l'enquête dans son quartier. Passionnée de créatures monstrueuses et de magazines d'horreur, ce qui ne la rend pas très populaire auprès des enfants de son âge, Karen peuple son récit des personnages croisés sur son chemin, personnages réels ou imaginaires, croqués parfois cruellement et souvent si proches des monstres qu'elle affectionne tant. Mais qui sont les vrais et les faux monstres autour d'elle? Bien plus qu'un livre, une expérience inoubliable!
Moi, ce que j'aime, c'est les monstres est une réussite totale aussi bien sur la forme que sur le fond : défini par son auteure comme étant à la fois un drame social, une enquête policière, et un récit aux confins du fantastique, le livre est avant tout une plongée dans l'imagination bouillonnante d'une illustratrice désormais à suivre. Présenté comme si nous accédions directement au cahier de dessins de l'héroïne (les lignes bleues du carnet apparaissent en transparence sous les croquis), le livre se veut le journal illustré d'une fillette nommée Karen qui nous raconte son histoire dans le Chicago de la fin des années 60. Traumatisée par le suicide de sa voisine, la jeune fille décide de mener l'enquête dans son quartier. Passionnée de créatures monstrueuses et de magazines d'horreur, ce qui ne la rend pas très populaire auprès des enfants de son âge, Karen peuple son récit des personnages croisés sur son chemin, personnages réels ou imaginaires, croqués parfois cruellement et souvent si proches des monstres qu'elle affectionne tant. Mais qui sont les vrais et les faux monstres autour d'elle? Bien plus qu'un livre, une expérience inoubliable!
Charlotte WnDecitre Levallois-Perret
5/5
GROS GROS COUP DE COEUR
Beaucoup d'amour pour ce roman graphique qui est MONUMENTAL! Les différentes strates de narration et l'intensité des illustrations rendent la lecture très addictive et immersive. A la fois thriller, roman social et conte fantastique, cet ouvrage est d'une telle richesse qu'on prend vraiment le temps de savourer chaque page. Vivement le tome 2!
Beaucoup d'amour pour ce roman graphique qui est MONUMENTAL! Les différentes strates de narration et l'intensité des illustrations rendent la lecture très addictive et immersive. A la fois thriller, roman social et conte fantastique, cet ouvrage est d'une telle richesse qu'on prend vraiment le temps de savourer chaque page. Vivement le tome 2!
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Audrey ZDecitre Confluence
5/5
Du très grand ART !!
Qu'il est compliqué d'entrer dans cette histoire; 3 fois j'ai dû recommencer ma lecture car je n'arrivais pas à adhérer au style, au dessin, ni même à la structure narrative. Mais qu'il est bon également de s’entêter car cette oeuvre majeure ne s'ouvre pas à la première lecture, il faut insister et prendre le temps pour apprécier ce chef d'oeuvre à sa juste valeur. Une fois la découverte passée, quel bonheur de découvrir cette histoire sombre, d'apprécier ce dessin tout à fait exceptionnel et ces personnages à l'histoire si complexe. Je vous conseille vivement la lecture de ce roman graphique, perdez-vous dans ces dessins si imaginatifs et cette histoire aux mille récits, et laissez vous porter par cette petite enquêtrice qui vous emportera plus loin que vous ne pouvez l'imaginer.
Qu'il est compliqué d'entrer dans cette histoire; 3 fois j'ai dû recommencer ma lecture car je n'arrivais pas à adhérer au style, au dessin, ni même à la structure narrative. Mais qu'il est bon également de s’entêter car cette oeuvre majeure ne s'ouvre pas à la première lecture, il faut insister et prendre le temps pour apprécier ce chef d'oeuvre à sa juste valeur. Une fois la découverte passée, quel bonheur de découvrir cette histoire sombre, d'apprécier ce dessin tout à fait exceptionnel et ces personnages à l'histoire si complexe. Je vous conseille vivement la lecture de ce roman graphique, perdez-vous dans ces dessins si imaginatifs et cette histoire aux mille récits, et laissez vous porter par cette petite enquêtrice qui vous emportera plus loin que vous ne pouvez l'imaginer.
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