Louis-Joseph Lebret, précurseur du Vatican II. Dans la dynamique sociale de l'Eglise, auprès des marins-pêcheurs bretons, et dans le développement économique mondial
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- Nombre de pages494
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-46196-3
- EAN9782296461963
- Date de parution01/05/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Lebret a été un de ces intellectuels qui ont contribué à l'essor d'une nouvelle orientation de l'Eglise. Dénonçant son conformisme spirituel et sa connivence avec les forces de la bourgeoisie, il a souhaité la réconcilier avec " les pauvres et les nécessiteux " mais aussi la voir rompre avec ce qu'il estimait être l'orientation politique alors en vogue. Lebret préconise une Eglise ouverte sur le monde, sur les autres cultures et sur les autres religions.
Il est, certes, fortement marqué par le marxisme, mais il n'adhère, en aucune façon, au matérialisme radical. Il prône un humanisme social : il souhaite un rapprochement de l'Eglise avec le parti communiste et se révolte contre " l'anti-communisme haineux et ridicule " de certains chrétiens. Ouvert aux nouvelles disciplines intellectuelles de son temps, il pratique plus la sociologie et l'économie que la théologie et pense indispensable l'abandon d'une liturgie à ses yeux surannée.
Il est, certes, fortement marqué par le marxisme, mais il n'adhère, en aucune façon, au matérialisme radical. Il prône un humanisme social : il souhaite un rapprochement de l'Eglise avec le parti communiste et se révolte contre " l'anti-communisme haineux et ridicule " de certains chrétiens. Ouvert aux nouvelles disciplines intellectuelles de son temps, il pratique plus la sociologie et l'économie que la théologie et pense indispensable l'abandon d'une liturgie à ses yeux surannée.
Lebret a été un de ces intellectuels qui ont contribué à l'essor d'une nouvelle orientation de l'Eglise. Dénonçant son conformisme spirituel et sa connivence avec les forces de la bourgeoisie, il a souhaité la réconcilier avec " les pauvres et les nécessiteux " mais aussi la voir rompre avec ce qu'il estimait être l'orientation politique alors en vogue. Lebret préconise une Eglise ouverte sur le monde, sur les autres cultures et sur les autres religions.
Il est, certes, fortement marqué par le marxisme, mais il n'adhère, en aucune façon, au matérialisme radical. Il prône un humanisme social : il souhaite un rapprochement de l'Eglise avec le parti communiste et se révolte contre " l'anti-communisme haineux et ridicule " de certains chrétiens. Ouvert aux nouvelles disciplines intellectuelles de son temps, il pratique plus la sociologie et l'économie que la théologie et pense indispensable l'abandon d'une liturgie à ses yeux surannée.
Il est, certes, fortement marqué par le marxisme, mais il n'adhère, en aucune façon, au matérialisme radical. Il prône un humanisme social : il souhaite un rapprochement de l'Eglise avec le parti communiste et se révolte contre " l'anti-communisme haineux et ridicule " de certains chrétiens. Ouvert aux nouvelles disciplines intellectuelles de son temps, il pratique plus la sociologie et l'économie que la théologie et pense indispensable l'abandon d'une liturgie à ses yeux surannée.